 13 Avril 2011  6 Avril 2011
Technique  |
Etat : Disponible
Média : téléchargement
PSN : 9,99 €
Poids : 185 MB
Durée de vie : 40 heures
Textes : Japonais
Difficulté : Difficile
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| Avis RPG Soluce |
L’équilibre indispensable du monde est assuré par l’existence de quatre cristaux légendaires détenant chacun les pouvoirs d’un élément. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’à ce qu’une météorite mystérieuse s’abatte en pleine campagne et annonce ainsi le commencement de la fin… Comme pour confirmer cette sombre impression, le cristal du vent se brise sous les yeux médusés du roi Tycoon. C’est dans ce climat relativement sombre que commence notre aventure, sous les traits du jeune et intrépide Butz. Aventurier dans l’âme, c’est lors d’une de ses escapades à dos de chocobo que notre héros tombera sur la fameuse météorite à côté de laquelle il rencontrera Galuf, un homme ayant perdu la mémoire, ainsi que Reina, la fille du Roi Tycoon. Rapidement, les trois personnages se découvriront de troublants points communs, qu’il partageront plus tard avec un certain Faris, pirate de son état. Et s’ils étaient les fameux guerriers censés rétablir l’équilibre dans le monde ?
Après un final fantasy IV résolument tourné vers l’avenir, ce cinquième épisode opère un virage à 180 degrés en se présentant sous forme de véritable retour aux sources. Les prémisses de scénario riche et tortueux laissés par son prédécesseur sont totalement oubliés, et l’on retrouve une simple histoire de sauvetage du monde par les gentils guerriers de la lumière. Le gameplay est lui aussi un hommage aux années NES, puisqu’il reprend celui de Final Fantasy III quasiment à l’identique. Nous retrouvons ainsi un système de job toujours aussi efficace auquel auront été apportées quelques améliorations pour l’occasion.
A des lieux d’être celui que l’on attendait à l’époque, Final Fantasy V ne reste pas moins un RPG très agréable, grâce à un gameplay en béton armé, ou à la présence d’un certain Gilgamesh des plus marquants.
Cette version PSN est l'adaptation de la mouture PlayStation du jeu ; vous retrouverez donc les deux cinématiques – d'introduction et de fin – en images de synthèse conçues spécialement pour ce portage. |
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Oh, mon Dieu ! Il le met., Eric Besnard, NBA Live 2001
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