The Elder Scrolls IV : Oblivion (X360) - 17/11/2012
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19/20
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Introduction : Oblivion, un seul mot et la magie opère déjà. Voilà un jeu qui m'a fait acheter la xbox... Et aucun regret la dessus. Ambiance : L'ambiance globale du titre est juste énorme. Le monde est ... Suitegargantuesque, les relations entre les pnjs sont énormes, la liberté l'est tout autant. Bref, à tous ceux qui aime le médiéval, vous ne serez pas déçu. On passe de longues heures rien qu'à contempler les paysages, se plonger dans les quêtes annexes, flâner dans le jeu... Un pied énorme. Charisme : On crée soit même notre personnage, du coup il est façonné à notre image. Les pnjs sont justes parfaitement bien réalisé, c'est à dire qu'ils sont magnifiquement bien incorporés aux décors, au monde. Rien à dire, le tout tient la route. Histoire : Une histoire immense pour un jeu qui l'est tout autant. On prends un plaisir immense à parcourir le monde et l'histoire qui va avec. Nos choix sont déterminants pour la psychologie de notre personnage. En bref : Rien à dire, après Morrowind, Bethersta ne loupe pas le coche et nous livre un jeu, qui est bien plus qu'un jeu. Une durée de vie immense, une possibilité de rejouer quasi-infinie, des graphismes propres et soignés, une ambiance si particulière... Je n'ai qu'un conseil, laissez-vous envoûter par le voyage, vous n'en serez pas déçu. C'est une certitude !
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Final Fantasy XIII (X360) - 23/03/2010
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16/20
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Introduction : Je me lance dans ma petite critique concernant l'un des FF les plus controversé de l'histoire. En effet, des qualitées soulignées, mais de gros défauts pointer du doigt, quand est-il vraiment ... Suitede ce dernier Final Fantasy? Mon avis, en quelques lignes... Ambiance : L'ambiance globale du titre est plus que correct. Même mieux, on accroche à l'histoire. Pour faire simple, le scénariste de Final Fantasy X reste dans les bases qu'il sait si bien faire. Si vous avez aimé FFX, le scénario bien que totalement différent vous accrochera très certainnement, et l'ambiance globale du titre vous plaira. A noté toutefois, la linéarité excessive des 20 premières heures de jeu... Impossible de louper un coffre ou presque, on suit de longs couloirs. Certains le condanneront pour ça, d'autres trouveront, au contraire, que cela permet de mettre les bases à cette opus avant de voir les trois derniers chapitres retrouver un peu de la liberté qui a fait le charme de la série. Personnellement, je n'ai pas été plus que ça dérangé par la linéarité du début, le scénario faisant le reste. Le sphérier "à la FFX" n'est pas vraiment similaire à ce dernier. En effet, celui-ci, tout comme le jeu, est très très linéaire! UIne chance pour ceux qui ont peur de se tromper dans l'évolution de leurs personnages, une grosse déception pour les maniacs des FFs, qui aiment bien jouer sur les évolutions entre les personnages sur différentes parties. Charisme : L'aspect graphique des personnages est très soignés! Les personnages sont très beau, très soigné, autant scénaristiquement que modellement parlant. En effet, on s'accroche bien (comme à chaque FF?) à ces divers protagonistes et à leur histoire. Le background est bien travaillé, et le soft, subjugué par Lighting, a un charisme fou! Les cinématiques sont dignes de la renommé de Final Fantasy, et l'aspect graphique global du titre est vraiment impressionnant. Histoire : Une histoire qui se décante vite. Le premier DVD se fait généralement en 7h. Mais les trois derniers chapitres relèveront amplement la durée de vie. Au début, une idée basique, qui prendra vraiment tous son sens au fur et à mesure que nous en apprenons d'avantages : tous les personnages ont une implication dans l'histoire. Tout est très bien orchestré! En bref : Un scénario qui tient la route, des graphismes au top de ce qu'on fait a l'heure actuelle : il n'y a pas à dire, ce FF envoit! Néanmoins, on notera que, malgré qu'elles soient de bonne facture, les musiques sont moins aguicheuses que celles des précédents volets. De plus, la linéarité du soft (de longs couloirs pour les premiers chapitres, un système de sphérier très linéaire, et des combats ou la plus part du temps on appuis seulement sur "auto-attaque" (malgré la bonne idée de stratégie) viennent ternir l'ensemble. Square Enix délaisse un peu tous les acquis du RPG (pour la plus grande partie du temps, des innovations provenant de l'un ou de l'autre) pour nous pondre finalement un jeu propre qui se contente de faire ce qu'il faut pour séduire le joueur lambda. Là est tous son problème : à vouloir trop rendre le jeu accessible à tous, celui-ci déplaira à certains fans. Pour ma part, je suis conquis.
