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Bravely Second (N3DS) - 07/05/2018
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13/20
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Bravley Second est une suite qui ne s'imposait pas, même si elle reste agréable à parcourir. Le gameplay reste le même avec quelques ajouts, l'ensemble reste très appréciable et plus tactique que beaucoup ... Suitede systèmes de combat de RPG. Les graphismes sont aussi les mêmes, les décors sont donc toujours beaux mais en petit nombre, d'autant que beaucoup sont repris de Bravely Default. Au niveau du scénario en revanche, le niveau du premier opus n'est pas atteint à mon sens. La présence de deux anciens personnages dans l'équipe n'aide pas les nouveaux à se détacher et à devenir intéressant. Les dialogues sont globalement moins bien écrits, du moins dans la version française. Les musiques, qui étaient l'un des points forts de Bravely Default, sont une déception. Au lieu des mélodies mémorables de Revo, on se retrouve avec de la soupe, banale et franchement lassante.
Au total, ce n'est pas un mauvais RPG, mais une suite inférieure à l'original sur plusieurs points alors que les défauts (notamment le retour dans les lieux déjà visités) sont toujours présents. J'en attendais un peu mieux.
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Zelda : Breath of the Wild (SWITCH) - 21/01/2018
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20/20
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Comme la plupart de ceux qui l'ont essayé, j'ai été fasciné par Zelda : BotW. Ce qu'il fait n'est pas entièrement novateur, et pourtant révolutionnaire : il combine les mécaniques de la série Zelda avec ... Suitecelles des mondes ouverts de AAA comme l'industrie en produit beaucoup ces derniers temps. C'est exactement ce dont Zelda avait besoin : après des épisodes très guidés, jusqu'à l'écœurement, il était temps de laisser le joueur explorer le monde dans l'ordre qu'il souhaite. Mais c'est aussi ce dont les mondes ouverts avaient besoin : la maladie des mondes ouverts occidentaux, d'Assassin's Creed à The Witcher III, est le manque de gameplay. Ils proposent souvent des mondes fascinants, mais on ne peut les explorer que d'un point de vue visuel, avec très peu de possibilités d'interaction. Quoi de mieux que Zelda, avec ses énigmes, pour injecter du gameplay dans l'exploration ?
Dans BotW, la réflexion n'est plus confinée dans des donjons, mais a lieu en permanence. La moindre colline à atteindre est une mini-énigme, le monde dans son ensemble est une boîte remplie de puzzles à résoudre. C'est l'évolution que j'appelais de mes vœux, moi qui ai toujours préféré l'overworld aux donjons dans les Zelda.
Mais au-delà de sa valeur historique, c'est aussi un jeu qui m'a totalement emporté, grâce à sa direction artistique et sonore, son scénario parfaitement adapté au type d'expérience proposé, et l'ingéniosité sans cesse renouvelée des séquences de jeu, en particulier dans les sanctuaires, qui m'a fait sourire béatement des dizaines de fois.
Après ces 70 heures d'une qualité exceptionnelle, je ne suis pas choqué de voir des testeurs le qualifier de meilleur jeu de tous les temps. Nul besoin de volonté sensationnaliste pour que l'expression vienne aux lèvres.
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Suikoden V (PS2) - 22/12/2017
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19/20
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Après un Suikoden IV que j'ai détesté (ou plutôt avant en ce qui me concerne, vu que j'ai joué au V en premier), Konami revient à la qualité de Suikoden II avec cet épisode V.
Le scénario est l'un des ... Suitemeilleurs que je connaisse, peut-être encore meilleur que celui du II. Il est très mature pour un JRPG, complexe tout en étant toujours clairement expliqué, soutenu par des personnages forts et des musiques très réussies dans les cutscenes. Comme toujours dans les Suikoden, il ne sera pas question de sauver le monde mais d'intrigues politiques où le manichéisme est largement exclu. Pour la première fois dans la série, le héros, tout en restant muet, acquiert un vrai charisme et on s'attache à lui.
