Tales of Legendia (PS2) - 20/11/2014
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16/20
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J'ai finis Tales of Legendia en 62 heures. J’ai été agréablement surpris par ce Tales of pour plusieurs raisons : Son univers, riche et original, tout en restant dans un style habituel à la saga, de ... Suitela fantaisie avec quelques éléments de science fiction. L’histoire se passant sur une immense île nommé Legacy qui semblerait être un vaisseau d’une ancienne civilisation. J’ai trouvé que c’était une façon originale de mêler les deux genres, bien meilleure que les habituels mondes parallèles ou voyages dans le temps. Son histoire en deux parties. La première consacrée à Senel, Shirley et à la présentation et développement de l’univers. Senel et Shirley débarquent en catastrophe sur Legacy, et à peine remis de leurs émotions, Shirley, qui est assez spéciale, se fera enlever (à plusieurs reprise même, parenté avec Peach ou Zelda ?) . Senel fera tout son possible pour la retrouver, avec l’aide de quelques autochtones et d’autres touristes qui deviendront ces amis. Jusque là il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais avec son casting réussis, son univers original et son rythme très soutenue, ça donne quelque chose de très agréable à suivre. La seconde partie du jeu, loin d’être anecdotique est consacrée aux personnages eux mêmes et notamment à leur venue sur Legacy, chose qui n’avait pas été traité dans la première partie du jeu faute de temps, pour des raisons évidentes, fallait sauver le soldat Shirley, Senel n’avait donc pas le temps de tailler la bavette. Le casting (des persos principaux comme secondaires) étant un atout majeur du jeu, en ce qui me concerne, en apprendre plus sur eux est très intéressant, riche en émotion et parfois surprenant (l’histoire de Norma !) . Son OST est tout simplement merveilleuse, normal ce n’est pas Sakuraba et ses musiques d’ascenseurs qu’il pond pour la saga habituellement. C’est à Go Shiina à qui ont doit ces magnifiques compositions. Concernant le doublage, ayant joué en version undub (VOSTA en quelques sortes) j’ai pu profiter du doublage original époustouflant (avec plein de voix connus en plus d’être talentueuse). Dommage qu’il n’y ait pas eu le choix avec le doublage sur la version US du jeu. Et concernant la réalisation, les décors sont très jolis et diversifiés, bien qu’un peu vide dans les donjons. Les illustrations des personnages dans certains dialogues importants et dans les habituelles saynètes sont très belles (faut aimer le chara design assez original cela dit), ainsi que les cinématiques. Dommage que les animations des persos (surtout quand ils se déplacent) soient assez ridicules. Mais malheureusement tout n’est pas réussi à mes yeux: Premièrement, le système de combat… Ce n’est pas tan le retour à «une ligne» qui m’a dérangé, d’autan plus que ça reste assez nerveux et que la difficulté en seconde partie est assez élevé rendant tout les combat un minimum intéressant, ce n’est pas en mitraillant un simple combo que l’on peut s’en sortir. Ni par l’IA qui suit assez bien les consignes (même si elle ne s’occupe jamais de l’affinité élémental de l’ennemi, c’est toujours à nous de bloquer les sorts à ne pas utiliser, comme dans chaque Tales of). Mais par les nouveautés comme la jauge Climax, qui peut être très utile quand l’ennemi charge sur le(s) mage(s) du groupe, mais qui se rempli très lentement et se vide trop vite. Aussi comme la possibilité de lancer un ennemi à terre qui ne peut être fait que par nous même en contrôlant Senel. Donc quand on ne le contrôle pas on ne peut strictement rien faire à un ennemi à terre. Ou comme la possibilité de créer des artes spécialisés contre un type d’ennemi, qui est difficile à exploité contre des ennemis aléatoires. Deuxièmement c’est la linéarité du jeu qui m’a embêté, surtout en seconde partie, car la première a une excuse lié à l’histoire. Comme quêtes annexes on a juste droit aux combats de l’arène, à une chasse aux trésors avec un détecteur, et à une chasse aux monstres rares (similaire à la chasse aux trésors). Et pour finir, deux défauts liés à la seconde partie du jeu, la disparition des doublages dans les dialogues (cela dit quand on joue à une version US officielle ce n’est peut-être pas un gros défaut, mais en undub c’est bien triste). Et le fait que l’on revisite les donjons de la première partie (pas plus de deux fois dans tout le jeu heureusement) , un petit tour en dehors de Legacy n’aurait pas été de refus, ou à la limite raccourcir la durée de certaines Character Quest. Mais vous l’aurait compris, malgré ces défauts que certains ne supporteront pas, j’ai adoré le jeu, des Tales of comme ça j’en reprendrai bien un morceau.
