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Romancing SaGa

Fiche complète de ce jeu

Romancing SaGa est une série bien obscure pour nous autres européens. Même au japon et aux USA, elle reste une série particulièrement peu connue et populaire. Pourtant, elle comporte de très nombreux titres et perdure depuis des années. Dans un sens, ce n’est guère étonnant car les jeux ont toujours eu des particularités qui les différenciaient des autres productions. Chez nous, la série commença avec la sortie de SaGa Frontier 2 sur PsOne, un jeu particulier dans sa construction qui bouleversait les habitudes de très nombreux joueurs de RPG, y compris au sein des plus habitués. Plus tard, ce fut Unlimited SaGa qui sortit sur PsTwo accompagné d’une démo de FF X-2 dans le but évident de promouvoir la série. Le jeu non traduit, complexe et surtout très différent lui aussi ne reçut pas un accueil des plus enthousiastes. Je vous conseil d’ailleurs de jeter un œil au test de Delldongo pour vous permettre de mieux comprendre quelle voie la série entreprend dans sa quête d’originalité. Cette fois-ci, il n’est pas question d’un nouvel épisode mais du remake du tout premier Romancing SaGa, celui-là même qui marqua les débuts des SaGa et sorti sur Super Famicom en 1992.

Une introduction prometteuse :

Le jeu s’ouvre sur une introduction superbe. Le style est assez particulier mais la musique de Kenji Ito fait grande impression comme le style graphique. Les personnages sont en SD, assez loin du travail d’exception de Tomomi Kobayashi (l’illustratrice de la série) mais ils s’avèrent tout de même particulièrement charmants et colorés à l’image de ce qui suit. On a l’impression de voir une bande dessinée prendre vie sous nos yeux. Les couleurs et choix esthétiques sont sublimes malgré ce design si particulier. Enchanteur, tel est le mot qui vient rapidement à notre esprit et le rendu laisse rêveur quand au potentiel du titre. Tandis que les 8 héros du jeu s’animent on est rapidement gagné par l’ambiance et on commence une partie remplie d’espoir.

Un style graphique particulier pour une ambiance féerique :

Techniquement, c’est une question de goûts. Il faut déjà accepter le style des personnages. Les graphismes sont jolis et bien réalisés mais irréguliers. Autant certaines villes sont superbement détaillées et dotées d’un esthétisme sublime, autant certains donjons ou aires de combats sont particulièrement dépouillés. Cela n’empêche pas tous les décors d’être riche en couleur. Certains étant de véritables peintures et un pur régal visuel. Sans égaler un Baten Kaitos, l’ambiance que distille ce jeu laisse rêveur et réussit à immerger le joueur dans un univers fantastique sublime. Ce sentiment est renforcé par le travail musical de Kenji Ito qui a déjà travaillé sur les précédents épisodes de la série, sur des arranges comme ceux de Dark Chronicle Rogue Galaxy ou en partenariat avec Hiroka sur Shadow hearts 2.Son travail s’accorde ici à la perfection avec l’univers du jeu. Ses compositions enrichissent celles qui sont issus de la version Super Famicom et il y rajoute un nombre très importants de morceaux. Son travail est d’une grande richesse musicale malheureusement certains thèmes deviennent vite répétitifs car souvent réutilisés ce qui est regrettable vu le nombre de piste dont se dote le jeu.

C’est encore la faute des Dieux :

L’histoire n’a pas changé par apport au 1er titre. L’aventure prend place sur le continent de Mardias. Cette terre fut construite par le Dieu créateur Marda. Plus tard, une guerre éclata causée par 3 dieux maléfiques, Death, Saruin et Sheraha contre Elore, le Père de tous les Dieux et lui-même Dieu de la Lumière. Death, le plus âgé finit par se rendre et Sheraha, la plus jeune, perdit ses pouvoirs avant d’être bannie dans le monde des humains. Saruin, le plus puissant, fut vaincue lui aussi grâce au courage d’un guerrier prénommé Mirsa. Celui-ci réussit à sceller ce dernier, au prix de sa vie, grâce aux 10 Pierres de la Destinée transmise par Elore. Pour récompenser Mirsa, Elore fit de lui un Dieu après sa mort. Un millier d’années plus tard, le monde a en grande parti oublié cette histoire tandis que les 10 pierres réparties aux 4 coins de Mardias veillent sur le sceau qui maintient Saruin dans sa prison. Malheureusement, la force du scellé s’affaiblit de plus en plus et le Dieu maléfique prépare son retour imminent. Sans le savoir, 8 personnages très différents les uns des autres vont se retrouver mêler au combat légendaire qui se met en place.