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Eternal Sonata (X360) - 08/03/2010
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13/20
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Introduction : Eternal Sonata est le premier RPG que j'ai pu tatter sur 360. Impatient, tout d'abord grâce à la jouabilité à plusieurs, mais aussi grâce à son scénario aux premiers abords accrocheur, je ... Suiteme suis laissé tenter... Ambiance : L'ambiance est plutôt bonne. Le titre est mignon tout plein, les graphismes nous font rentrer dans l'histoire. Malheuresement on accroche pas plus que ça aux divers personnages. Les phrases et surtout les conclusions que tirent les personnages sur divers évènements ou actes laissent souvent à réfléchir. L'ambiance générale du soft est donc plutôt bonne et laisse le joueur immersif face à ce monde illusoire. Charisme : L'aspect graphique des personnages est très soigné! Les personnages sont très beau, le chara design est maitrisé à la perfection. Cependant, l'intérieur des personnes restent assez fades et vides. Le jeu est dépourvue d'émotions dans les visages des protagonistes. Histoire : L'histoire est assez enfantine et très linéaire. Bien que la fin rattrape celle-ci, on s'ennuie souvent dans ce jeu qu'on prends pourtant plaisir à faire de fonds en comble. On ne ressort pas bouleversé, pas transformé. L'histoire compté tient la route, mais il manque un grain de folie. En bref : Ce jeu ne m'a pas particulièrement marqué. Il était plutôt bon dans son ensemble, mais plusieurs points viennent tâcher ce tableau. L'ennuie tout d'abord, lors de passages parfois rébarbatifs et trop long. Néanmoins, cela reste un achat correct, pour vous occupez si vous vous ennuyez. ;)
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Suikoden IV (PS2) - 05/03/2008
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15/20
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Introduction : Suikoden IV est pour ma part, le premier Suikoden auquel je m'essaye. Les graphismes, très dérangeants car pas très jolis, ne m'ont pas rebutés et j'ai donc par conséquente, tenté l'expérience. ... SuiteMon verdict : Ambiance : L'ambiance Suikoden a ce qu'il parait. Plusieurs possibilités de choix, qui mènent à plusieurs fin de scénarios différents. L'univers est bien pensé, on s'y croirait presque si ces foutus graphismes avaient été quelques peu travaillé. Nous sommes plongés dans l'histoire qui nous ait compter et où nous sommes a l'aise. Les OSTs sont aussi très bon, même s'il ne laisse pas un trop grands souvenir. Charisme : Outre le personnage qui a le charisme d'une huitre, il y a beaucoup de personnages très très stylés. Je vous rappelle qui les Suikoden ont énormément de personnage jouable. J'ai d'ailleurs pris le temps de débloqué toutes les étoiles (personnages) pour voir la fin la plus sympa. Ainsi, certains personnages sont quelques peu loupés, mais le charisme général, colle à l'ambiance. Histoire : L'histoire se passe pour la plus grosse partie du soft, sur les mers, et pour l'autre partie dans les villes; nos héros étant de grands marins prêts à défendre leur patrie contre l'empire voisin qui menace. La force d'un Suikoden, ce sont les personnages et leurs vies, chacun ayant un passé plus ou moins relié sous le signe de la destinée des 108 étoiles. L'histoire principal est globalement inférieur, voir la plus médiocre de tout les Suikoden, néanmoins elle reste tout à fait sympathique à faire. En bref : Difficile de faire un bilan pour ce jeu. Autant l'aspect graphique est pas très bon, et ce suikoden est globalement inférieur en tout point à ses petits et grands frères, autant il peut en rebuter plus d'un. Néanmoins, difficile de ne pas accrocher à ce jeu. J'ai pris plaisir de le finir à 100%, tant l'univers Suikoden reste inégalé. On plonge dans un Suikoden, et lorsque l'on plonge ainsi, on en ressort mouillé, certes, mais néanmoins heureux.
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