Noms alternatifs : Infinite Line, Mugen Kouro, 無限航路 |
26 Mars 2010 16 Mars 2010 11 Juin 2009
PAL | |
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Technique |
Etat : Disponible Média : 1 Carte Flash
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Avis RPG Soluce |
Le titre nous présente Yuri, un jeune membre de l’équipage, qui ne rêve que de gravir les échelons afin de devenir un jour Capitaine. Il lui faudra alors construire, grâce à plus de 150 plans différents, son propre vaisseau et recruter son équipage parmi plus de 200 hommes. L’aventure débutera alors et le fera voyager aux confins de l’univers afin d’explorer de multiples planètes et systèmes solaires.
Projet de grande ampleur développé par Platinum Games (Anciennement Clover) et Nude Maker, Infinite Line s’adonnera au plaisir du RPG dans un univers de Space Opera. Auto-considéré comme le projet le plus ambitieux sur DS, Infinite Line devrait nous proposer un titre avec un univers énorme, une trame longue et prenante et moult détails qui restent à venir… Le système de combat, se fixera sur les batailles stellaires, et donc l’évolution de votre vaisseau restera votre propre préoccupation. A noter qu’un mode multi-joueurs est d’ores et déjà annoncé et devrait proposer des joutes entre joueurs. |
Collection |
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Riskbreaker - 02/12/2010
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9/20
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Tout heureux de me lancer dans cette aventure aux vues des différents avis qu'on pouvait lire ici et là, j'avoue que je suis tombé de bien haut. Autant je ne peux nier les points positifs que tout le monde ... Suiteénumère, autant pour moi ils sont complétement ternis par un lot ahurissant de points de négatifs. Premièrement, les premières heures de jeu sont juste horribles. On ne sait pas où on va, on navigue à moitié au pif, essayant de se retrouver dans cette bouillie de pixels qu'est la map et on se prend Game Over sur Game Over jusqu'au chapitre 2. Bon ok, on s'y habitue, on commence à comprendre les rouages mais punaise... Impossible de rentrer dans le jeu. Les dialogues sont interminables, la plupart se perdant dans des élucubrations politico-guerriere à deux francs six sous, la mise en scène est quasi inexistante alors pour peu qu'on n'arrive pas à blairer la tonne de textes qui défile, le jeu devient d'un soporifique... Bref, on se force un peu puisqu'on lit partout que le scénario est génial, tout ça tout ça, le jeu le plus "intelligent" et le plus "mature" du support... Mouais. Heureusement, à la moitié du jeu, une scène bien sympa nous sort de notre torpeur et on se dit que "ça y est ! c'est parti !". Que nenni, tu quoque mi filii. Le jeu repart très vite sur son rythme de croisière imbuvable jusqu'aux 2 dernières heures de jeu où là, tout prend son sens. Mais non ! Il a fallu tout gâcher par une fin désastreuse, balancée en 2/2, et aucun ajout ni réjouissance particulière après le staff roll. Mouais. 50 heures pour ça. Ca fait mal aux fesses. Ajoutez à cela un système de combat "pierre-feuille-papier-ciseau" aussi nul qu'anti ludique, un système de quête des plus barbants (sans déconner, se retaper 1000 fois les trajets dans la pseudo galaxie, faut pas déconner...), une pléthore de personnages, mais dont les 3/4 sont inutiles et une pseudo exploration de l'univers vraiment chiche, voire minable. On retiendra peut être la construction des vaisseaux et l'agencement des membres de l'équipage, mais bon... Perso, customiser à outrance son destrier ne me plait pas plus que ça. Ah, et graphiquement.... Un des pires softs du support. Hormis les artworks (figés au passage, bien sûr), on ne cessera de se retaper 15 fois les mêmes avancées des vaisseaux, les mêmes explosions, les mêmes twists, etc etc... L'horreur. La bande sonore est du même accabit. Répétitive à souhait. Sans compter les effets sonores (putain l'alarme quoi.... twiiiiiiiiii twiiiiiiiii toutes les 3 min)... Seules les denières musiques du jeu (boss de fin comprise) restent sympas. Enfin voilà, une grosse déception. Un jeu dans lequel je n'ai pas réussi à rentrer dedans tant les défauts sont nombreux, tant le scénario nous promet de grandes choses pour au final retomber comme un flanc, et tant l'ennui était omniprésent. On m'avait promis grand, j'ai tenu jusqu'au bout pour en être sûr, je n'aurais pas du.
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