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Persona 5

Fiche complète de ce jeu

Après neuf longues années d’attente, Atlus nous offre enfin le retour de la série Persona ! Pour beaucoup, elle reste une série totalement méconnue balayée par la sortie de Final Fantasy XV. Pour d’autres, elle offre une nouvelle identité, dans un monde réaliste dans lequel le joueur se sent concerné par les problèmes qui le touchent. L’histoire aborde des sujets importants et sérieux tels que le harcèlement, le viol, le racisme, la corruption et d’autres faits de société. Tout cela donne un air de maturité au jeu, mais la mise en scène est-elle à la hauteur du sujet ? En effet, n'oublions pas que les protagonistes sont des lycéens, et que c'est selon leur vision (peut-être biaisée) que ces problèmes de société sont abordés.
Si vous connaissez la série, on reprend le même moule que pour les jeux précédents, avec cette fois des adolescents qui vont mener une vie de lycéen ordinaire le jour et de voleur la nuit, tel Arsène Lupin de Maurice Leblanc ! Cependant ici point de vol de bijoux, ce sont des coeurs que nous allons dérober ! Ce nouveau Persona arrivera-t-il à nous faire succomber ?

Un monde de voleurs

Le jeu débute tout d’abord par un cambriolage qui tourne mal. Capturé par la police, notre héros se retrouve en plein interrogatoire et va devoir expliquer tout ce qui s’est passé avant d’en arriver là. En somme, toute l’histoire repose sur ces points : comment et pourquoi cela est-il arrivé. Le titre propose un nouvel univers : le monde des voleurs.

Après ce prélude de cambriole nous retrouvons notre jeune lycéen fraîchement arrivé à Tokyo, intégrant une nouvelle école comme dans Persona 3 et 4. La différence est que là, notre personnage étant accusé d’un délit (qu’il n’a bien sûr pas commis), il se retrouve en période de probation chez une connaissance de la famille, Soji Sakura. Il ne commence donc pas sous les meilleurs auspices.

Arrivé au lycée, beaucoup de rumeurs vont se répandre sur notre jeune protagoniste. Il va vite faire la rencontre de Ryuji Sakamoto, et c’est là que va commencer l’aventure des « Phantoms Thieves of Heart ». Suite à différentes péripéties, nos héros se retrouvent propulsés à leur insu (au départ) dans un monde parallèle appelé le Metaverse, une sorte de monde matérialisé par les désirs les plus sombres de certaines personnes. Grâce à l’assistance d’un personnage un peu spécial rencontré lors de cet événement, les protagonistes prennent l’initiative de s’y rendre pour voler le coeur des gens et leur faire changer d’attitude. En effet, ce cambriolage rappelant l’action de Robin des bois n’a pas pour but de s'enrichir mais simplement de purifier leur âme. Dit comme cela, vous pouvez avoir l’impression de jouer à un énième RPG avec une histoire assez simpliste mais ce n'est absolument pas le cas.

Au niveau de l’histoire, tout se suit, que ce soit entre les flashbacks après chaque cambriolage réussi, la vie passée en tant que lycéen et les divers sujets abordés. Le jeu est tout de même assez directif (surtout au début et à certains moments de l’aventure) mais le joueur se laisse porter par l’histoire qui est en soit très attractive jusqu’à la fin du titre Par contre les nombreux dialogues pourraient en rebuter plus d’un surtout que Persona 5 n’a pas été traduit tout comme ses prédécesseurs mais cela est-il une raison suffisante pour se priver d'un tel jeu ?

Un vrai trésor de réalisation

Avant d’entrer dans le vif du sujet, parlons de l’esthétique générale du titre. Ici, vous n’allez pas vous en prendre plein les yeux d’un point de vue technique, le jeu ayant été conçu à la base pour la PS3. Pourtant, le tout fonctionne très bien et s’accorde parfaitement à l’ambiance générale du titre, le joueur se retrouve vraiment immergé dans une esthétique proche de ce que peut nous offrir les blockbusters de l’animation japonaise.

