Zone of the Enders : The Fist of Mars (GBA) - 15/03/2016
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12/20
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J'ai finis Zone of the Enders: Fist on Mars sur GBA en 15-20 heures environ. C'était sympa mais sans plus. Le gros point fort du jeu vient surtout de son univers Zone of the Enders très riche et de ses ... Suitepersonnages "Evangelionesque" . Le scénario se laisse suivre, mais est gâché par la traduction française calamiteuse. Le gameplay est assez pauvre, à quelques exceptions, c'est un peu le Super Robot Taisen des années 90 du pauvre, la difficulté en moins. Pas de map ni de robot à l'échelle et donc une gestion très minimaliste du terrain, la faute au grande variation de taille des robots. Une gestion du moral/spirit assez rudimentaire, quand on tue un ennemi on gagne 5 points, plus on a de points plus on peu exécuter des attaques puissantes. En terme de gestion hors combat on peu juste améliorer avec de l'argent les LEV (les robots produits en séries). Ainsi qu'un équilibrage entre force et précision, et défense et esquive pour les LEV et les OF (les robots uniques). En combat, dans les choses inédites au jeu, on a la possibilité d'activer ou de désactiver des phases de visées et d'esquives. Si l'on choisis de faire sans, ce sont des statistiques qui sont pris en compte (façon SRT). Et avec les scènes, c'est notre dextérité qui détermine l'issue de l'affrontement. Et durant les mission, on peut parfois essayer d'atteindre un terminal pour télécharger de nouvelles armes pour les OF qui seront dispo après la mission, ce qui complique légèrement l'objectif de mission. Ou choisir de s'en passer et éviter les risques. En résumé, c'est un jeu assez court mais qui ravira plus les fans de Zone of the Enders pour le complément scénaristique qu'il apporte, que de T-RPG.
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Rudora no Hihou (SNES) - 26/02/2016
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17/20
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Finis Rudora no Hihou en 45 heures (à la louche). Encore une excellente surprise (très tardive) que m'a laissé la Super Famicom (et oui c'est resté au Japon). + L'histoire, captivante et riche en rebondissement. ... SuiteNous suivons le parcourt en parallèle de trois groupes de héros qui ont pour but d'empêcher l'apparition d'un Rudora, une créature qui participe à un cycle de destruction et de reconstruction qui se met en place tout les 4000 ans, anéantissant la race en place sur la planète. Avec des méthodes différentes, ils auront 16 jours pour y arriver. Le groupe de Sion combat la secte de Rudora et poursuivent un géant qui a tué les amis de Sion. Le groupe de Surlent étudie les reliques et prophéties du passé espérant trouver un indice pour empêcher l'apocalypse. Et le groupe de Riza tente de purifier le monde, gravement pollué par les hommes et espère s'attirer les faveurs des cieux. + L'univers du jeu, très riche. Il y a 5 cycles de 4000 ans d'histoire tout de même. + Les nombreux personnages sont très attachants. + Techniquement c'est sublime. Les décors sont riches et détaillés en plus d'être assez diversifié. Les animations en combat sont toutes aussi sublimes. Nos héros sont très bien dessinés et ont des animations fluides. Les ennemis sont très détaillés et bouge un peu même. + L'OST est aussi excellente, les thèmes de boss sont magistraux. Les thèmes des donjons sont peut-être les moins réussis, plus classique surtout, mais très agréable tout de même. + Le système de combat. Un tour par tour tout ce qu'il y de plus classique, avec la possibilité d'organiser les tours, ce qui est vraiment très pratique. C'est simple et efficace. + Le système de création de magie, vraiment épatant et même assez addictif. Il y a 8 éléments, plus les soins et bonus/malus il faut assembler des syllabes pour créer une magie aux effets variés. Chaque type de magies ont leurs radicaux (entre autre: IGU pour le feu, REFU pour les soins, etc...) auxquels on peut y ajouter des préfixes et suffixes. Un peu comme les fire, fira et firaga dans les FF en japonais mais en bien plus poussé et avec des possibilités incroyables (on parle souvent de 300000 magies). Le problème pour nous occidentaux, c'est