Albert : Jeune prince du royaume d’Isthmus, fils du Roi Rudolf et héritier du trône. Il vit paisiblement au sein de son royaume dans lequel il s’entraîne pour devenir un bon souverain et un combattant accompli. Naïf et habité par un idéal de justice, c’est le héros typique de RPG. Malheureusement, un jour, des créatures attaquèrent son royaume. Très vite dépassé par leur nombre et sous la brutalité de l’attaque, les forces finissent par céder et la famille d’Albert se fait massacrer. Obliger de fuir avec sa sœur Diana, ils vont tenter tous les deux de faire la lumière sur ces événements ce qui va bien sûr les amener à se trouver sur le chemin de Saruin. Il est conseillé de commencer avec lui car son introduction est la mieux à même de vous initier au jeu.

Aisha : Vivant au sein d’un clan de Taral, un tribu de nomades qui voyagent dans les vallées de Galessa, Aisha est un peu garçon manqué mais sa personnalité amicale l’aide à se faire de nombreux amis. Comme pour Albert, son peuple fut attaqué par de mystérieuses créatures. Aisha réussit à échapper au massacre et perdit de vue les siens. Obliger de voyager afin de les retrouver, elle se lance dans une aventure dont elle est loin d’en imaginer la portée.

Barbara : Danseuse, Elle vit au jour le jour. Néanmoins, face à la crise qui commence à toucher le monde, elle va s’impliquer dans le combat contre Saruin. Barbara possède d’ailleurs une des fameuses Pierres de la Destinée qui servirent à vaincre le Dieu maléfique. Elle ne le sait pas encore mais son rôle va s’avérer déterminant.

Claudia : Elevée par la sorcière Owl, Claudia vit dans le Mazewood. Proche de la nature, c’est une archère d’exception. Elle a vécu paisiblement ainsi pendant de années à l’abri du monde extérieur. Un jour néanmoins, une personne pénétra dans la forêt et lui demande de l’aide. Avec le consentement de Owl, Claudia et ses compagnons animaux partirent explorer le monde de Mardias.

Gray : C'est un mercenaire un peu solitaire dans son état d’esprit. Cela ne l’empêche pas de voyager avec deux aventuriers, Galahad et Myriam. C’est un puissant guerrier qui ne recule devant aucun défi. Sa réputation s’est largement répandue à travers le monde ce qui ne l’empêche pas de continuer dans sa quête pour devenir le plus grand épéiste de Mardias.

Hawk : Capitaine pirate, Hawk sillonne les mers avec son valeureux équipage. Très réputé dans le milieu des marins, il met la main sur les nombreux trésors cachés. Il possède un rival dans le domaine connu sous le sobriquet de Butcher. Au cours d’une de ses missions, il affrontera des démons de Saruin et se mettra sur le chemin de ce dernier.

Jamil : Voleur vivant au sud d’Estamir. Il vit avec son ami Dowd de ses rapines. Talentueux et brillant, il ne rêve que des futurs trésors qu’il va dérober. Il va un jour entendre parler des Pierres de la Destinée et décide de se mettre en quête de ces légendaires artefacts.

Sif : Puissante guerrière barbare venant de la région glacière de Valhallant. Elle a tout appris grâce au chef du village, Gato et en est rapidement devenue la plus grande guerrière. Elle défend avec ferveur les valeurs des siens ce qui l’amènera à parcourir le monde de Mardias pour sauver ces derniers.