La direction artistique, parlons-en. Que ce soit l'interface, les menus ou les temps de chargement, tout s'enchaine et bouge, rendant le jeu visuellement très dynamique. À chaque sélection d'un menu, une courte animation de l'image de fond nous emmène vers l'onglet suivant, donnant au jeu des airs de comics ou de mangas.

Aussi bien que dans les Palaces (les donjons) ou qu’au niveau de la ville de Tokyo, tout est vivant et on ressent vraiment l’effort qu’Atlus a fait pour son dernier bébé. L’animation est de bonne facture et cela se ressent au niveau des combats et de l’avancée de nos héros dans les Palaces. Certes, beaucoup ne pourront pas apprécier l’extravagance des menus (beaucoup d’animations, de cadres et sous-cadres et d’effets visuels) et les couleurs flashy du titre tout au long de votre périple, mais la réalisation est tellement bien pensée qu’on ne peut qu’y adhérer pleinement. Et en bonus, Atlus nous offre aussi beaucoup de scènes cinématiques réalisées avec soin qui parsèment l’aventure de nos voleurs.

Qui dit réalisation dit aussi voice-acting et aussi OST ! Là, on en prend encore plein les oreilles. Atlus a fait le choix de prendre des seiyu assez connu dans l’animation japonaise comme Aoi Yuuki (Erased) ou Jun Fukuyama (Assassination Classroom). Le doublage des personnages est donc de très bonne facture que ce soit en anglais ou en japonais et même les divers sons que nous pouvons entendre dans la ville de Tokyo nous immergent bien dans l’univers de Persona 5.

Pour ce qui est de l’OST, nous retrouvons Shoji Meguro qui a déjà travaillé sur quasiment toute la série Persona. Ici, on se trouve avec un style qui passe du jazzy à une ambiance très J-POP. Prenez simplement la musique d’introduction “Life Will Change” et vous retrouvez tout la quintessence de ce que peut nous offrir le titre. Bien sûr, pour les fans, nous retrouvons la musique de la Velvet Room qui reste tout de même l’une des musiques emblématiques de toute la série. Pourtant le travail que nous offre Shoji Meguro reste simple et avec beaucoup de redites au niveau musical, mais ce qui en soit n’est pas déplaisant.

En définitive, si nous devions trouver des mauvais points au niveau de la réalisation : le jeu n’explosera pas la rétine des joueurs jurant par la technique des jeux-vidéos d’aujourd’hui mais il offre une esthétique très bien faite et il n’y a clairement rien à redire au niveau de la réalisation (bonne animation en combat, jeu vivant, etc.).

Entre dating sim et vie écolière

Afin d’expliquer au mieux le système du jeu, surtout pour les néophytes, il est important d’évoquer les bases du titre. Outre le fait que le jeu soit un RPG et qu’on doive aller dans les Palaces afin d’y occire des boss, il y a tout un aspect « Dating Simulation » qui est très important.

Le jeu a un déroulement particulier, ici tout se fait en fonction de la scolarité de notre héros. En effet, il démarre en Avril et se termine en Décembre (fin de l’année scolaire chez nos amis japonais). Notre personnage doit donc étudier afin de réussir son année il peut avoir un ou plusieurs petits boulots à mi-temps, jouer aux jeux vidéo, regarder des DVD, aller au cinéma, faire des rencontres. En fonction des événements, il gagne des points de caractéristiques en « Guts, Charm, Knowledge, Kindness, Proficiency ». Chacune de ces stats est nécessaire à un moment du jeu pour prendre part à d'autres événements, avoir de meilleurs résultats, améliorer nos relations avec les confidents.