que ces "mots magiques" sont basés sur du Japonais, l'adaptation pour une équipe amateur a été impossible. Il faut soit se servir d'une soluce, soit les créer hasardeusement, ou alors prendre son temps et se servir des magies utilisée par les ennemis ou données par des pnj et les faire évoluer ou régresser. +/- Le fait que les scénarii ne soient pas plus liés que dans le gameplay. Cela dit chaque groupe se débrouillent tout seul et l'on est pas obligé de faire les mêmes donjons en même temps avec différents groupes. +/- Le système de jours et de nuits qui ne sert uniquement au scénario. Mais encore une fois ce n'est pas forcément un défaut, on peu prendre notre temps au moins. - Difficulté inégale. Les boss utilisent des magies d'un ou deux types, si l'on a pas d'armures avec ces mêmes types, ils peuvent décimer notre équipe. Et inversement avec ces armures, on a pas grand chose à craindre d'eux. Autan dire qu'il vaut mieux garder ces armures et armes élémentaires. Seul le vrai dernier boss peut poser des problèmes grâce / à cause de ses nombreux HP. - L'exploration sur la World map. On a pas de mini-carte pour se repérer, ni de moyen de transport. Vers la moitié du jeu il faut passer par des téléporteurs dans certains donjons pour pouvoir se déplacer. Malgré ces défauts, c'est un jeu à faire absolument. Une perle de la Super Nintendo et de Square Soft.
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Bloodborne : Game Of The Year Edition (PS4) - 18/02/2016
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19/20
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J'ai finis Bloodborne: Game of the Year Edition sur Ps4 en 61 heures. Un BGE à l’instar de Dark Souls Prepare to Die. J'ai eu le même plaisir à parcourir le jeu (et des moments de rage aussi, mais c'es ... Suitet un peu normal). En reprenant la formule des DkS, Bloodborne propose un gameplay un peu différent, tout en étant toujours aussi exigeant. Cette fois ci, l'agressivité est récompensée car si l'on subit des dégâts, on peut regagner une partie des PV perdu en attaquant l'ennemi, tan que l'on ne traine pas trop. Il n'y a pas non plus de classe défensive à proprement parler et on dispose que de quelques "magies" (utilisables grâce à certains outils de chasseurs). On dispose d'une arme blanche qui a deux modes avec un chacun un maniement différent, ainsi qu'une arme à feu, généralement utile pour déstabiliser les ennemis. Dans les nouveautés, malheureusement il y a aussi les donjons des Calices, des donjons optionnels à difficulté fixe mais très élevée, où le coté "RPG" peut difficilement sauver le joueur. Et ces donjons sont aussi très monotones à parcourir à mon goût. Ils sont indépendants du scénario, et pourtant on y trouve un boss important à l'univers du jeu. Certes pour quelqu'un ayant déjà finis plusieurs fois le jeu et joue principalement pour le chalenge et/ou le on-line ça peut-être sympa, surtout qu'il y a quelque boss inédits. Mais pour moi qui m'intéresse surtout au solo et à la découverte de l'univers, c'est jute du remplissage maladroit. Mise à part ces changements, assez important tout de même et ce n'est pas plus mal, on est assez proche d'un style à la DkS, surtout au point de vue de la présentation de l'univers du jeu et du développement de l'histoire. À savoir que l'univers est d'une richesse et d'une cohérence incroyable, mais qu'il est très peu développé dans le jeu, c'est au joueur d'assembler les pièces du puzzle et de se faire l'histoire, avec les interprétations qu'il veut. Graphiquement, étant donné que c'est mon premier "vrai" jeu sur Ps4, les autres étant des portages, ça a été une claque. Sur la réalisation, cette version GotY possède déjà les patchs corrigeant quelques problèmes de temps de chargement ou de chute de framerate que subissait la version Vanilla. Et pour finir, concernant les musiques, on est toujours dans un style DkS avec des pistes épiques qui cette fois gagne en intensité au fil du combat. Et le doublage orignal en anglais est excellent, idem pour les bruitages qui ont leur importance. Beaucoup de comparaison avec Dark Souls Prepare to Die, et même si je préfère le style DkS plus orienté RPG, j'ai adoré jouer à Bloodborne Game of the Year et je le recommande à tous les possesseurs de Ps4.
