From the Abyss (DS) - 16/08/2009
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6/20
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Jeu insipide au possible, sans scénario, sans gameplay véritable et aucune idée originale. Rien ne fait accrocher le joueur si ce n'est son level up ultra rapide (4h de jeu = level 60....). Graphiquement, ... Suiteon se demande vraiment si les développeurs ont voulu renouer avec la 2D snes tant les décors manquent de variété et d'identité. Bref, un jeu mauvais, vraiment mauvais, qui tombent dans tous les pièges que peut offrir ce genre. Graphiquement moche, musicalement mauvais, scénario inexistant, gameplay pauvre et durée de vie ultra risible (8 donjons pour 5h de jeu max....) A éviter.
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Infinite Undiscovery (X360) - 10/08/2009
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13/20
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Je ne m’attendais pas à quelque chose de grandiose aux vues des différents commentaires sur le jeu, et pourtant, j’en ressors relativement conquis. Entendez par là que le soft se dote d’arguments positifs ... Suitequi permettent de le finir sans aucune peine, sans jamais se forcer à aller jusqu’au bout. + Capell / Sigmund (évolution du personnage) + Le scénario + Les musiques ! (du grand Sakuraba ici !) + Touma & Komachi ! + Le système de combat (nerveux et visuellement réussi) + Les trois équipes simultanées ! (combattre à 12 en même temps, c’est énorme !) + Exploration très vaste ! Un grand plaisir de gambader dans ces plaines gigantesques ! - Graphiqmes : décors limite niveau ps2 la plupart du temps, bien que les personnages sont plutôt bien réussis. - LA FIN ! (nulle au possible) - La durée de vie (19h pour être niveau 54 et finir le jeu, c’est faible) - La répétitivité des actions (on casse les chaînes tout le jeu) - Maniabilité vraiment peu intuitive… Voilà, un jeu plaisant mais avec beaucoup de lacunes qui ternissent que trop son image. A faire pour le développement du scénario plutôt bien réussi et pour son système de combat agréable. J’en sors donc relativement séduit
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Mass Effect (PC) - 31/07/2009
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17/20
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Mass Effect avait tout sur le papier pour me déplaire hormis une chose : les graphismes. Pas très friand de ces rpg SF américain, je me lançais dedans, curieux de savoir pourquoi il arrivait à glaner autant ... Suitede points auprès des joueurs. Résultat ? Une tuerie. Un plaisir énorme tout au long de l’aventure, des graphismes magnifiques, des musiques collant parfaitement à l’action, et une mise en scène à couper le souffle. Limite si par moment on ne se demande pas si on joue vraiment dans un film ou non ! Bref, bluffant. Les 5 planètes que l’on doit explorer sont vraiment très réussies et très bien rythmées, il est rare que l’on s’ennuie durant leur exploration. Et surtout, ce qui tue par-dessus tout : LA FIN ! Une fin génialement mise en scène, dynamique au possible et vraiment très très… bien quoi. Sans compter que le scénario et tout le background mis en place pour cette future trilogie promet quelque chose de grand, très grand. Mais Mass Effect premier du nom se suffit à lui-même et même si on attend de pied ferme la suite pour suivre les aventures de Shepard, le premier restera bien ancré dans les esprits. On regrettera juste l’AI des coéquipiers à jeter, des quêtes annexes anecdotiques car trop ressemblantes, de même que les planètes que l’on visite. Ah, et une durée de vie faible (15h de jeu environ) mais le titre étant tellement prenant et bien construit que cela ne nuit en rien au gameplay. A terminer absolument, un grand jeu !