Un des aspects importants du titre est celui du confident qui permet à la fois d’augmenter le nombre de points d’expérience que vous pouvez avoir en effectuant des fusions de Persona mais aussi de débloquer certains bonus très importants pour la suite du jeu. La relation sociale de ces derniers est primordiale et chaque confident est un personnage avec qui notre héros effectue une sorte de pacte, à savoir une relation privilégiée où nous avons droit à divers scénarii spécifiques. Un petit exemple assez simple est celui de Tae Takemi qui au fur et à mesure que vous gagnez sa confiance vous permet d’acheter de nouveaux objets dans son magasin. Bien sûr, pour cela il faut prendre le temps de lui parler, donner les réponses qu’elle attend afin d’augmenter son rang (qui va de 1 à 10). Chaque personnage est lié à une arcane de Tarot, chacune correspondant à un confident rencontré au cours de l’histoire (comme Tae Takemi). Certains sont obtenus automatiquement tout au long de l’histoire tandis que d’autres peuvent être rencontré à un moment X du jeu ou en explorant les différents quartiers de la ville.

Que ce soit les personnages jouables ou non-jouables, tous peuvent accéder aux rangs 10 et ainsi nous offrir quelques bonus pendant notre périple. Ann Takamaki, par exemple, peut obtenir une compétence très utile permettant de passer le tour aux personnages suivants avec le « Baton Pass ». Certains confidents peuvent aussi nous offrir des bonus permettant aussi d'améliorer les compétences de combat des personnages jouables mais aussi d'accéder à de nouvelles techniques (un confident PNJ pouvant par exemple nous enseigner de nouvelles tactiques...). A noter que si vous montez les relations jusqu'au rang 10 (pour les personnages féminins), Il est possible d'avoir une relation amoureuse avec chacune d’elles, ce qui nous demande alors de choisir scrupuleusement laquelle (à moins de vouloir toutes les inviter à la fois...).
En dehors de ça chaque confident permet d'obtenir des capacités spécifiques au fur et à mesure que la relation progresse, jusqu'au rang ultime (rang 10) qui permet de débloquer de nouveaux Persona. Pour les membres de votre équipe, ce sera l'équivalent d'une évolution du leur, tandis que pour les personnages non jouables, un Persona ultime de chaque arcane pourra être créé pour le protagoniste.

Le seul souci auquel le joueur peut s’attendre, c’est qu’il se doit de faire des choix. En effet, il ne peut pas tout faire car chaque interaction prend du temps, que ce soit aller dans un Palace, ou regarder un film. Il faut donc prendre des décisions et il est quasiment impossible de maximiser à la fois tous les confidents et les statistiques du héros en une seule et unique partie. Un autre problème vient aussi du fait qu’il se peut que vous ne tombiez jamais sur un personnage ou un mini-jeu tout au long de votre périple dans la mesure où tout doit être réglé au niveau de votre temps journalier (le base-ball par exemple) et qu’il faut aussi avoir la curiosité de parcourir la ville de Tokyo.

En définitive, le système social du jeu est indissociable du titre. Si cet aspect ne vous intéresse pas outre mesure, vous pouvez passer votre chemin car c’est une mécanique essentielle du titre. Par contre, si vous souhaitez y prendre part et en tirer profit, vous apprécierez encore plus le jeu.

Une vie lycéenne pas vraiment comme les autres

Trêve de bavardages, parlons enfin de ce que tout joueur attend dans un RPG : un bon système de combat. Avant cela, il faut savoir que les différentes joutes que vous allez rencontrer seront exclusivement dans les différents donjons appelés Palaces ou dans le Memento (sorte de donjon généré aléatoirement pour certaines quêtes annexes). Lorsque vous y entrez, vous perdez nécessairement une journée (mais la progression de l'un des confidents peut y remédier).