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Super Robot Taisen Alpha Gaiden (PS1) - 01/02/2016
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17/20
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J'ai finis Super Robot Taisen Alpha Gaiden sur Ps (avec une fan-trad en anglais), en Easy par ce que je n'avais pas envie de me prendre la tête, et parce qu'il faut passer par ce mode pour le finir à 100%. ... Suite Et bien c'était vraiment bien, d'une part parce que le casting est sympa et assez cohérent avec le fait que le jeu est un futur alternatif à Alpha. Et que c'est le dernier opus à être sortie sur Ps et qu'il est vraiment très réussis. Cet épisode révolutionnera la saga sur plusieurs points. Premièrement, du changement dans le système d'amélioration de l'armement. Avant, il fallait améliorer les armes des robots au cas par cas, nous obligeants à faire des choix drastiques. Maintenant, mais toujours moyennement finance, l'armement entier du robot peut s'améliorer simultanément. Deuxièmement, tout comme Alpha, il y a des objectifs secrets en remplir, mais cette fois-ci uniquement en combat. Ces derniers sont liés à la difficulté du jeu, à certains des robots secrets que l'on peut obtenir, ainsi qu'à la fin que l'on aura. A partir du moment où l'on connait ces objectifs secrets, il n'est pas très difficile de les remplir, sauf quand on est déjà en Hard, où se maintenir à cette difficulté peut-être assez difficile par moment. Et pour finir, l'apparition d'un mode New Game +, encore un peu archaïque dans cet épisode, permettant de recommencer le jeu avec un montant d'argent dépendant de la difficulté avec laquelle on a fini le jeu précédemment. Avec ce jeu, les SRT sont définitivement passés dans une ère plus moderne, le premier Alpha ayant fait les premiers pas. Alpha Gaiden avec ces trois modes de difficultés corrige tout de même le gros défaut d'Alpha, sa grande facilité. Alpha Gaiden est donc un épisode idéal pour commencer la série, sans rebuter les hardcores gamers aux Tactical-RPG plus exigeants, ni les néophytes. D'autan plus que c'est un des rares opus à être traduits en anglais (officieusement malheureusement).
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Atelier Rorona (PS3) - 27/01/2016
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9/20
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J'ai finis Atelier Rorona: the Alchemist of Arland sur Ps3 en 29 heures avec 9 des 14 fins du jeu. Mon second opus sur cette saga. Et bien j'ai étais assez déçu du jeu pour la simple raison qu'Atelier ... SuiteIris: Eternal Mana sur Ps2 le bats dans pratiquement tous les domaines. Entre autre les combats mous, et sans challenges. L'alchimie très guidée, aucune chance de créer quelque chose par accident. Et surtout un passage à la 3D assez raté. Mais le jeu est assez original sur la progression et je suis assez bon public de l'humour de la saga. Et puis il y a le dual audio et la traduction française (oui je grappille quelques bons points, j'ai un peu de mal à en trouver).
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The Witcher 2 : Assassins of Kings (X360) - 08/01/2016
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18/20
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J'ai finis The Witcher 2: Assassins of Kings Enhanced Edition sur 360 en 35 heures environ sur la voie de Iorveth. Pas grand chose à dire si ce n'est que c'est un BGE. Système de "+ et -" vu que l'essentiel ... Suitea été dit. + Scénario, intensité, qualité d'écriture et des choix qui ont une réelle importance sur le jeu. + Nombreux personnages charismatiques, Geralt en tête, mais pas que. + Univers d'une richesse incroyable. + Gameplay riche. + Quêtes annexes d'une qualité exemplaire. + Réalisation au top niveau pour la 360. + Magnifique direction artistique. + OST sublime. + Doublage (anglais) de qualité. - Geralt atteint son potentiel d'évolution maximal très vite, les choix dans l'évolution du personnage sont cornéliens. - Ergonomie des menus. - Univers peu immersif si on n'a pas joué au premier opus. Aucuns résumés des évènements du premier jeu (ou des livres) ne sont disponibles dans le jeu. - Quelques plantages lors des temps de chargement ou lorsqu'on navigue dans les menus.