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Final Fantasy XIII 2 (X360) - 12/11/2014
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10/20
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Globalement j'ai trouvé que c'était un jeu juste correcte, il corrige quelques défauts de son prédécesseur, mais il est loin d'être parfait vu qu'il en apporte des nouveaux. Le jeu est bien moins linéaire ... Suiteen apparence que le XIII, mais son système de "ligne du temps" et de "paradoxe" ne rendent pas l'exploration facile. Ouvrir un Portail de Cristal (quête annexes) dans une régions ne veut pas forcément dire pouvoir accéder au passé ou au futur de cette même région. Et l'on peut se retrouver dans une régions infester de monstres supers puissants, par exemple, et ne rien pouvoir y faire. On aura donc dépenser un Artefact Primitif (clef des Portails de Cristal) pour rien. Concernant le système de combat, c'est la même blague que pour le XIII, mais en amélioré car ce n'est plus le game over si le leader meurt, ce dernier passe le relais à son partenaire si il est vivant. Pas innovant du coup... Mais pire la difficulté a été revu à la baisse. Les combats se résument à marteler un bouton et de temps en temps changer de Jobs. On peut aussi dompter le monstres et les intégrés dans l'équipe comme 3° persos à Rôle unique, mais le bestiaire est entièrement repompé du XIII, là encore, pas d'innovation. Le Cristarium a été simplifié, c'est pas plus mal pour le coup, on peut se concentrer sur l'évolution des monstres. Concernant le scénario, l'histoire se résume à corriger des "paradoxes temporelles". En plus notre couple de héros est un peu neuneu par moment, surtout au début. L'autre problème c'est qu'il y a très peu de personnages, c'est un peu lourd de retrouver sans cesse les mêmes persos tout le long du jeu à travers les différentes époques, voyage dans le temps et paradoxes je veux bien, mais là c'est trop... L'OST est réussite, bien plus diversifié que celle du XIII à mon goût. Mais Uematsu me manque Toujours pas de choix avec le doublage original. A part le doubleurs US de Caius et Noel (que l'on entend très souvent quand on est habitué au genre) , les autres n'ont aucun réel tallent. Les graphismes sont très jolis, malgré que sur 360 se soit moins réussis que sur Ps3. Techniquement c'est moins réussis que FF XIII, allez savoir pourquoi... Et pour finir la durée de vie est plus qu'honorable, faut compter 35-40 heures pour le scénario, sachant qu'il y a pas mal de quêtes annexes, il y a de quoi faire. Dommage que le jeu soit "en kit" (maudit DLC, je vous hais! ).
