| Nom alternatif : Avatar Tuner 2 |
 22 Février 2007  4 Octobre 2005  27 Janvier 2005
Cover  |
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| Technique |
Etat : Disponible
Média : 1 DVD
Durée de vie : 30-40 heures
Mode : 60 Hz
Difficulté : Moyenne
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C'est la suite directe du premier numéro, et c'est presque exactement le même jeu. Quelques améliorations sont malgré tout là, comme par exemple un nouveau sphérier beaucoup plus stratégique, une nouvelle forme mi-humain mi-monstrueuse, ou encore la possibilité de s'équiper d'anneaux, qu'on peut modifier à volonté. Il conserve donc toutes les qualités de son ainé et vous entraîne dans une aventure réellement hors du commun. Malgré tout, l'aventure est bien plus courte et facile que le premier volet, on aurait pu s'attendre à un dernier monstre plus retors... Au passage, je conseille vraiment d'avoir terminé le premier avant d'attaquer le deuxième. |
| Collection |
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Madsurfeur - 05/05/2013
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16/20
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Peu de nouveautés sur cet épisode par rapport au premier, suite directe oblige
Je ne m'attarderai donc pas sur les acquis du premier, le jeu est difficile, le gameplay intéressant, et le scénario riche ... Suiteen surprise
Une durée de vie assez courte (moins de 40h pour finir la trame principale)
Les musiques m'ont semblé moins marquante que celles du premier mais l'ambiance reste intacte
Indispensable pour les joueurs du premier opus, je garde un bon souvenir de la saga
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RAGNAROK - 24/06/2010
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16/20
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-Suite directe du premier "Digital Devil Saga", cette seconde et dernière partie reprend la trame de son prédécesseur là où elle s´était arretée. Ainsi, de nombreuses questions laissées en suspens trouveront ... Suitenaturellement leurs réponses au fil de la progression de cette fantastique épopée qui prend part dans un environnement radicalement différent de ce que Serph et ses compagnons imaginaient... En effet après etre parvenus au sommet de la Tour du Karma et avoir vaincu Angel, nos amis pensaient pouvoir se débarrasser de leur condition de démon en accédant au "Nirvana" à l´aide de Serah, la jeune fille mystérieuse aux cheveux noirs qui les a aidé jusque là. Cette dernière était considérée comme un messie dans le monde impitoyable de Junkyard. Mais la dure réalité est tout autre, le panorama qui s´offre à eux n´a rien d´un paradis, si ce n´est qu´une ville en ruine où ses habitants ont été pétrifiés, visiblement par des rayons néfastes d´un soleil noir dominant le ciel écarlate. Le groupe ne subit aucun effet anormal mais découvre que la civilisation de ce monde "post-apocalyptique" est gouvernée par la société Karma et qu´elle se terre sous la surface de manière à survivre à cet étrange phénomène. Serph et les autres n´ont pas d´autres choix que d´explorer cet univers inattendu en espérant de voir un jour la lumière au bout du tunnel...
-Ainsi commence l´introduction accompagné d´un excellent thème chanté qui ouvre le bal de façon spectaculaire afin de se remettre dans le bain de DDS. S´il n´est pas indispensable de posséder DDS1 pour comprendre l´histoire de DDS2, il est cependant préférable de jouer au 1 pour exploiter pleinement les parcelles de l´histoire dans son intégralité et ainsi, profiter de cette odyssée plus intensément. De plus, une sauvegarde de DDS2 sur la Memory Card contenant une sauvegarde de DDS1 donnera lieu à des petits bonus sympatiques pour le gameplay mais qui n´ont pas de réelle influence sur l´intrigue. Une fois de plus, on plonge au coeur d´un scénario en béton à la hauteur d´un Megaten. Nous nous promenons dans des zones plus modernes que dans l´opus précédent avec une ambiance plus orientée "science-fiction" mais toujours dans un univers sombre et stérile.
-Les joueurs habitués à la série "Shin Megami Tensei" retrouveront leurs marques avec le système "Press Turn" identique à DDS1 avec quelques petites nouveautés cependant comme le mode "Berserk",sorte de 3ème transformation mi-humaine/mi-démon qui permet de pimenter encore plus les combats toujours aussi intenses. En gros on ne peux qu´attaquer phisiquement sous cette forme du fait que les compétences sont inutilisables et la précision et la défense s´en retrouvent réduites. Pour contre-balancer ces effets pas très encourageants, la force et l´agilité augmentent considérablement, il est plus facile d´effrayer les ennemis, les "Atama Points" sont décuplés et la probabilité de fuite est assurée à 100% (si l´on juge qu´il est préférable de tourner les talons quand les choses se gatent plutot que de prendre des risques inutiles)- La grille des Mantra cède la place à une sorte de damier à cases octogonales (un peu comme l´intérieur d´une ruche d´abeilles)- L´apprentissage des skills s´effectue de façon plus "libre" je trouve car on n´est pas obligé de suivre une partie d´un shéma prédeterminée en passant par plusieurs cases si l´on désire atteindre une compétence en particulier. C´est un autre système de navigation qui est peut-etre parfois un peu hasardeux suivant la manière dont les personnages sont orientés. Du coté des persos, on retrouve Serph, Argila, Cielo, Gale...
Heat qui était présent dans DDS1 ne sera pas de la partie, mais on le voit dans les scènes cinématiques et on aura meme le privilège de l´affronter à un certain stade du jeu ! Comme quoi les amis d´hier deviennent les ennemis de demain ! Mais je vous laisse y jouer pour savoir de quoi il en retourne et comment cela finira. Un nouveau personnage fait son apparition, Roland, et il est désormais possible de controler Serah ! Meme si DDS2 ressemble pas mal à DDS1, il apporte en gros quelques petites nouveautés et améliorations (nouvelles commandes, nouvelles skills, bestiaire plus étoffé, etc...)- Si l´effet de surprise ne se ressent pas autant par rapport à son ainé, le fait d´évoluer dans un monde totalement inconnu et la satisfaction de faire la lumière sur beaucoup de zones d´ombre réhaussent largement l´interet du titre ne serait que pour connaitre le dénouement de cette aventure passionnante et c´est là l´essentiel. Le jeu garde les memes qualités et défauts que son grand frère, à savoir un très bon scénario, les memes graphismes quoique peut-etre légèrement plus beaux et colorés, le système "Press Turn", une linéarité perceptible et une durée de vie plus que modeste. Cependant le New Game + est toujours de mise et rallongera la durée de vie. La difficulté a été légèrement atténuée mais elle reste digne d´un Megaten, donc il faut toujours etre prudent et bien se préparer pour les combats.
-Graphiquement et musicalement c´est du meme calibre que DDS1, donc pas grand chose à dire de ce coté-là si ce n´est que j´ai préféré les musiques en général de DDS2. (voir ma critique DDS1 si vous voulez plus de détails concernants ces deux critères)-
-Passons maintenant au bilan:
-Scénario: 18/20
-Graphismes: 18/20
-OST: 17/20
-Gameplay: 14/20
_Conclusion: 16/20 { Au final cet épisode n´est ni meilleur, ni inférieur à son prédécesseur- Il faut le vivre pleinement pour terminer entièrement l´histoire de Digital Devil Saga- Donc indispensable ! En ce qui me concerne j´ai été conquis, car c´est un très bon Mégaten ! }
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A mon tour maintenant !, Camélia, Arc 4