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Xenoblade Chronicles X (WIIU) - 22/12/2015
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17/20
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J'ai finis le scénario de Xenoblade Chronicles X (ver 1.0.1E) en 139 heures, avec 73% d'exploration jusque là. Incontestablement mon coup de cœur de cette année 2015, et même de ces dernières années. Et ... Suiteen plus, c’est mon 200ème RPG (portages et remakes compris) ! Dans l’ensemble, c’est exactement ce que je m’étais imaginé du jeu au moment où les premiers trailers commençaient à sortir. Mais j’ai été très agréablement surpris par son scénario bien plus ambitieux que prévus et son univers très riche. On est bien dans un jeu de Takahashi ! Un point qui fait plaisir à voir, c’est une réalisation enfin digne de ce nom pour un J-RPG sur console de salon en 2015. Certes c’est perfectible, surtout sur la version physique du jeu, et même avec les 10 Gigas de pack. Et la modélisation des personnages assez rudimentaire (expression faciales surtout.) Mais j’ai vite oublié tan le reste du jeu est fabuleux. Un immense Open-World avec une direction artistique sublime, level-design ingénieux, décors magnifiques et détaillés; et un bestiaire varié. De plus le chara-design et le mecha-design sont assez réussis. Un régal d’explorer la planète Mira qui en plus subit les caprices de la météo et bien sur un cycle jour/nuit, agissant tout deux sur la faune locale. L’exploration se fait en trois phases. D’abord à pied, ensuite en DOLL/SKELL (les mechas du jeu) sans le module de vol. Et pour finir avec le module de vol. Où comment découvrir trois fois un même univers; bref, que du bonheur. Mais il faut compter une trentaine d’heures de jeu pour pouvoir enfin jouer avec les mechas. Concernant le système de combat, là aussi on a deux façons de combattre. D’abord on ne peut combattre qu’avec nos personnages. Pour le coup c’est une reprise du système de combat de Xenoblade Chronicles sur Wii, mais en un peu plus nerveux et avec une difficulté plus élevée. Un système de classe à été rajoutés pour notre avatar ce qui détermine les catégories d’armes qu’il peut porter et les arts qu’il peut apprendre. Et cette fois-ci il y a deux armes différentes, une courte portée et une longue portée. Et ensuite, on peut combattre avec nos DOLLs. L’armement du mechas peut être acheté en boutique et c’est à nous de choisir ce qu’on veut lui mettre (et on a le choix, l’armement est très variés), moyennement finance. Et pour finir avec les points positifs, je parlerai de l’OST de Sawano qui est très particulière. Hors jeu, j’ai cru à une blague tan les styles et les genres (dont certains que je n’aime pas du tout) se mélangent, une impression de fourre tout monumental sans cohérences. Et puis finalement, dans le jeu, ça passe. Il faut dire que New Los Angeles et chaque île ont leur propre ambiance. Un petit bémol tout de même, l’OST est souvent mal exploitée, notamment avec ces thèmes pop en plein dialogue. D’une c’est hors sujet, et de deux ça devient inaudible que ce soit la chanson mais surtout les dialogues. Le doublage américain est de qualité pour l’entièreté du casting, ce qui est déjà plus rare pour un jeu japonais. Les bruitages quand à eux sont bons, mais ceux liés à la météo sont trop discrets. Maintenant je vais passer aux points négatifs du jeu… À commencer par les personnages qui à l’exception d’Elma et de certains PNJ ont le charisme d’une huître. Mais ce qui ne leur rend pas justice, c’est la qualité de la mise en scène de leurs histoires personnelles. Autan celle du scénario, sans être exceptionnel, tien la route. Mais celle des quêtes liées aux personnages (jouables ou non jouables) est catastrophique. Un petit dialogue de début de mission, un objectif très banal à remplir et pour finir un autre petit dialogue pour finir la quête (parfois à peine audible à cause de la chanson, du moins lors des missions consacrées aux PJ). Ce qui est dramatique, c’est que ça donne l’impression que le jeu est moins ambitieux et moins riche