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Star Ocean 3 (PS2) - 06/11/2014
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11/20
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Je viens de finir Star Ocean Till the End of Time en 51 heures (dont une dizaine de farming...). Globalement je suis assez déçu par ce jeu. Premièrement par son univers, encore une fois le ... Suitecoté Space Opera ou Science-Fiction est mis très tôt de coté dès le début. Après 2-3 heures de jeu, notre jeune héros se retrouve dans un univers Médiéval-fantastique assez banal, pour revenir dans un Space Opera très peu exploité (avec un retour sur les planètes déjà visité, et dans les mêmes environnements pour couronner le tout). Déçu par son histoire, en plus d'être très longue à démarrer, le seul passage marquant ce passe au 3/4 du jeu avec une révélation choc et assez culotté (qui ne plaira pas à tout le monde) ayant un rapport avec les autres jeux de la saga, mais qui retombe très vite à plat sur la fin. Déçu par ses personnages. Sur 10 (dont 2 qu'il faudra laisser sur le ban de touche vers la fin), 5 se sentent réellement concernés par les évènements du jeu, les autres ne font que de la figuration. Déçu par son système de combat, qui me semble avoir très mal vieillit. Pas de verrouillage de cibles. Les ennemis n'étant pas trop bêtes, bougent tout le temps; on passe plus de temps à taper dans le vide, surtout quand des problèmes de collision s'en mêlent. I.A au fraise, non seulement les propositions de configurations sont parfois débiles (proposer à un mage de ne pas utiliser de magies... quel intérêt ?) et qui de toute façon ne sont pas respectés. Il arrive même que le persos ne fasse strictement rien du combat (bug ?). Pas de vrai combo, juste un enchainement de 2-3 coups, parfois plus quand on envoi un ennemi en l'air et que l'on profite d'un bug de collision (encore). Et déçu par l'ensemble du gameplay, Avec entre autre, les nombreux allé-retours que l'on doit faire dans la quêtes principales mais surtout dans la recherche des PA. Ou l'Item Creation, très lourde d'utilisation et mal expliquée, mais surtout quasi obligatoire pour les deux derniers donjons (et les optionnels) tan la difficulté augmente brusquement (comme d'habitude avec les jeux tri-Ace). Heureusement il reste la réalisation, qui a un peu mal vieillit mais qui reste très potable aujourd'hui. Les environnement sont très variés et bien détaillés. L'OST est agréable, mais je n'ai pas trouvé de thème très marquant (Motoi Sakuraba en même temps, tellement présent que d'un jeu à l'autre j'ai l'impression d'entendre les même musiques). Sinon ayant joué dans une version US Undub j'ai pu profiter du doublage original d'excellente qualité et du 60 Hz. Dommage que ce ne soit pas le cas pour les versions officielles PAL (et US pour le doublage) Et la duré de vie est conséquente, avec notamment plusieurs donjons optionnels très longs et difficiles et les battles trophies. Au final je considère Star Ocean 2 comme le meilleur de la saga, suivis par the Last Hope International qui malgré la naïveté dégoulinante de ses personnages, maîtrise le mieux le concept de Space Opera. Loin devant Star Ocean premier du nom qui est très archaïque et Till the End of Time.
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Final Fantasy XII International (PS2) - 25/10/2014
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16/20
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Finis Final Fantasy XII International Zodiac Job Systeme en 59 heures. Je ne vais pas répéter mon avis sur la première version du jeu, dans l'ensemble je trouve qu'IZJS est bien une version supérieur pour ... Suite3 bonne raisons: _ Le système de Job bien sur, qui nous empêche d'avoir plusieurs "clone" dans l'équipe ou de laisser 3 persos sur le ban de touche. _ le bouton turbo. _ Les modes Nouvelle Parties + Mais c'est loin d'être parfait à mes yeux. Premièrement, certains des 12 jobs sont quand même assez limités, voire très nul. Deuxièmement, le système de coffre à contenue "aléatoire" est toujours présents et toujours aussi nul. Troisièmement, le farming toujours aussi importants pour les annexes. Du coup cette version du jeu est bien plus compliquée que la première, vu que l'on a moins de compétences variées et que les équipements sont toujours aussi long à fabriquer ou compliqués à trouver. J'ai beau considérer cette version comme légèrement supérieur à l'originale, je ne conseillerai pas de la faire en priorité pour autant, car elle est malgré tout plus exigeante et frustrante. Maintenant si vous aimez le farming et les défis faites vous plaisir.