Les différents ennemis sont visibles, il y a donc certaines subtilités auxquelles le joueur peut s'attendre comme pouvoir les éviter en se cachant, les attaquer en premier par derrière. Cet aspect infiltration permet de rester dans la thématique du cambriolage et apporte un cachet supplémentaire au titre. Après tout se fait comme dans un RPG lambda, vous pouvez découvrir des coffres, résoudre des énigmes mais il reste tout de même une petite jauge qui vient perturber ce système. En effet, cette jauge montre le taux de vigilance des ennemis et si elle arrive à 100% toute l’équipe retourne dans la réalité. Ceci dit, elle ne monte que si vous vous faites repérer et peut-être diminuée en prenant des ennemis par surprise. Une fois la fin du donjon atteint, le boss ne se montre pas directement. Tout un système se met en place où vous devrez quitter le donjon afin d’envoyer une carte à celui dont vous voulez purifier le coeur, donc vous perdrez une nouvelle journée à préparer tout cela. Le jeu se doit donc d’être réglé au millimètre près même dans le Metaverse car chaque action est importante. En évoquant les donjons, il est t intéressant de noter que l'ensemble du titre fait preuve d'une cohérence à saluer. La réalisation est relativement bonne. Tous les lieux ont un rapport avec la thématique du cambriolage et il en va de même pour les Personas de nos personnages.

Revenons en au combat ! Comme dit précédemment, au fur et à mesure du jeu vous pouvez améliorer vos Persona afin d’acquérir différentes compétences comme le « Baton Pass ». Cette technique permet de rendre le jeu beaucoup plus dynamique. Afin de bien expliquer les choses, dès que vous touchez un point faible de l'ennemi comme par exemple s’il est faible à la magie de type Agi (Feu) ce dernier se retrouve à terre et vous pouvez passer la main à un autre équipier afin qu’il exécute une autre attaque ou profiter d'un tour supplémentaire selon la décision du joueur. Après avoir mis tous les ennemis à terre, il est également possible de faire un « hold-up » qui permet de demander de l’argent ou un objet, de tenter de recruter ou de lancer avec vos camarades une « All-Out Attack » dévastatrice.

C’est bien beau de parler de combats, mais comment le système de Persona fonctionne-t-il ? Pour faire simple, le seul personnage à pouvoir utiliser plusieurs Personas est le héros. Les autres auront juste leur propre Persona. A chaque palier de niveau, ces dernières peuvent gagner des compétences supplémentaires (par exemple Agilao, Media, Tarakuja). Ces diverses magies peuvent aussi s’acquérir via le système de skills cards qui peuvent soit être créées ou trouvées tout au long de votre périple.
Si le héros peut avoir plusieurs Personas, le moyen le plus simple pour en avoir est de négocier avec les divers ennemis . Comment me direz-vous ? Si vous connaissez la série Shin Megami Tensei, on retrouve le fameux système de négociation ou il faut parler avec l’ennemi après avoir exploité sa faiblesse et répondre à ses questions en fonction de son caractère et des réponses qu'il attend. Les joueurs ayant la collectionnite aiguë pourront s’en donner à coeur-joie car il y a tout de même une bonne centaine de Persona à collectionner dont certaines ne sont pas « attrapables ».

De là arrive le système de la Velvet Room qui a pris cette fois la forme d’une prison. C’est dans cette dernière que vous pouvez fusionner vos Personas, les transformer en objet ou en une autre Persona. Par rapport à la fusion, le joueur peut s'en donner à cœur joie car il pourra effectuer des fusions à 3 ou 4 Persona (mais pas en début de jeu) mais aussi acheter celles qu'il a déjà attrapé grâce au compendium.

Qui dit RPG, dit aussi quêtes annexes et outre le système de maximisation des confidents qui fait partie intégrante du jeu de base, nous avons tout de même le Memento. Comme dit précédemment, ce donjon est généré aléatoirement à la manière des donjons de Persona 4 sauf qu’içi il sera uniquement question d’aller chercher certains personnages qu’il faudra combattre afin de changer leurs coeurs via certaines quêtes. C’est par le biais de Yuuki Mishima (Le Confident Moon) que vous pourrez accéder à ces quêtes qu’il récupérera via le fansite des Phantoms Thieves (site faisant partie intégrante du jeu) mais vous pourrez aussi en avoir à certains moments clés de la maximisation de certains confidents. Comme dans tout RPG, le système d’équipement a son importance. Le joueur pourra en “upgrader” grâce à un certain personnage mais aussi en acheter. Grâce aux différentes Personas du jeu vous pourrez même en créer à la Velvet Room.