que XBC qui l’était déjà bien moins que les précédents Xeno, (hors c’est tout le contraire) en plus d’être déjà bien moins rythmé de part son système de mission. D’ailleurs en ce qui concerne le système de mission, il reprend se qu’il y a de pire dans la plupart des RPG récents. La présence de quêtes de farming (chasses aux monstres, collecte de matériaux,…) sans grands intérêts autre que de nous faire perdre du temps. Le farming de manière général est trop présent dans le post-game, c’est d’ailleurs une des rares choses qui reste à faire dans cette partie du jeu. Que ce soit la création d’Insert et d’équipement, ou la création d’un DOLL ultime. D’autres choses qui viennent gâcher le jeu, c’est l’ergonomie des menus. En dehors de la carte tout le temps affiché sur le gamepad qui est une excellente idée pour un jeu où l’exploration est si importante, tout le reste est à revoir. Trop de menus doublons ou inutiles (celui de la gestion de l’équipe !) , trop de sous-menus qui mériterai d’être des menu à part entière. Une encyclopédie et un bestiaire qui manquent de données (vu le nombre de missions de chasses et cueillettes). Un sociogramme moins lisible que celui de XBC. Et j’en passe… Mais surtout, une police d’écriture ridiculement petite dans ces menus. Quel est l’intérêt de jouer à un jeu console de salon en étant à 2m maximum d’un écran TV ? L’absence d’un mode New Game +, ou la possibilité de refaire les missions du scénario. Ainsi que la limitation à un slot de sauvegarde par profile Wii U, sont à déplorés. Et pour terminer avec les défauts que j’ai pu relever, la localisation est moins réussite que celle de XBC, entre l’absence du choix avec le doublage orignal en japonais, et la censure. Beau pas en arrière de la part de Nintendo qui donne l’impression de ne pas croire à son produit. Malgré tout ces défauts qui en agaceront plus d’un j’imagine, en ce qui me concerne c’est presque anecdotique tan le reste du jeu est réussis à mon goût. (Et puis… il y a des mechas xD)
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The Elder Scrolls IV : Oblivion Edition 5e anniversaire (PS3) - 13/11/2015
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16/20
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The Elder Scrolls IV : Oblivion Edition 5ème Anniversaire finis en 90 heures sur Ps3. Avec la plupart des quêtes principales de finis (c'est marrant de voir tous les titres que notre persos peu cumuler ... Suitedans l'aventure). Il me manque "que" les quêtes des deadras (moins développées que dans TES V) et quelques quêtes de récoltes d'objets rares. Ayant joué à TES V avant, la comparaison est assez rude sur certains points, que ce soit l'ergonomie des menus, la modélisation des visages (et leurs couleurs !), la spontanéité des discussions entre pnj, ou la maniabilité du personnage moins réaliste (et une vue à la troisième personne totalement ratée, heureusement optionnelle). Mais un fois que je me suis habitué à tout ça, j'ai pris plaisir à découvrir Cyrodiil et le jeu lui même. L'univers des TES est incroyablement riche faut dire, la moindre quête peu prendre des dimensions épiques ici. En ayant la version Ps3, je m'attendais à ce que ce soit truffé de bug. Finalement pas tan que ça, je n'ai eu que 4 plantages en 90 heures de jeu. À par ça, je n'ai eu que des problèmes de marqueurs de quêtes, parfois absents, parfois de la mauvaise couleur. Le doublage allemand qui remplaçait le français (pour deux personnages dans tout le jeu visiblement). Sur ce point là jeu reste parfaitement jouable sur cette version, même si la version PC est bien sur à privilégier. Par contre, cette version souffre de quelques chutes de framerate quand l'écran est chargé. La mission finale du scénario est bien gâchée par ça. Et il arrivait souvent que certains dialogues n'étaient pas traduis en français ni doublé. Sur ces points, cette version 5ième Anniversaire est assez ratée, elle ne semble rien améliorer par rapport à la version GoTY. A défaut d'avoir du contenue inédit, la correction de ces défauts n’aurait pas été de trop.