Malgré ces 8 scénarii, l’intrigue de Romancing SaGa n’est pas très développé et tout au long de l’histoire on n’a pas réellement de trame scénaristique qui permettrait une cohésion narrative suivie. C’est vrai que l’on retrouve la quête des Pierres de la destinée et le retour de Saruin au centre de l’intrigue. Néanmoins, le scénario central se divise en une multitude de quêtes qui comme les héros vont être liées entre elles mais cette distribution, dont le découlement dépend de vos choix, empêche de créer une narration soutenue et accrocheuse. Heureusement, la mythologie et le background qui se développe autour sont loin d’être inintéressants bien au contraire. Le continent de Mardias est bien construit et géré au niveau de sa structure, on sent que l’univers de ce Romancing SaGa est cohérent et que ses créateurs le maîtrise très bien. Par contre, pour en saisir toute sa portée, il est essentiel de s’essayer à tous les héros. Les personnages sont quand à eux stéréotypés mais attachants à défauts d’être particulièrement recherchés au niveau de leur psychologie ou leurs motivations. Le scénario bien que sympathique ne représente donc pas la qualité première du jeu qui repose sur d’autres valeurs.

Choisir son héros :

Après l’intro, le jeu propose au joueur de choisir le personnage qu’il veut incarner. On peut modifier le nom du héros et choisir le sexe de … et bien en fait ça sert à rien du tout et n’a aucune incidence sur le jeu surtout que prendre un héros masculin puis le désigner comme féminin O_O cherchez l’erreur. On peut ensuite choisir un job pour ce dernier ce qui influencera les caractéristiques du personnages les compétences que celui-ci va développer au fil de l’aventure. On peut voir que le choix du job tend à diminuer les caractéristiques du personnage et qu’il vaudrait mieux ne pas lui en donner mais ce serait une erreur si on veut forger un combattant de premier ordre. Le choix est restreint au début mais il se développe au fil du jeu. Les jobs acquis sont proposés quand on recommence une partie pour essayer un autre personnage. Une fois le choix terminé, on entre de plein pied au cœur du système de jeu et dans le système de quête qui régit la partie.

Liberté chérie :

Oubliez tout ce que vous savez sur les RPG en général. Romancing SaGa tranche littéralement avec ce qui se fait habituellement. Déjà, le joueur est directement largué dans le monde de RS dans un endroit qui varie selon le personnage choisit, sans indication, ni aide. Le jeu repose sur cette liberté qui est proposée au joueur, une liberté quasi-totale quand à l’évolution de son aventure. On peut librement se balader sur Mardias en cherchant des personnes à aider et se voir proposer des quêtes. Là encore peu d’indications et beaucoup de recherche pour un joueur qui doit avant tout compter sur lui-même en explorant au maximum et en discutant avec chaque personne qu’il peut croiser au fil de l’aventure. C’est ce qui est appelé ici le « Free Scenario System ». Si l’on veut avancer dans RS, c’est un schéma obligatoire auquel on doit se tenir tout au long de sa partie à l’exception de l’introduction de certains personnages comme Albert.

L’exploration du jeu apparaît comme classique en apparence. On se balade sur une carte, on accède à des donjons et les ennemis sont visibles à l’œil. Une bonne occasion de s’entraîner tout en faisant attention à ces ennemis car certains sont démesurément plus forts que la moyenne et en début de jeu il ne faut pas s’étonner de se faire massacrer. Au contraire d’Unlimited SaGa, le système de combat ne devrait pas déboussoler les joueurs. C’est en effet du tour par tour classique, où l’on peut diriger 5 personnages maximum par combats. Un nombre important qui fait plaisir à voir et témoigne également d’un choix conséquent de personnages. En effet, parmi ces 8 héros, d’autres personnages liés aux scénarii viendront se greffer d’eux même à votre petite équipe. On trouve par exemple les deux associés de Gray, la sœur d’Albert, des membres de l’équipage de Hawk ou le fameux Minstrel. On peut également recruter des mercenaires dans les villes qui sont surtout utiles au début du jeu ou quand on manque d’alliés. Par contre, quand un personnage vient se greffer au groupe et qu’il y a déjà 5 membres, il faut penser à en virer un. Selon le personnage, on peut toujours venir le reprendre plus tard mais certains sont perdus jusqu’à la fin. Attention de bien choisir donc. Une fois la team formée, on peut placer les personnages sur différents plans, 3 pour être précis, afin de limiter les dégâts. Bien sûr, les magiciens et archers seront mis en priorité en retrait pour assurer leur survie.