Les piliers du gameplay la série sont bien présents, et meilleurs que jamais. On peut bien entendu recruter 108 personnages. Plus encore que dans le II (et contrairement au III), les recrutements font l'objet d'une véritable quête annexe qui permet à la fois de rajouter du contenu de gameplay et de développer la personnalité de la recrue. Ces recrues viennent rejoindre un quartier général et y construire des boutiques ou y lancer des mini-jeux. Les trois types de combats (normal à six personnages, duel, batailles tactiques à la T-RPG) sont de retour, en grande forme. La personnalisation est améliorée avec différentes compétences dont on peut monter le niveau jusqu'à des points différents selon les personnages. Cela permet de différencier les recrues encore plus et de prendre du plaisir à monter de niveau tout le monde.
Les mécaniques se combinent parfaitement pour donner le sentiment de vivre une grande plongée dans un monde fantastique pendant 60 heures. On peut sans doute reprocher au jeu ses 6-7 premières heures, très lentes et sans véritables combats, mais elles sont essentielles pour poser les bases de l'histoire. Lorsque les événements prennent de la vitesse, ils n'en sont que plus marquants.
Enfin, les graphismes sont moyens pour l'époque, mais ont beaucoup mieux vieilli que ceux de Suikoden III. Le character design reste très convaincant, les lieux ont une vraie personnalité, et les illustrations des sorts sont belles.
Au total, Suikoden V est un jeu exceptionnel à ne surtout pas manquer.
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Xenoblade Chronicles X (WIIU) - 13/12/2017
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17/20
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Le jeu est sorti depuis assez longtemps et les avis précédents ont déjà résumé les principaux points, donc je reviens juste rapidement dessus :
- un scénario minimaliste qui ne décolle qu'à la toute fin, ... Suitemais alors vraiment TOUTE fin ;
- des personnages sans personnalité, sans développement, qui n'aident en rien à s'impliquer dans l'histoire ;
- un monde immense et magnifique à explorer (c'est ce qui donne mon 19 en gameplay). Sur ce point, Xenoblade X se situe bien au-dessus du premier (pourtant mon jeu préféré). Je me souviendrai longtemps de la découverte hallucinante de Sylvalum. Loin d'être superflue, la présence des méchas permet d'envisager le monde en deux échelles ce qui renouvelle complètement l'exploration.
- une OST un peu spéciale... globalement je ne suis pas fan, mais la musique de Sylvalum de nuit est si réussie que j'en garde quand même un bon souvenir ;
- un gameplay repris de Xenoblade, donc j'aime, mais sans ajouter grand-chose de vraiment intéressant, et avec même des régressions, comme le système idiot de gestion de l'équipe : il y a plusieurs bonnes raisons d'alterner les personnages, et aussi plusieurs obstacles qui font qu'au final, on garde toujours la même équipe (pénibilité d'aller chercher les persos un par un, absence de gain d'XP pour les persos qui ne participent pas aux combats).
Une expérience très différente du premier Xenoblade, on se retrouve devant un pur monde ouvert, heureusement très réussi.
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Dragon Quest VII (N3DS) - 01/12/2017
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15/20
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J'ai aimé beaucoup de choses dans ce Dragon Quest. Il est très beau, les musiques sont parmi les plus inspirées de la série, et la quantité d'écriture faramineuse ne se fait pas au détriment de la qualité. ... SuiteOn a toujours plaisir à retrouver ce ton de conte qui ne se prend pas entièrement au sérieux, mais propose en même temps nombre de passages émouvants. Sa structure décousue, en nouvelles plutôt qu'en long récit, n'est pas en rupture avec la série (chaque village a toujours ses petits problèmes), mais cet aspect est poussé très loin, au point qu'on passe 70 heures à réaliser des quêtes à petite échelle avant que tout cela ne prenne un sens global.
Malgré tout, j'ai été, à de nombreuses reprises, agacé par la répétition constante imposée par ce jeu. Il nous fait visiter chaque lieu deux fois (passé et présent), puis nous y fait souvent revenir une fois de plus pour diverses raisons. Et il y a des dizaines de lieux ! L'étape de la fouille des armoires et des étagères à la recherche des mini médailles est particulièrement pénible lorsqu'on l'effectue pour la cinquantième fois. Cet agacement m'a souvent poussé à me dépêcher d'avancer (j'ai fini le jeu en 80 heures, moins que la moyenne me semble-t-il), oubliant parfois la patience de profiter de tout ce que le jeu offre. Pour vraiment apprécier ce Dragon Quest, il faut accepter la lenteur et je n'ai pas réussi à m'impliquer en permanence dans cette expérience.