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Metal Max Returns (SNES) - 01/11/2015
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16/20
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J'ai finis Metal Max Returns sur SNES en 33 heures. Les 8 tanks obtenus, les 16 primes vaincus, bazooka laser complété, et boss final "vaincu". J'ai apprécié ce jeu, avec son univers post-apocalyptique. ... SuitePas de royaume à défendre, pas ami(e) à sauver, de destiné farfelue à suivre, d'artefact magique à trouver ou de démon à vaincre... non là le monde est déjà détruit. Il reste quelques villages et une poignée d'habitants, des vestiges de civilisations modernes, grottes et des paysages dévastés. Ça change un peu ! On contrôle donc un héros anonyme (bon Max, c'est dans le titre du jeu, mais on a le choix), fils de mécano, qui veut devenir chasseurs de primes et partir à l'aventure. Et là, on n’a pas vraiment de ligne directrice. D'abord trouver un tank, moyen de locomotion et arme principale dans ce monde sans foi ni lois, puis trouver le moyen d’ouvrir une frontière, et après se débrouiller seul en parlant aux pnj. C’est assez original, on a presque l’impression d’être dans un open-world. À noter que malgré l’univers post-apocalyptique, et quelques scènes tragiques, l’ambiance du jeu est assez comique et casse pas mal les codes du J-RPG standard. Un peu comme Earthbound. La réalisation, c’est très correcte pour un jeu portage d’un jeu NES sur SNES. C’est surtout dans les détails des animations de combat que le jeu impressionne (modélisation des armes, certains effets comme les impacts, ricochets, esquive, explosion,…) et par le monster-design très orignal et mecha-design très réaliste. L’ambiance sonore quand à elle est moins réussite, OST assez courte et peu diversifiés, peu de thème sont réellement marquants à mon goût. Mais les bruitages sont très réussis. Concernant le gameplay, avant d’apprécier le jeu il faut s’habituer à l’ergonomie très lourde des menus; reste du support original. Un menu unique pour parler aux pnj, exécuter une action, vérifier ces équipements,… Mais il existe un sous menu, le BS-Con (une sorte d’ordi portable) où l’on a accès à toutes les informations possibles. Description d’objets et équipements, cartes du monde, GPS pour les tanks obtenus,… Finalement on a accès à pas mal d’informations, encore faut-il faire l’effort de parcourir ce menu salvateur. Une fois qu’on s’est habitué à tout ça, on peu profiter des deux systèmes de combat que propose le jeu. D’abord les combats à pieds où l’on contrôle nos persos comme dans un Final Fantasy ou un Dragon Quest. C’est assez classique mais la difficulté de base fait que les combats sont un minimum passionnant. Puis le combat à bord de tanks. Pas grand-chose ne change, on reste dans du tour par tour, mais évidement à bord de tank on est bien plus puissant, résistant, mais aussi moins mobile (impossible, en temps normal, de prendre un ennemi par surprise). Et on n’a pas accès à tous les lieux à bord des tanks. Ces derniers peuvent être personnalisés, que se soit avec des armes, des options, moteurs, ou des programmes informatiques. Plus les tanks sont équipés, plus ils sont lourds et plus il faut sacrifier des tôles de blindages (les PV). À nous de faire attention à ne pas suréquiper les tanks (ne serais-ce qu’en récupérant un de leurs équipements en donjon, sans forcément les installer), au risque de les rendre très fragiles. Ces équipements peuvent être aussi améliorés dans certaines villes (puissances, stock de munitions, résistances, précisions, esquives,…). De quoi se créer des tanks parés à toute situations, d’autan plus que le jeu est assez difficile, il faut souvent revoir sa copie et changer d’équipements en fonctions des ennemis. En ce qui me concerne ça a été une expériences très agréable, que je recommande à tous les fans de RPG de cette ère. Même si la concurrence est très rude, et qu’il y a mieux à faire en priorité sur ce support.
