Nom alternatif : メタルマックスリターンズ |
29 Septembre 1995
JAP |
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Technique |
Etat : NTSC-J (import) Média : 1 cartouche
Durée de vie : 25 - 35 heures
Mode : 60Hz
Textes : Japonais
Difficulté : Moyenne
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Avis RPG Soluce |
Ce Metal Max Returns n’est rien d’autre qu’un remake de Metal Max paru quelques années plus tôt sur Nes. Cette mise à jour concerne surtout l’aspect graphique qui se voit ici largement revu à la hausse. Hormis ce point, vous retrouverez votre héros avide de devenir un Hunter dans ce monde post apocalyptique. Pour ce faire, vous pourrez compter largement sur un armement assez impresionnant tels que des Tanks et autres véhicules blindés en tout genre. La force de ce titre ne réside pas du tout dans son scénario, bien trop léger pour se démarquer de la majorité des autres productions, mais bien dans son gameplay et surtout dans la customisation vraiment large de vos véhicules. Un titre recelant bien des qualités pour quiconque aime peaufiner ses personnages et attributs, qui n’a, malheureusement, jamais vu le jour hors du Japon. |
Collection |
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Bahamut-Omega - 01/11/2015
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16/20
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J'ai finis Metal Max Returns sur SNES en 33 heures. Les 8 tanks obtenus, les 16 primes vaincus, bazooka laser complété, et boss final "vaincu". J'ai apprécié ce jeu, avec son univers post-apocalyptique. ... SuitePas de royaume à défendre, pas ami(e) à sauver, de destiné farfelue à suivre, d'artefact magique à trouver ou de démon à vaincre... non là le monde est déjà détruit. Il reste quelques villages et une poignée d'habitants, des vestiges de civilisations modernes, grottes et des paysages dévastés. Ça change un peu ! On contrôle donc un héros anonyme (bon Max, c'est dans le titre du jeu, mais on a le choix), fils de mécano, qui veut devenir chasseurs de primes et partir à l'aventure. Et là, on n’a pas vraiment de ligne directrice. D'abord trouver un tank, moyen de locomotion et arme principale dans ce monde sans foi ni lois, puis trouver le moyen d’ouvrir une frontière, et après se débrouiller seul en parlant aux pnj. C’est assez original, on a presque l’impression d’être dans un open-world. À noter que malgré l’univers post-apocalyptique, et quelques scènes tragiques, l’ambiance du jeu est assez comique et casse pas mal les codes du J-RPG standard. Un peu comme Earthbound. La réalisation, c’est très correcte pour un jeu portage d’un jeu NES sur SNES. C’est surtout dans les détails des animations de combat que le jeu impressionne (modélisation des armes, certains effets comme les impacts, ricochets, esquive, explosion,…) et par le monster-design très orignal et mecha-design très réaliste. L’ambiance sonore quand à elle est moins réussite, OST assez courte et peu diversifiés, peu de thème sont réellement marquants à mon goût. Mais les bruitages sont très réussis. Concernant le gameplay, avant d’apprécier le jeu il faut s’habituer à l’ergonomie très lourde des menus; reste du support original. Un menu unique pour parler aux pnj, exécuter une action, vérifier ces équipements,… Mais il existe un sous menu, le BS-Con (une sorte d’ordi portable) où l’on a accès à toutes les informations possibles. Description d’objets et équipements, cartes du monde, GPS pour les tanks obtenus,… Finalement on a accès à pas mal d’informations, encore faut-il faire l’effort de parcourir ce menu salvateur. Une fois qu’on s’est habitué à tout ça, on peu profiter des deux systèmes de combat que propose le jeu. D’abord les combats à pieds où l’on contrôle nos persos comme dans un Final Fantasy ou un Dragon Quest. C’est assez classique mais la difficulté de base fait que les combats sont un minimum passionnant. Puis le combat à bord de tanks. Pas grand-chose ne change, on reste dans du tour par tour, mais évidement à bord de tank on est bien plus puissant, résistant, mais aussi moins mobile (impossible, en temps normal, de prendre un ennemi par surprise). Et on n’a pas accès à tous les lieux à bord des tanks. Ces derniers peuvent être personnalisés, que se soit avec des armes, des options, moteurs, ou des programmes informatiques. Plus les tanks sont équipés, plus ils sont lourds et plus il faut sacrifier des tôles de blindages (les PV). À nous de faire attention à ne pas suréquiper les tanks (ne serais-ce qu’en récupérant un de leurs équipements en donjon, sans forcément les installer), au risque de les rendre très fragiles. Ces équipements peuvent être aussi améliorés dans certaines villes (puissances, stock de munitions, résistances, précisions, esquives,…). De quoi se créer des tanks parés à toute situations, d’autan plus que le jeu est assez difficile, il faut souvent revoir sa copie et changer d’équipements en fonctions des ennemis. En ce qui me concerne ça a été une expériences très agréable, que je recommande à tous les fans de RPG de cette ère. Même si la concurrence est très rude, et qu’il y a mieux à faire en priorité sur ce support.
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