Le système de combat est très classique comme toujours avec les Dragon Quest : du tour par tour, des jobs, du leveling, c'est simple et efficace. Je souligne quand même que les magies d'attaque ne servent pratiquement à rien à cause de l'existence de nombreuses compétences (trou d'air, etc.) qui font autant ou plus de dégâts sans dépenser de points de magie. Et ces mêmes compétences permettent, si on les obtient tôt, de rouler sur les ennemis normaux avec une facilité déconcertante et sans dépenser la moindre ressource, pendant une bonne moitié du jeu. Il semblerait d'ailleurs que ce problème soit exacerbé dans DQ XI.
Je recommande ce jeu pour l'originalité de sa structure, avec une proposition de lenteur et de traditionalisme audacieuse, surtout quand on pense au contexte de sa sortie sur PS1.
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Fire Emblem Heroes (ANDROID) - 26/11/2017
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4/20
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Cet avis sera plutôt un coup de gueule, parce que c'est tout ce que ce jeu m'inspire.
Chaque RPG mobile que j'ai essayé m'a lassé au bout d'un mois ou moins, et celui-ci n'a pas fait exception. Ma vénération ... Suitepour la série Fire Emblem et ses personnages n'y a rien changé. Le gameplay est très basique et ne propose presque que des séances de grinding très longues et ennuyeuses, à l'opposé complet de l'essence de la série FE qui est d'être un jeu de stratégie où il faut réussir avec des ressources limitées. Le scénario est d'une stupidité sans nom. Et les mécaniques de gacha n'apportent rien non plus. Je reste effaré devant l'existence des "baleines" capables d'engloutir des centaines d'euros dans un jeu si creux alors qu'il existe tant de jeux intéressants dans lesquels investir son temps et son argent.
Finalement, le seul point positif de ce jeu se trouve dans le character design, il fournit de nouveaux artworks pour tous les personnages qui apparaissent et ils sont en général de qualité. Même s'il est bien dommage que presque tous les personnages féminins se retrouvent dotées de grosses poitrines et placées dans des positions compromettantes... L'évolution de la série vers des jeux à waifu atteint ici son paroxysme.
Ce jeu ne porte pas la patte Nintendo ou Intelligent Systems, puisqu'il est une simple copie de la concurrence et ne se sert pas du savoir-faire d'une de ces entreprises. Je veux bien qu'on ait peu de temps à consacrer aux jeux vidéo et qu'on ne souhaite pas se lancer dans une fresque de 100h, mais pourquoi ne pas se tourner vers des jeux courts et intéressants plutôt que vers des free-to-play sans âme ?
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Persona 5 (PS4) - 04/07/2017
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16/20
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Persona 5 est un excellent jeu en soi, les avis en-dessous l'ont bien expliqué. J'ai cependant des réserves sur cet épisode considéré à l'intérieur de la série et c'est sur ces points que je vais revenir. ... Suite
Persona 3 et Persona 4, deux jeux que j'ai adorés, sont très similaires : une vie de lycéen japonais, du sim-dating, des donjons aléatoires très basiques, des combats intéressants. Cette similitude est doublement excusable : d'une part, ils étaient relativement novateurs à leur époque, d'autre part ils sont sortis sur la même console dans un délai court. Pourtant, ils proposaient une expérience assez distincte grâce à leur scénario et leur ambiance très différents.
Persona 5, au contraire, sort deux générations de consoles plus tard, alors que la franchise Persona est très bien établie commercialement et a été copiée par nombre d'autres RPG. On pouvait donc attendre une réinvention de la série, qui lui permettrait de rester innovante. Il n'en est rien. On se trouve en fait devant une sorte de reprise du 4. Les deux plus gros défauts de ce dernier étaient un manque de rythme scénaristique et des donjons trop simplistes. Non seulement le premier problème n'est pas corrigé, mais il est encore aggravé dans Persona 5. Les donjons ont fait l'objet de quelques efforts, mais ils sont trop limités. Certes, ils ne sont plus aléatoires, mais leur construction reste basique et la composante "infiltration" n'est amusante qu'un temps.
Tout cela n'efface pas les qualités de Persona 5 (dialogues bien écrits, personnages assez crédibles, système de combat efficace...), mais ceux qui n'ont pas été convaincus par les précédents épisodes le seront encore moins par celui-ci, il faut les en prévenir.