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Tales of Zestiria (PS4) - 30/10/2015
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15/20
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Je viens de finir Tales of Zestiria et son DLC, sur Ps4 en 59 heures. Eh bien dans l'ensemble c'était assez agréable (qui l'eut crut ? vu le bashing autour du jeu). Bien sur ça reste un Tales of, à quelque ... Suitechose près, on prend la même chose et on recommence. Si la saga ne vous dis rien, ou vous a souvent déçut, inutile d'espérer grand chose de cet opus. D’autan plus que le jeu n’est pas vraiment séduisant concernant la réalisation (oui autan commencer par ce qui fâche). On est plus sur un jeu Ps2 en moitié de vie (porté HD quand même) plutôt qu’un jeu Ps3 en fin de vie. Décors vaste, mais vide avec quelques éléments sortis d’une ère révolue (l’herbe, le feuillage des arbres, les fleurs,… en 2D dans un environnement 3D !). Mise en scène archaïque, même s’il y a des progrès par rapport aux autres opus. Personnages inexpressifs. Level-design générique. Le tout légèrement masqué par uns style artistique très « manga » et de sublimes cinématiques mieux réussites que certains animes populaires du moment. Mais tout ça ne change rien pour les habitué de la saga, c’est à peu près la même chose pour tout les épisodes 3D sur console de salon. Là où c’est nettement plus embêtant, surtout pour un jeu de 2015, c’est que la réalisation n’est pas du tout maitrisée. Chute de framerate et distance d’affichage des décors honteuse (tout deux corrigés en partie sur Ps4 cela dit) et gros problèmes de caméra en combat. Pas là peine de proposer des zones plus vastes et toujours aussi vide, ou une transition directe entre les phases d’explorations et de combats si c’est pour proposer ce résultat honteux. Mais pour le reste, ce Tales of est dans le haut du panier à mon goût. L’histoire est très classique. Une ère du chaos, un orphelin à la destiné incroyable, une princesse au bon cœur, une religion bafouée, des politiciens véreux, des séraphins à retrouver, un seigneur des calamités, un monde à sauver. Bref on change quelques termes mais on retrouve la même chose que dans les autres Tales of. Mais les personnages principaux sont un peu moins stéréotypés que d’habitude, mieux développés et assez mature. Du moins quand la situation l’exige, encore une fois c’est un Tales of, l’humour est omniprésent. Et une fois n’est pas coutume, pas de boulet dans l’équipe ! Pas de perso indécis qui ne savent pas pourquoi ils participent à l’aventure, pas de chouineurs, pas d’écervelés,… bref une bouffée d’air frais pour la saga de ce coté-là. Dommage que la traduction française soit basée sur la traduction américaine qui s’est permis quelques adaptations discutables en plus de l’habituel censure. Dommage sur certains points l’épisode se voulait à peine plus mature que d’habitude. Concernant l’ambiance sonore, j’ai été un peu déçu de l’OST. Non pas par la prestation de Sakuraba, égale à elle-même, c'est-à-dire insipide pour son travail sur les Tales of (mais d’un meilleur niveau que sur les derniers opus). Mais par le très petit nombre de pistes de Shiina ou de collaboration entre les deux compositeurs. Et ces quelques pistes (moins d’une vingtaine) sont malheureusement très peu exploitées dans le jeu. Les scènes où ces pistes sont utilisés n’en sont que plus épique, mais c’est très dommage d’avoir ce déséquilibre dans les musiques du jeu quand il est question d’une centaine de musiques et d’une collaboration entre deux artistes. Par contre, pour une fois dans un opus inédit, on a enfin le choix entre le doublage original et le doublage américain. Il était temps ! Quand au gameplay, en commençant par le système de combat. Même si il est grandement gâché par la caméra absolument horrible dans les zones étroites, il reste vraiment intéressant, un beau mix entre ceux des Destiny, Graces F et les Xillia. Avec comme nouveauté l’Armatisation/Kamui : Sorey et Rose peuvent fusionner avec les séraphins laissant place à une entité très puissante basé sur un élément. Les humains, les séraphins, l’Armatision ayant chacun leurs points forts et leurs points faibles. La difficulté est assez bien dosée en plus, on a le choix entre quatre modes, puis s’ajoutent deux autres modes par la suite. Par contre, dans les nouveautés du gameplay, j’ai trouvé le système de capacité et de fusion d’équipements très mal expliqués (les persos eux même le reconnaissent dans les saynètes) et de toute façon peu utile dans le cadre d’une partie « normale » (à voir dans les difficulté très élevée ou dans le cadre d’un quelconque challenge). En résumer, c’est un Tales of de plus tout de qui a de plus. Avec les habituels défauts et qualités de la saga. Les fans ou les habitués seront encore en terrain connus. Pour les autres pourront passer leur chemin… encore une fois. Ou tester la saga avec un épisode en accord avec sa génération, Phantasia par exemple.
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