10 Mars 2017 7 Mars 2017 23 Février 2017
PAL  |
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Technique  |
Etat : Disponible
Textes : Japonais, Anglais, Français

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Avis RPG Soluce  |
NieR New Project, un nouveau jeu NieR, est en cours de conception sur PS4.
Cet Action-RPG à la troisième personne est développé en collaboration avec Platinum Games (Bayonetta).
Le staff inclut :
Directeur : Yoko Taro
Producteur : Yosuke Saito
Game Designer : Takahisa Taura (Metal Gear Rising)
Compositeur : Keiichi Okabe (Drakengard)
D'après Atsushi Inaba, producteur de Platinum Games, Square Enix a contacté son studio pour qu'il puisse inculquer une nouvelle force à la franchise NieR en misant sur la spécialité de Platinum, l'action. |
Collection  |
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Rpgmanu - 07/10/2017
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18/20
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Ayant retourné le jeu dans tout les sens (platine obtenu), mon avis semble déjà toute faite. Oui j'ai apprécié le jeu car le jeu est divin. Le jeu japonnais n'est pas mort et montre encore de quoi elle ... Suiteest capable. Yoko Taro montre encore par ce jeu qu'il est un génie qui sort doucement de l'ombre. Le jeu est varié, l'OST est encore folle, le gameplay est soigné (merci platinum game), l'histoire est bien raconté avec ce système de plusieurs fins. Le jeu est un mot stylé foncez y vous ne serez pas déçu. Mon coup de coeur pour le moment de l'année 2017
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Wolf - 19/08/2017
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16/20
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Mettre une note pareille à ce jeu, ça me fait mal au coeur, mais voilà, c'est bien le maximum qu'il mérite. Le jeu a beau avoir un niveau technique pas folichon, il jouit d'une esthétique qui déboîte la ... Suitegueule. Les plans larges où la nature a repris ses droits sur la folie humaine sont des plus somptueux, chaque lieu visité est un tableau à lui tout seul. Mention spéciale pour la première arrivée en ville et le château, les deux moments où j'ai vraiment retenu mon souffle. La musique de Keiichi Okabe s'avère moins variée que celle du premier NieR (surtout sur la fin où on bouffe essentiellement des remix) mais elle est d'une puissance qui ne faiblit jamais. L'OST reste et demeure un bijou auditif pour quiconque aime le lyrique et le chant. Malheureusement, ce qui vient tout gâcher, c'est ce gameplay signé Platinum Games (Metal Gear Rising et Bayonetta). C'est probablement le plus gros point noir du jeu. Non content d'être assez limité (deux, trois combos à tout péter) malgré une profondeur à explorer (les combinaisons d'armes), les combats sont parfois extrêmement chaotiques, surtout quand les ennemis sont en surnombre. Difficile de savoir qui tape sur qui quand les chiffres et les effets de lumière volent à tout va comme une nuée de corbeaux. C'est précisément pour ça qu'en dépit du bien qu'il m'inspire, Automata n'arrive pas à me convaincre de monter davantage sa note. L'argument décisif de NieR Automata, sans surprise pour les fans du précédent opus, c'est bien son scénario. La fin A que j'avais vu précédemment n'en couvre pas le tiers du quart, et ce n'est qu'en poursuivant l'aventure qu'on en découvre toute la portée. Jamais je ne pourrai l'associer avec Squix tellement elle prend ses standards à contrepied tout en affichant une qualité largement supérieure à leurs licences phares. Une ode au pessimisme désabusé typique de Yoko Taro, le créateur de Drakengard qui a une vraie vision d'artiste de par ce qu'il présente, d'une part, et comment il le fait vivre, d'autre part. Là où le premier NieR préférait distribuer des pains dans la gueule, on chiale un bon coup et ça va mieux, Automata utilise la beauté de sa noirceur pour prendre sournoisement le joueur à la gorge. On n'a pas les larmes aux yeux devant les rebondissements écrasants, on n'est pas choqué. On est juste... juste là, posé, mais totalement vidé de notre substance. Tout n'est que vice et cruauté, de quoi nous mettre le coeur dans un étau et la cervelle à 10K tours/minute, mais aucune larme ne sort. Car Automata n'est pas larmoyant. Il est le vide et la désolation dans leur expression la plus sublimée. Celle où tout passe par nos mains en échappant à notre contrôle. Notre lutte est âpre, mais futile. Tout ceci n'est qu'une gigantesque raison de nous faire traverser des références philosophiques et des expériences de pensées qui nous prennent vraiment pour un être rationnel et intelligent. Ca fait du bien, mais en même temps, ça fout le cafard. Et c'est pour ça que ce jeu est si adorable... Si vous avez joué à NieR et que vous l'avez aimé, jouez à Automata. Tout comme son grand frère, il parvient à percer l'actualité sombre, molle et bienpensante du genre (FF XIII et Persona 4 étant devenu FF XV, SO V et Persona 5) par un rai de lumière glaçante, désespérée et intellectuelle.
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