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Final Fantasy XII (PS2) - 25/10/2014
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15/20
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J'ai trouvé que les gros points forts de ce jeu sont l'univers d'une richesse incroyable, la qualité des dialogues, ainsi qu'une partie du gameplay. J'ai apprécier le système de combat avec les gambit ... Suite(ordres précis pour les IA) , même si vers la fin du jeu, le joueur n'a pas grand chose à faire à cause de la polyvalence des persos. Les persos sont très réussis, sauf Penelo qui ne sert qu'à se faire enlever comme Peach dans Mario, ou de narratrice pour l'épilogue (sont plus beau rôle du jeu, même sa tenue à changé pour l'occasion). La réalisation est impeccable, l'OST est très réussite. Et concernant le doublage US, c'est tout simplement un des meilleurs que j'ai pu entendre dans un jeux japonais. J'ai moins apprécier le scénario, peu "fantastique" (pour un Final "Fantasy" c'est un comble). Mais bien écrit pour le coup. Concernant le gameplay, je trouve que la sensation de liberté est fausse, certes on peut en théorie explorer pas mal de lieu dès le début, mais les ennemis qu'on y trouve sont tellement fort qu'il ne vaut mieux pas s'y aventurer. La polyvalence des persos aide bien au début, mais rend le jeu bien ennuyant sur la fin. Je trouve assez stupide le fait que parmi un bonne dizaine d'armes différentes, seul les épées sont mise en valeur en fin de jeu. La difficulté est assez bien dosé, ça peut être difficile si l'on est en sous équipement ou si l'on achète pas les Impulsions (attaques ultimes) rapidement (pour l'augmentation de PM surtout). Les quêtes annexes sont peu nombreuses, les plus importantes sont celles en rapport avec la chasse, à part ça rien de bien utile, en fin de jeu c'est même ennuyant quand il n'y a que du farming à faire avant les boss optionnels ultimes. Mais le gros défaut du jeu, est son système de coffre... de quoi avoir des envies de meurtre sur ses créateurs, surtout quand le jeu exige d'avoir un bon équipement pour ne pas trop trimer. Quel idée de mettre des contenus aléatoire, ou surtout des coffres qui disparaissent si on en ouvre un qui ne faut pas, comme celui de l'arme ultime. Malgré tout ces défauts j'ai assez bien aimé le jeu, mieux que lors de ma première partie, même après Xenoblade Chronicle, qui dans le même genre (sauf pour le style scénaristique) l'enterre complètement.
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Tales of Xillia 2 (PS3) - 23/09/2014
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12/20
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Finis Tales of Xillia 2 en 51 heures avec la fin normale, et la vraie fin. Assez déçus par ce Tales of, qui devait, soit disant, être meilleur que le premier en tout point. L'histoire est en effet un peu ... Suiteplus original que celle des autres Tales of, mais reste très prévisible et possède encore une mise en scène catastrophique. Le système de combat est quasiment le même que celui du premier opus (qui est, pour moi, le meilleur de la saga), en un peu moins bien car on ne peut plus enchainer des chaines d'artes liées aussi facilement. Mais les trois nouveaux persos sont agréables à jouer. Le système d'évolution des personnages est plus classique, plus automatique mais à mon goût ce n'est pas plus mal, au moins ce n'est pas le pseudo sphérier du premier qui n'avait aucun intérêt en termes de stratégie et nous faisait perdre beaucoup de temps dans les menus. Voilà pour les bons points en ce qui concerne, maintenant le reste… Quelques idées originales mais très bancales, comme la dette qui est juste là pour nous limiter les zones, comme si l’histoire très scénarisé des J-RPG ne suffisait pas. Au final il faut juste faire des quêtes annexes (qui ne le sont plus vraiment du coup) très peu diversifiées (chasse, cueillette et livraison…) pour gagner de l’argent et lever des restrictions. Le héros est muet, on est sensé s’identifier plus facilement à lui. Mais à chaque dialogues il est sollicité, et on a le choix entre deux réponses qui, quand elles ne sont pas humoristiques, vont du tout au tout: une très blessante, mesquine, agressive; et l’autre très gentille, naïve, compatissante. Bref ce n’est pas forcément ce que le joueur aurait à répondre. Mais le pire c’est que la vrai raison pour que le héros soit muet est dans le scénario, et on peut la deviné très rapidement. Sinon on a toujours droit à une réalisation dépassée. Il y a bien eu un léger mieux sur les environnements urbains mais c’est à peine visible. Pour le reste c’est vide et moche. Pareil pour l’OST, si je n’avais pas apprécié le travail de Sakuraba sur d’autres jeux, j’aurai dit qu’il s’agit d’un des plus mauvais compositeurs de musiques de jeux vidéo. C’est aussi un des plus prolifiques et en manque d’inspiration visiblement… Pour ToX2 (et les Tales of de manière général) on a encore droit à deux ou trois pistes sympathiques accompagnées de pistes digne de musiques d’ascenseur. Les doublages US sont toujours imposés, pas de dual audio. Pour une saga si japonaise dans l’âme c’est une aberration, surtout après Tales of Chronicle qui avait ouvert la voie au dual audio. Mais plus triste c’est tout le recyclage présent dans le jeu. Déjà on récupère 90 % des zones du premier opus, ça encore c’est un peu normal c’est une suite directe après tout. Mais c’est tout… Pendant une bonne quarantaine d’heure on revisitera plusieurs fois ces mêmes lieux. Ayant bouclé le premier à 100% je me suis ennuyé ferme sortit des combats...