Un système qui apporte de la nouveauté :

Le changement apparaît ici dans le fait qu’on ne gagne pas d’expérience après chaque combat. Un personnage voit plutôt ses caractéristiques augmenter au travers de son équipement et de la manière dont il l’utilise. Ainsi, un personnage qui se bat beaucoup verra ses compétences guerrières comme la force ou la vitalité augmenter tandis que celui qui utilisera des sorts se perfectionnera dans la magie. Ajouté à cela que plus un personnage se sert d’une arme ou un sort en particulier, plus il apprendra des techniques liées à ceux-ci. Il est à noter que sous certaines conditions, qui varient énormément selon les personnages, le stade où en est la bataille, les ennemis, deux personnages peuvent réaliser un combo dévastateur infligeant de lourds dégâts, tuant sur le coup pratiquement n’importe quel ennemi. En bref, tout dépend vers quelle orientation vous souhaitez spécialiser le combattant en sachant tout de même qu’ils ont des affinités déjà propre à la base ne permettant pas par exemple de faire de Sif, une magicienne. On reste dans le cadre qui colle au personnage mais en y apportant son petit lot de subtilité propre. On peut également s’entraîner dans les villes auprès de « maîtres » ou changer de job permettant ainsi de varier les talents de chaque protagoniste.

La santé de vos personnages repose sur deux données. La première c’est les fameux HP, sauf qu’ici ils ne servent que de barrière à vos réel points de vie, les LP. Quand un combattant se fait attaquer, c’est sa barre d’HP qui prend en premier. Une fois arrivée à 0, le personnage peut toujours être conscient et se battre. Néanmoins, à moins d’être guéris, celui-ci verra, lors de la prochaine attaque, ses LP diminuer. Quand ces derniers tombent, le personnage est KO, quelque soit la perte occasionnée. S’il lui reste assez de LP, on peut le soigner mais il ne récupérera que des HP. Il faut donc comprendre qu’une fois tous ces LP consommés, le KO est définitif. Pour récupérer ces précieux points de vie, tout comme les points de magie au passage, il faudra passer par une auberge. Heureusement, les HP se régénèrent quand à eux après chaque combat.

Autre élément important à prendre en compte la durabilité d’une arme ou EP. Ce principe moins rare demande quand même une attention particulière du joueur, surtout si ce dernier ne veut pas se retrouver face à un boss, une épée sur le point de craquer. Heureusement, toutes les attaques n’entament pas l’arme dont est équipé le personnage. Il vous sera précisé à chaque fois combien d’EP compte l’arme et combien la technique que vous souhaitez utiliser va coûter. L’arme cassée, vous ne pourrez rien faire dans l’immédiat si ce n’est en changer. Au pire, il vous reste les poings. Cela représente donc une donnée importante à prendre, sans oublier qu’après un boss il faut aussi se taper le chemin retour. Rationner peut être la clé du succès quoique vu la difficulté de certains monstres, le choix peut s’avérer très dur. Une fois l’arme brisée, on peut encore l’utiliser mais pour des dégâts moindres. On peut alors la faire réparer chez un forgeron ou en dormant à l’hôtel mais dans une chambre particulière (et coûteuse). Le forgeron peut également améliorer vos armes si vous disposez du matériel adéquat qui peut être trouvé dans certains donjons.