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Tales of Berseria (PS4) - 12/05/2017
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17/20
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Tales of Berseria est tout ce que son prédécesseur Zestiria aurait dû être. Il corrige ses principaux défauts, à savoir la caméra de combat ingérable, les grandes zones vides et le système d'équipement ... Suitebien trop complexe. Il conserve le même univers et c'est plutôt une bonne chose : les univers trop génériques sont souvent un problème de la série, celui-ci est au contraire bien développé grâce à la combinaison de deux épisodes.
Il retrouve aussi une qualité de la série que Zestiria n'avait pas à mes yeux : un casting sympathique. Aucun personnage n'est énervant, sauf Laphicet sur la fin. Rokurou et Eizen sont très réussis et sortent un peu (mais pas trop) des archétypes habituels. Le scénario n'est pas extrêmement original mais est bien rythmé, contrairement à celui de Zestiria encore une fois. Le traditionnel coup de mou arrive plus tôt que d'habitude et dure moins longtemps.
Le seul point inférieur à Zestiria est la bande son. Malheureusement Sakuraba est seul cette fois, et il est loin de retrouver son meilleur niveau (même si le résultat est meilleur que ses pistes de Zestiria). Les graphismes quant à eux restent très faibles même pour un jeu PS3. Ils sont dépassés techniquement et du point de vue artistique, seuls les personnages principaux sont vraiment soignés. Le reste, décors ou PNJ, est générique au possible.
Le système de combat est toujours le principal intérêt des Tales of et là encore, les développeurs se sont surpassés pour nous offrir une version encore plus dynamique et passionnante.
Globalement Berseria me semble être le meilleur épisode depuis Abyss, voire depuis Phantasia.
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Tales of Zestiria (PS4) - 10/04/2017
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13/20
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Globalement je suis en accord avec le test et les avis déjà postés. Zestiria est un Tales of classique avec les qualités et les défauts que cela implique. Il dispose donc d'un excellent système de combat ... Suiteavec quelques nouveautés qui renouvellent l'expérience, mais ne brille pas par son scénario (encore moins que d'habitude, me semble-t-il).
Cependant, il ajoute quelques défauts à la formule habituelle, si bien qu'il est sans doute l'un des moins bons épisodes. Tout d'abord, les graphismes sont affreux : certes, c'est un jeu PS3, mais les décors sont plus proches du niveau d'une PS2. Ensuite, la caméra est un vrai problème. Lorsqu'on joue seul, elle ne dérange que rarement, mais elle empêche presque totalement le jeu en multijoueur. C'est un vrai problème puisque, selon moi, les Tales of se distinguent de la plupart des J-RPG par l'expérience multi sympa qu'ils proposent. Enfin, les personnages ne font pas partie des plus mémorables de la série, alors qu'elle se repose largement sur un casting attachant pour compenser ses scénarios trop basiques.
Au total, Tales of Zestiria se laisse suivre sans déplaisir, mais on a le sentiment qu'il a été développé trop vite et aurait pu être meilleur avec quelques ajustements. Tales of Berseria, qui part des mêmes bases (graphiques, scénaristiques, etc.) mais parvient à un meilleur résultat, le prouve clairement.
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The Witcher 3 : Wild Hunt : Edition Game of the Year (PS4) - 06/02/2017
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19/20
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J'ai fini The Witcher 3 en édition GOTY, donc je n'ai pas connu les problèmes d'ergonomie cités par les reviews à la sortie de la première édition.
Pas grand-chose à ajouter aux précédents avis, ce jeu ... Suiteest une merveille. Tous les autres RPG occidentaux que j'avais essayés m'avaient tellement ennuyé que je n'avais jamais fini un jeu du genre. Enfin, un de ses représentants échappe à tous les travers des RPG occidentaux en monde ouvert : scénario insipide et sans émotion, personnages ennuyeux et tous identiques, quêtes secondaires sans intérêt, gameplay répétitif et simpliste.
Je viens donc de citer en négatif quelques-unes des qualités de TW3, mais il y en a bien d'autres : graphismes splendides, doublage de haute volée, OST sans fausse note, et davantage. Vraiment une perle à ne pas manquer.
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T'es fou de me traiter de fou, Macken le fumeur de ouinj, SH