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Final Fantasy Legend (GB) - 30/07/2009
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9/20
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Pas grand-chose à dire sur ce jeu au final. On sait déjà dans quoi on se lance quand on allume le Game Boy… Le jeu a très mal vieilli, comme beaucoup de titre de ces années là. Donc oui, on joue la montée ... Suited’une tour avec 4 personnages dont on ne sait rien. Le scénario ? Il n’y a pas. Il faut juste trouver le mystère qui se cache derrière cette tour. Ah si, quelques péripéties nous attendent dans chacun des 4 mondes… Bien faible. Bref, avec cela des graphismes très basiques, très peu variés et des musiques se comptant sur les doigts d’une main. Et pourtant, à force de persévérance, on y accroche tant bien que mal. Nos petits mutants et humains nous deviennent sympathiques, et donc, on finit le jeu (qui nous révèle une petite surprise sur la fin !). Reste qu’on l’oublie très vite pour passer à autre chose. Un jeu qui occupe quelques heures au coin du feu l’hiver. C’est faible, c’est archaïque, mais bon… C’est le premier SaGa !
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Eternal Sonata (X360) - 15/07/2009
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14/20
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Aux vues des différents commentaires que j’ai pu lire sur ce jeu, j’étais assez réticent de m’y lancer à fond. Heureusement, ses graphismes magnifiques étaient là pour me pousser dans l’aventure. Résultat ... Suite? Eternal Sonata est un bon jeu. Il dispose de bien des lacunes mais reste au fond un bon titre de cette génération de consoles, et qui, en plus, arrive à se démarquer des autres productions grâce à son univers assez atypique. C’est effectivement ce point qui me marque le plus dans ce jeu : un univers coloré et vert dont on ne peut se lasser. Tout respire le bon goût et chaque nouvelle région peut quasiment être comparée à un tableau artistique. C’est vraiment magnifique de bout en bout ! Sans compter la modélisation des personnages, du grand art. Le système de combat, quant à lui, est foncièrement bon mais malheureusement rien dans le jeu ne permet de l’exploiter vraiment. La difficulté du jeu est risible et les bonnes idées du système se perdent dans un martellement de touches pour enchainer les combos. Ceci dit, on y prend tout de même du plaisir. On reprochera cependant la répétitivité incroyable des ennemis, qui pousse même jusqu’à les éviter les ¾ du temps en fin de partie. Dommage, car ce ne sont pas les bonnes idées qui manquaient. La bande sonore de Sakuraba est très inspirée, et passé la frustration de n’entendre aucune musique de Chopin (hormis les phases narratives sur sa vie), on se plait à les écouter sans s’en lasser. Un très bon point. Au final, on regrettera sa monotonie, son manque de punch dans la mise en scène, une difficulté risible ainsi qu’une durée de vie assez faible (20h pour ma part). Ceci, le jeu vaut largement le détour, au moins pour apprécier cet univers magnifique et ces personnages tous plus attachants les uns que les autres.
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Castlevania : Portrait of Ruin (DS) - 07/07/2009
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16/20
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Après un Dawn of Sorrow très mitigé, c’était avec appréhension que je me lançais dans cette nouvelle aventure au sein du château du comte Dracula. Au final, une excellente surprise avec un titre bien plus ... Suiteprofond que tous les précédents, notamment avec l’aspect de coopération via un second personnage, différents mondes accessibles avec les tableaux (permettant de renouveler vraiment les décors et l’ambiance du titre), et une multitude d’éléments venant relancer son intérêt tels que les quêtes avec Eric, etc etc. Sans compter que ce Castlevania est vraiment très très beau. Une 2D magnifique, claire et vivante, avec une multitude de scrollings horizontaux du meilleur goût ainsi qu’une animation toujours parfaite. Les musiques ne sont pas en reste et s’avèrent toutes plus excellentes les unes que les autres. Bref, du tout bon pour ce Castlevania qui se hisse ainsi en toute franchise parmi les meilleurs de la saga, aux côtés de Symphony of the Night, bien entendu. Chapeau bas, Konami, vous avez su remonter la barre après ce Dawn of Sorrw très moyen !