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Ys I.II Chronicles (PSP) - 20/08/2014
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13/20
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J'ai finis Ys I & II Chronicles . Le premier est très archaïque, c'est un peu comme si on rejouait à FF I, remasterisé ou pas. C'est surtout pour le fun et la "culture" on va dire. Il suffit de foncer ... Suitesur les ennemis pour les blesser, idem pour les boss, mais on à un timing à respecter et des techniques à éviter façon shmup. D’ailleurs la saga peut-être apparenté à du Shmup-RPG vu la difficulté modulable en début de partie, les difficultés les plus faciles n'étant vraiment pas intéressantes à parcourir, seulement pour découvrir le gameplay et pas plus, et en normal ça permet juste de passer quelques heures sympathiques mais sans plus, car c'est très court faut compter 6-8 heures de jeu pour le I. L'OST (3 versions aux choix, pour aire plaisir aux fans de la première heures) est magnifique, graphiquement le remake est réussis. Et les donjon ont un level-design intelligent. Pour le II c'est là même chose, mais avec une histoire légèrement plus étoffé et surtout quelques amélioration de gameplay bienvenue, comme la possibilité d'utiliser de la magie. La durée de vie a bien augmenté mais sans dépasser les 15 heures de jeu. 13/20 pour la compilation. Ça reste très fun à jouer, mais pour la rejouabilité faut aimer les challenges corsés.
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SaGa Frontier 2 (PS1) - 15/08/2014
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17/20
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J'ai finis SaGa Frontier II sur Ps en 35 heures (non je ne suis pas fonctionnaire). + L'histoire. Se déroulant sur près d'un siècle. On suit les aventures de Gustave XIII prince de son pays, et Will Knight ... Suitejeune aventurier. Les deux histoires, avec un style très différents, sont captivantes, riches en rebondissement et en émotions. Et les nombreux personnages très attachants. + Réalisation. Un style très atypique, les décors en aquarelle sont magnifiques et très détaillés. Les donjons sont beaux et agréable à parcourir. Le chara-design aussi est très réussis, même gamin, Gustave à la classe. + L'OST. Un régal à écouter tout le long du jeu. Des thèmes variés et somptueux. Une des meilleures que j’ai pu écouter. + Les deux systèmes de combats : Un en duel qui permet surtout d’apprendre des compétences, un en groupe qui permet de s’entrainer. On doit donc jongler entre les deux, c’est vraiment sympa on ne s’ennui pas un seul instant. - Le reste du gameplay… Inventaire limité, équipements qui se dégradent et très coûteux au début du jeu. Il n’est pas rare de passé 5 min devant l’écran d’équipement quand on en obtient un de nouveau, et se demander si il faut l’utiliser ou le regarder encore 5 min puis se décider à le garder pour les coups dur. L’apprentissage des techniques et surtout des magies qui peut-être laborieux. La progression dans l’histoire, par chapitre. Selon l’ordre choisis, certains chapitres optionnels apparaissent, idem pour les destinations destinés à l’entrainement. Au final c’est très linéaire et le fait de jongler entre l’histoire de Gustave et des Knight rend l’histoire assez confuse par moment. Les batailles stratégiques, toutes sont d’une facilité déconcertantes et n’ont peu d’intérêt en termes de gameplay. À l’exception d’une seule, la dernière, d’une incroyable difficulté dû à une grande part de hasard sur ça première moitié. D’autan plus que le joueur n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, il y a deux ou trois façons de réussir cette bataille et c’est tout. Malgré c’est quelques défauts, ça reste une des meilleures expériences en JV que j’ai pu vivre, je vous le recommande chaudement.