Je te plie ça en 2mn … 2 mois pardon ^^ :

Oui le jeu est dur. Déjà car il propose un système un gameplay très complet qu’il faut assimiler, maîtriser et bien gérer ce qui est loin d’être si simple que ça. Malgré la récupération des HP après chaque combat, les ennemis sont dangereux et il faut rationner ses compétences et magies quand on doit se préparer à combattre un boss. Fuir n’est même pas une possibilité puisque celle-ci consomme vos précieux et rares LP selon le nombre de combattants présents au sein de votre équipe. Pour en revenir aux boss, ces derniers sont durs à battre et demandent un entraînement intensif des caractéristiques. De plus, si un des 8 héros du groupe, que ce soit en tant que personnage principal ou allié perd tous ses LP, c’est le Game Over. En sachant qu’on ne dispose même pas d’une dizaine de LP par personnage, on prend peur. Reste l’option de fuir les ennemis quand on les croise afin d’éviter un combat. Malheureusement, rien n’est simple là aussi et les développeurs ont pensé à cette solution. Ainsi, les ennemis vous poursuivront jusqu’à ce que vous changiez de zone et si un groupe d’ennemi vous touche, vous devrez enchaîner les combats sans espérer voir vos HP se régénérer. Le genre de plan à éviter à tout prix. Heureusement, le jeu propose des sauvegarde rapide que l’on peut faire n’importe quand, histoire de rattraper le coup en cas de mauvaise rencontre. On en a use et abuse tout au long de la partie, surtout si l’on veut s’en sortir. De plus, Erol, le Dieu se permet même de venir vous aider de temps à autre, comme ça. Inattendu et excellent à la fois, pour une fois que ces foutus dieux nous aident réellement au cours du jeu. L’équipement coûte cher aussi, tout comme les nuits dans une auberge qui varient selon les services recherchés. Cela peut aller d’une petite régénération de LP et de MP à une remise en forme complète au niveau de la santé et des armes. Cette dernière option est de loin la plus chère et devrait vider le compte en banque que vous avez mis des heures à accumuler. Tout s’achète d’ailleurs, même les magies et tous les ennemis ne laissent pas de l’argent derrière eux, comme les animaux. Normal me dirait-on. Il est recommandé d’investir dans la compétence de recherche sur carte car elle permet de trouver des coffres à trésors qui seront le bienvenue durant votre périple.

Romancing SaGa est clairement un très bon RPG. Superbe, immersif, original et surtout complet. Cependant, ce titre risque de diviser les joueurs. Il faut se rendre compte que le jeu s’adresse avant tout à un public précis. Pour être charmé par celui-ci, il faut à la fois adhérer à son graphisme particulier, son système et surtout sa difficulté qui demande un investissement énorme. Si vous pensez que Star Ocean 3, Dragon Quest 8 ou SMT : Lucifer’s Call sont durs, passez votre chemin, ce n’est rien en comparaison de Romancing SaGa. Non linéaire, le jeu ne fournit aucune aide au joueur et ce dernier demande un investissement considérable. C’est à la fois sa grande qualité et son principal défaut. Néanmoins, ça reste regrettable que le jeu soit si dur car Romancing SaGa nous offre une aventure merveilleuse, enchanteresse et bien plus immersives que peu de (grosses) productions actuelles se permettent de nous offrir. C’est un vrai plaisir que d’explorer et découvrir chaque recoin de Mardias. Je lui mettrais pour ma part aisément plus sans la moindre hésitation car je peux dire que j’ai pris un pied énorme mais ce ne serait pas tenir compte de son côté déstabilisent et de sa difficulté. Cela peut en effet occasionner un sentiment de frustrations chez le joueur qui souhaiterait à avancer à rythme un peu plus soutenu et régulier. Un jeu qu’on peut soit adorer ou ne pas aimer voir détester mais qui ne laissera pas indifférent et on peut comprendre le sentiment de Square Enix de ne pas le sortir chez nous. Par contre, si vous réussissez à accrocher, vous en aurez pour de très nombreuses (centaines) heures de jeux.

Note attribuée : 15/20

Rédigé par Aciel le 19/05/2006

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