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Knights in the Nightmare (DS) - 17/06/2009
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18/20
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Après plus d’un an et demi d’attente interminable, voilà la première partie de Knights in the Nightmare bouclée. Alors justifie-t-il une telle attente ? La réponse est oui ! Tout d’abord sur la forme, ... Suitele titre se démarque déjà grandement de bien d’autres productions sur DS. Les graphismes sont magnifiques, sans baisse de qualité, et même si on pourrait lui reprocher une certaine répétition au niveau des couleurs, il faut avouer que les level-designers étaient particulièrement inspirés. Les personnages, alors qu’ils sont en grand nombre (très grand même), arrivent à se démarquer pour peu que l’on s’investisse un minimum dans le jeu. Mention spéciale aux deux valkyries qui accompagnent the wisp tout au long du jeu (1er et 2e scénario). L’aspect sonore n’est pas en reste et propose une OST de Shigeki Hayashi du tonnerre ! La qualité est exemplaire et aucune musique n’est en dessous des autres. On reprochera juste, peut être, un manque de diversité pour les combats, encore que… Les derniers changeant complétement. Le scénario, quant à lui, se présente d’une manière totalement originale. Découpé en 3 phases distinctes pour chaque chapitre, on assiste successivement à l’histoire présente, un combat puis une scène de flash back pour en apprendre plus sur les personnages morts et le monde. Au début très déroutant, on commence petit à petit à recoller les morceaux pour prendre conscience de la gravité générale de la trame. Tout se déroule de manière très poétique, et joue sur l’affect du joueur en permanence. C’est très fin, très noir, on en redemande. On pourrait facilement comparer ce jeu à une œuvre de Tim Burton pour l’ambiance et les propos soulevés. De plus, KitN dispose de 9 fins différentes (dont 2 good endings correspondant aux 2 scenarii) et donc un replay value du tonnerre ! Mais le point majeur, là où il se démarque de TOUS les autres softs, c’est le système de combat. Complètement fou, il se déroule à la manière d’un T-RPG mixé avec quelques notions de shoot’em up. Déroutant au départ, tout se joue au stylet avec lequel il vous faudra éviter les tirs ennemis à l’écran tout en chargeant les attaques de vos combattants. Très technique et très tactique, on passe beaucoup de temps à placer le bon personnage au bon endroit, et à choisir ses armes en fonction de l’élément de l’ennemi. Car tout est chronométré dans ce jeu. Enfin, oui et non. On a un certain nombre de tours maximum par combat qu’il ne faudra pas dépasser et chaque action consomme quelques secondes qu’il faudra déduire du tour. Chacun se déroulant sur 60 sec. Super addictif, on ne s’en lasse jamais pour peu qu’on veuille bien passer 3 voire 4 heures à essayer de le comprendre. Bref, je me suis pris une claque à tous les niveaux avec ce jeu, autant sur le plan graphique que scénaristique, le tout porté par un gameplay en béton armé. Ajoutez à cela 2 scenarii différents, un nombre incroyable de persos à recruter, 4 modes de difficulté à débloquer et des high scores à faire péter et voilà, vous avez Knights in the Nightmare, sûrement l’épisode le plus réussi de la saga des Dept. Heaven. Continuez jeunes gens de Sting, on en redemande !!!