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Romancing SaGa 3 (SNES) - 22/07/2014
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18/20
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Finis Romancing SaGa 3 en 42 heures, avec Julian comme héros, et mini jeux de trader fait. Quelle aventure ! Je vais commencer par les évidences, premièrement c'est magnifique ! La SFC crache ... Suiteces tripes, tout comme avec Seiken Densetsu 3. Les décors sont sublimes, variés très détaillés et les animations en combat sont belles et fluides. L'OST aussi est du même niveau, surtout les thèmes de combats. Le gameplay est génial et archi-complet, il faudrait des pages entières pour en expliquer les subtilités. En vrac : De très nombreux personnages, il y en a pour tous les goûts que ce soit en termes de chara design ou en termes de style de combat. En combat cinq persos à contrôler de deux façons différentes. Des formations de combats avec leurs points forts et points faibles. Un système d’évolution assez original repris de… Final Fantasy II. Mais pas besoin de vous enfuir en Serbie à l’entente de ce nom, car le système a été amélioré, ici les stats ne peuvent pas baisser. Un apprentissage de techniques qui se fait pendant les combats. Techniques qui sont très nombreuses et variées, avec beaucoup de spécificité contre tel ou tel type d’ennemis. Et surtout une difficulté très corsée pour profiter de l’entièreté de ce gameplay. Mais tout n’est pas parfait. Déjà l’histoire, sortie de l’introduction des huit héros, il n’y a pas grand-chose d’autres. Et les 22 autres persos n’ont pas grand-chose à dire et à faire, une fois qu’on les a aidés dans leurs quêtes, ils acceptent de nous aider, c’est tout… Difficile donc de s’attacher à ces nombreux personnages presque anonymes (certains le sont même) contrairement à un Final Fantasy VI ou Rudora no Hihou à moindre mesure. Et la progression est un calvaire. Sans réel scénario pour nous guider on est lâché en pleine nature et on doit se débrouiller pour trouver des alliés et des quêtes réalisables à notre niveau. Le jeu est très court mais on perd pas mal de temps à trouver le bon cheminement. Seul les plus motivé trouveront le courage de progresser dans le jeu (sans soluce) pour arriver à des boss de fin presque impossible à vaincre sans bon équipements, techniques et suffisamment de HP, et voir ne fin très quelconque. Le jeu est donc à faire pour profiter de la réalisation exceptionnelle, de l’excellent gameplay assez original sur certains points, et pour le challenge.
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Bravely Default : For the Sequel (N3DS) - 14/06/2014
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14/20
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Finis Bravely Default en 69 heures, avec les 2 fins, lv 99, touts les Jobs maîtrisés et donjon optionnel et son boss vaincu. Ce que j'ai aimé dans ce jeu c'est son Gameplay, que ce soit le ... Suitesystème de combat ("Brave" on enchaîne des tours d'actions, "Default" on se défend et on économise des tours), le système de Jobs repris de FF III / V, ainsi que toutes les options de "confort", comme la modulation de la fréquence de combats, de la difficulté (sachant qu'en normal c'est très bien dosé), des gains ou encore le choix entre le doublage US ou Jap (ces derniers sont excellents et avec pas mal de voix connus). Dommage que les donjons soient juste de petits labyrinthes bien vides. En ce qui de l'histoire c'est autre chose. Je n'ai pas trouvé le début très intéressants, un cumul de clichés avec des dialogues soporifiques le tout sur une base déjà exploité dans FF III et V. Quelques personnages et leurs histoires personnelles relèvent le niveaux, de même que la toute fin du jeu. Mais les chapitres 5 à 7 sont pour moi la plus mauvaise blague que l'on puisse faire à un joueur, ça a beau être justifié par l'histoire, les développeurs n'ont rien fait pour donné envie au joueur de progresser. Si, avec la possibilité d'éviter tout les combats pour enchaîner les événements le plus rapidement possible, et au besoin faire du farming grâce à une zone très rentable, c'était beaucoup plus passionnant comme ça en ce qui me concerne. Et pour couronner le tout, la mauvaise fin qui est accessible très rapidement et assez facilement, dévoile pas mal d’événements de la vraie fin en avant première... Quand au reste, j'ai trouvé l'OST très bonne mais très peu diversifiée, ça tourne vite en rond, comme la seconde partie du jeu.... Graphiquement c'est très beau, surtout les villes. Cependant je déteste le chara-design. J'en garde quand même un bon souvenir tout de même.
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