Le système est très bien ficelé, tout se comprend très vite, surtout grâce aux trente première heures de jeu qui sont une sorte de phase de tutoriel expliquant chaque ficelle du titre. A la fin, le joueur se retrouve alors à vraiment tout planifier afin de maximiser son temps, connaître les personnages mais surtout profiter du titre. Les combats sont très dynamiques et tout cela se ressent par les différents jeux de couleurs mais aussi par tout le système qui s’imbrique parfaitement (infiltration, attaque par derrière, choix des Personas, « All-Out Attack », « Baton-Pass »…), . Le seul petit bémol qu’on pourrait noter c’est l’impossibilité de retourner dans les différents Palaces après avoir tué le boss (ce qui est normal par rapport au scénario) ainsi que la nécessité quasi-absolue de prendre l'ennemi par surprise (pour éviter que ce dernier puisse attaquer deux fois dès le début du combat). Il reste aussi la gestion des SP qui peut paraître hasardeuse car le joueur se doit de toujours utiliser ses magies en combat et une caméra parfois un peu casse-pied.

Être voleur, ce n’est pas si facile

Persona 5 est un titre, comme ses aïeux, extrêment punitif, le mode normal reste malgré tout difficile si vous n’arrivez pas à comprendre tout le système de faiblesses des ennemis et surtout si vous n’avez pas les bonnes Personas au bon moment. Il peut vous arriver de vous perdre dans un des Palaces et d’atteindre un point où justement un boss effectuera la magie Mudo (Mort) et qu’à ce moment précis votre équipe subisse un Game Over surtout en sachant que la mort de votre héros en provoque un directement. Pour les plus hardcore, Atlus a offert à tout le monde un nouveau mode de difficulté, le Merciless qui est une sorte de mode ultra hard.

Le jeu s’offre aussi quelques boss optionnels comme The Reaper qui peut arriver à n’importe quel moment dans le Mementos mais aussi à deux autres dont on taira le nom afin d’éviter de trop spoiler.

Comme dit précédemment, le jeu se doit d’être bien réglé (selon votre façon de jouer), il faut donc faire en sorte de tout faire, de ne rien oublier afin de mieux profiter du titre. Ne pensez pas terminer le jeu en une cinquantaine d’heures car le titre se veut très long (avoisinant les 100 heures) et on ne compte pas les heures de grind dans les difficultés plus élevées.

Bien sûr, après avoir terminé le jeu, vous pouvez accéder au new game plus qui permet aux joueurs de garder son argent, le compendium des Personas, l’équipement, les skills cards et bien sûr les social stats (Proficiency, Kindness, Charm, Gust, Knowledge). Par contre, on ne garde pas les rangs des confidents. Le NG+ permettra aussi aux joueurs d’affronter un certain boss et d’accéder à la Persona ultime ainsi que de créer la dernière arme du héros.

Atlus nous offre encore une fois un titre fou qui trouve sa richesse dans son concept, celui du cambriolage. L’esthétique est tout simplement parfaite et on se laisse porter par ce grand voyage On se retrouve avec un titre empreint d’une certaine maturité dans les thèmes abordés. Le système semble parfait car il allie à la fois un système bien rôdé de dating sim où le joueur peut entreprendre d’aller à l’école, sortir avec ses amies, aller dans les Palaces mais aussi un gros aspect collection avec le système de Personas et de fusions. Il faudra tout de même s’attendre à faire le bon choix afin de pouvoir bien entreprendre toutes les ficelles du titre même si nous avons le droit à une difficulté qui permet aux joueurs ne connaissant pas la licence de pouvoir se laisser tenter.

Vous l’aurez compris Persona 5 est tout simplement un jeu frôlant la perfection même si il n’a pas été traduit dans la langue de Molière.

Note attribuée : 18/20

Rédigé par Sadness le 12/08/2017

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