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Shining Force (GBA) - 06/06/2009
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17/20
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Domingo ! Domingo ! S’il fallait retenir un seul personnage, ce serait sûrement celui-ci ! Un petit poulpe tout mignon et particulièrement bon au sein de la Shining Force ! Enfin bref, il fallait bien ... Suites’y lancer un jour où l’autre dans cette saga, et voici le premier épisode fini avec ce remake sur GBA. Verdict ? un très bon RPG qui, bien qu’au départ paraisse complètement archaïque au possible sur de nombreux points, nous fait tomber très vite sous son charme. Une magie due à un gameplay déjà très réussi à l’époque où chaque action se fait sans mal, sans avoir à reconsidérer les boutons, les diagonales et les obstacles. Non ici, on agit à l’instinct et tout s’enchaine très vite. Un plaisir permanent donc, renforcé par la possibilité de pouvoir explorer les villages comme bon nous semble, comme dans tout RPG classique. Un titre qui n’a pas vieilli sur ce point. Le scénario, quant à lui, se révèle plus sommaire, âge oblige, mais arrive quand même à nous surprendre tout au long des 8 chapitres qui composent ce titre. Mention spéciale à la fin qui, à contrario de biens des titres actuels, termine en beauté l’aventure. On est rassasié et content de l’avoir menée jusqu’au bout. Le remake graphique du titre, bien qu’il puisse déplaire aux puristes de la version originale, m’a bien convaincu et c’est un plaisir de découvrir la multitude de personnages qui se présentent à nous. On reprochera cependant la difficulté très faible du titre, réajustée sur cette version GBA, qui joue en la défaveur de certains boss, qui auraient alors gagné en charisme. On se rapatriera alors sur la version MD pour mieux les apprécier. En somme un très bon titre que je recommande, ne serait-ce que pour le plaisir de jeu permanent qu’il fournit. + Domingo et Musashi (surpuissants) ! + Le gameplay intuitif et jouissif. + Les rebondissements et ajouts scénaristiques. + Un bon remake graphique. +/- Une bande sonore qui marque les esprits, mais trop répétitive - La répétitivité des actions et des combats.
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Castlevania : Circle of the Moon (GBA) - 31/05/2009
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15/20
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Un jeu vraiment attendu lors de sa sortie et qui n’a pas du tout déçu les foules. C’est vrai qu’avec le recul, il peut sembler légèrement inférieur à ses confrères sur GBA, mais pourtant, je le place aisément ... Suiteau dessus de Dawn of Sorrow sur DS. Le gameplay est ici une fois de plus quasi parfait, les musiques sont vraiment de très bonne facture, et le scénario se laisse suivre sans s’avérer niais et inutile (cf : DoS, encore une fois…). Graphiquement, j’avais beaucoup aimé et ne l’avais pas du tout trouvé sombre… Et pourtant, c’était sur la première GBA, donc non retro-éclairée… Graphiquement très bon donc, et qui préfigurait du meilleur dans les épisodes à venir. En somme un bon Castlevania, un peu en deçà de la série, mais qui se fait avec plaisir.
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Castlevania : Dawn of Sorrow (DS) - 28/05/2009
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13/20
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La suite de Aria of Sorrow où on retrouve Soma Cruz. C'est d'ailleurs pour ça que je l'ai enchainé directement après avoir fini Aria. Mais bon, un léger goût amer me reste en travers de la gorge après ... Suitel'avoir terminé. Premièrement, ce chara-design affreux tue vraiment les personnages développés dans le premier. On a à faire maintenant à un méchant risible, moche, et complètement dénué d'intérêt. Soma n'a plus du tout autant de classe que dans l'ancien, on a l'impression d'être dans un dessin animé pour enfant (j'exagère un peu), mais au final, rien ne se dégage vraiment. Le scénario s'en retrouve complètement bafoué, et même s'il est déjà à la base très basique (plus que d'autres de la série), le chara design l'enfonce et le rend plus niais qu'il ne l'est. Dommage. Autre point négatif : la bande sonore. Bien moins réussie qu'Aria of Sorrow, les thèmes se succèdent sans vraiment se démarquer (sauf un ou deux au mieux) et parviennent même à taper sur les nerfs. Décevant là aussi... Reste le gameplay, toujours très bon pour un castlevania. On prend encore bien sûr du plaisir à explorer le château, à retrouver les différentes compétences, et à s'éclater comme un fou vers la fin en étant surboosté. Ca ne change donc pas et c'est tant mieux. Malheureusement, le reste tuant l'ambiance amenée par le scénario, la déception est de taille, surtout après un Aria of Sorrow excellent...
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