Noms alternatifs : Final Fantasy Mystic Quest, Final Fantasy USA: Mystic Quest, ファイナルファンタジーUSA ミスティック |
15 Février 1993 5 Octobre 1992 10 Septembre 1993
PAL |
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Technique |
Etat : Disponible Média : 1 Cartouche
Mode : Solo
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Avis RPG Soluce |
Benjamin, le héros du jeu, n'a d'autre objectif que de sauver le monde en récupérant les cristaux qui ont été volés.
L'un des premiers Final Fantasy a avoir vu le jour en Europe, ce spin-off de la série principale reprend les éléments principaux de la marque (combats aléatoires, exploration...), tout en y ajoutant quelques nouveautés ou particularités. Par exemple, les armes ou armures ne peuvent pas être "équipées" manuellement, elles sont automatiquement remplacées par la meilleure version acquise. De même, les sorts ne sont pas appris, mais se trouvent dans des coffres ou en vainquant des adversaires... |
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Pezam - 04/09/2021
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14/20
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Pensant que les FF traditionnels étaient trop difficile pour les joueuers Occidentaux, Square nous ponds donc un FF "light". Est c'est tout à fait ce qu'il est: un RPG court, pour initier les joueurs (surtout ... Suiteles plus jeunes) aux RPGs, en proposant ce qui en fait l'essence sans le "superflu". Il est vrai que Mystic Quest décevra si on s'attend à une grande fresque épique comme les FF numérotés, mais il n'a jamais prétendu être dans cettre frange là. Il faut le prendre comme il est: un RPG pour débutants. Mystic Quest propose donc un scénario et une mise en scène minimalistes, qui va droit à l'essentiel (parfois un peu trop?). C'est un jeu super linéaire, sans pour autant que ce soit vraiment un défaut. Le gros point du jeu c'est indéniablement ces musiques, et, pour l'époque, le monster design. C'est en effet l'un des rares RPGs à proposer des "animations" pourt les monstres suivant leur quantité de points de vie restant. C'est assez sympathique. MQ se décharge donc de la pluaprt du superflu du JRPG: très peu de PNJs, pas de vrai magasins, impossibilité de choisir son équipement (on équipe automatiquement le meilleur), Les ennemis sont limités, présents sur la carte, et immobiles. La carte du monde est à l'image de Super Mario World, et le grind est facilité par des "battlefields" qui vous permettent d'enchainer 10 combats à la suite en échange d'une récompense. Le système de combat est du tour par tour, souvent à deux PJs, avec la possibilité de mettre le second PJ en manuel ou en auto. L'IA n'est pas parfaite, mais elle est franchement dans le top du panier pour son époque. Les alliés réagissent bien aux situations la plupart du temps, et les monstres sont flexibles aussi. Une bonne surprise. Malheureusement, le jeu étant dédié aux débutants, il n`y a que peu de challenge, sauf contre quelques boss donc la stratégie es tun brin manquante. Le système de combat est d'ailleurs un peu trop basique, et c'est particulièrement visible dans les battlefields. Du point de vue exploration, le jeu propose quelques énigmes sympas basées sur un système d'outils qu'on gagne au fur et à mesure. Le personnage principal peut également sauter, l'ensemble donnant un asepct Zelda assez sympathique et rafraichissant comparé aux FF traditionnels. Alors le jeu n'est pas parfait, bien sûr, et un vétéran du JRPG en aura vite fait le tour. Mais il fais très bien son job: faire découvrir le genre et ses mécaniques de base. C'est tout ce qu'il veut faire et il le fait relativement bien.
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Max452 - 09/09/2013
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16/20
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Ahlala, c'est ce genre d'images qui me rend nostalgique Pas tout à fait mon 1er rpg mais pas loin et que de bons souvenirs. C'est sûr qu'en terme de graphismes faut pas être trop regardant ... Suitemême pour l'époque, mais c'était pour être dans la continuité du mystic quest sorti sur Gameboy. Et oui, à l'époque on faisait des choix basés sur autre chose que d'en mettre plein les yeux, et ça passait aussi bien. Le scénario pareil, faut pas aller chercher bien loin mais il faut bien comprendre que ce jeu était destiné dès le départ à "ouvrir les esprits des petits occidentaux" aux rpg, jugés jusque là trop compliqués par les éditeurs concernés. Ils estimaient avec la condescendance puante habituelle des décideurs que : les jeux vidéos c'était pour les enfants. Donc Square à décidé à l'époque de concocter un jeu ultra-simpliste rien que pour le reste du monde. Cette simplicité à un avantage, c'est qu'au moins on perd pas de temps avec les innombrables conneries qui polluent de plus en plus les rpgs d'aujourd'hui. Ici, on joue uniquement pour arriver au bout de l'histoire, et c'est très bien comme ça. J'aimerais beaucoup qu'on en revienne un peu à ce fondamental dans la producion actuelle... Pour ce qui est des musiques je dirais bien mieux que "sympa" pour ma part, d'autant + aujourd'hui avec les mornes musiques d'ascenceurs qui "rythment" désormais nos mornes épopées narrées et mises en scène avec l'enthousiasme d'un condamné à mort qui s'avance vers la potence. A l'époque au moins on n'avait pas peur de faire de l'épique ! Les musiques des boss vous titillent vraiment quelque chose, même celle des combats normaux à quelque chose dans le gilet, et la fameuse Tour Pazuzu n'est pas devenu culte pour rien. Et pour ceux que ça intéressent il y a une certaine difficulté, normale à l'époque, anti-commerciale aujourd'hui. Un excellent jeu d'accroche au genre pour les + jeunes qui ne s'offusqueront pas des graphismes, et une expérience intéressante aussi pour des un peu + agés qui comprendront -- peut-être -- grâce à lui la grogne des "anciens" dont je fais partie face au monde du rpg actuel. Du coup j'ai envie d'y rejouer, maintenant...
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