Final Fantasy VI (SNES) - 17/11/2010
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18/20
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Pur. Au départ, je m'attendais à un jeu sans trop de grandeur, à cause de tous ses successeurs qui lui font de l'ombre... jalousement. Car ce VI, il les éclate pas mal. Les personnages sont diversifiés, ... Suiteet m'ont intéressée ; je ne me suis pas sentie étouffée par un héros, mais entourée d'un groupe de héros. J'ai suivi une trame d'histoire que que j'ai su apprécié et accroché jusqu'au bout, à ses moindres détails, émerveillée. Un plaisir d'écoute s'additionne, créant toute une symphonie ludique, une symbiose technique, lors de la captivité dans ce jeu, qui sont toutes deux très remarquables. Il est dommage que la haute fréquence de combats agace, de manière inévitable. Final Fantasy VI est un excellent RPG...
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Final Fantasy XIII (PS3) - 17/11/2010
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8/20
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Au lieu de faire des pauses de jeu, j'ai fréquemment fait des pauses DU jeu. Là est toute la différence ; aucun plaisir ludique. Espacés par des périodes allant jusqu'à un mois et quelques, ... Suitemes temps de "jeu" ne seront plus, avec celui-ci ; je n'en peux plus. Malgré les suggestions de plusieurs, dont l'une d'elles était de le voir comme un film interactif, non, ça n'a pas marché, et j'avais espéré. Les graphismes sont -très- bons, mais j'en reste insatisfaite ; aucune magie, aucun charme ne se dégagent des lieux. Il y a peut-être des environnements comme le Lac Bresha et la Côte de Sunleth qui font plaisir à la rétine... Ils sont malheureusement à l'instar des autres ; terriblement ennuyeux. On progresse par phases de combats pas si stratégiques que ça -sauf si voir le mot "Stratégie" suffit pour certains le considèrent comme tel ??- avec une IA réglée sur le superflu (3 mêmes débuffs sur le même ennemi, self-Bravoure sur un pur mage, et j'en passe), hachées par de courtes cinématiques qui ne me présentent aucun intérêt scénaristique et psychologique. Je considère même que ces deux derniers points sont irrévocablement prévisibles. En ce qui concerne l'OST, il est bon, et c'est du gâchis qu'il ait été inséré si maladroitement à la map dûe. Final Fantasy XIII m'est un jeu totalement Automatisé, de beaucoup trop, et mal.
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Enchanted Arms (X360) - 17/11/2010
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15/20
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Classique, mais efficace ! Premières minutes passées, je m'étais dite que c'était vraiment une entrée en matière "basique", comme si cela avait été inspiré d'un quelconque Guide du petit RPG... Quelques ... Suiteheures passées, eh bien, je me suis laissée entraîner dans cette "simplicité". À tel point que, parmi les jeux auxquels je joue en parallèle, j'avais une préférence nette à ouvrir la boîte de celui-ci, Enchanted Arms. Au début, j'étais un peu déroutée, à cause du système de messages, dont j'avais pris l'habitude avec des animations 2D, des jeux nippons... mais en 3D ? Ça m'était vraiment étrange ! Après quelques dialogues, on s'y habitue, et j'en ai même ri de certains contenus, plutôt osés, grâce à ces chers Makoto, Karin, et Raigar (et oui, même lui !). Les voix anglophones sont sympa', j'ai bien aimé ceux que j'ai cités précédemment, en plus de Sayaka. Au niveau du level-design, 'y a pas à discuter, c'est exagérément simple. Pour donner un exemple extrême, j'ai pu me chronométrer 45 secondes de course en ligne droite, à Kyoto ! Parce que bon, généralement, à part quelques échelles, de plate-formes enchantés, et de très peu d'obstacles, le joystick haut est quasi toujours incliné, sans devoir subir trop de rotations. :S Concernant la difficulté, je l'ai trouvée normale : les boss sont des boss, beaucoup l'accomplissent bien, d'ailleurs, ce job. Similaire aux fruits que donnent les guides du petit RPG, Enchanted Arms en est un bon.
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Paper Mario : La Porte Millenaire (GC) - 17/11/2010
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19/20
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Waouh ! Quelle merveille. Tout, absolument tout, a été mis en place pour créer un monde unique, drôle et attractif ! Six années qu'il figure dans ma ludothèque, et je retrouve toujours le même plaisir ... Suiteà passer des moments de détente dessus. Chaque lieu , ainsi que chaque personnage, sont tout simplement extraordinaires, je leur associerai toujours une image. Même la petite frappe qu'est le yoshi, qui frise la classe, ici, yep' ! J'ai beaucoup aimé la recherche des gemmes, les 3 sœurs, les passages spéciaux (ah, douce Peach), et les livres de Luigi, qui sont immanquablement monumentales. C'est l'une des 3 meilleures aventures que la salopette bleue s'est vue transpirer. (Dire que son avenir sera encore extrêmement long, hummm, vive l'odeur !) Pour ma part, ce jeu m'est donc phénoménal. Beaucoup d'humour, beaucoup de fun, systèmes que j'ai appréciés, scénario et interlude de bonnes cadences, identité graphique unique ; que demander de plus ? Pour mot de fin, je laisse parole à Carmina ; "Mario, mi amor~!".
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Mario et Luigi : Voyage au centre de Bowser (DS) - 17/11/2010
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17/20
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La couverture du jeu ne m'inspirait pas vraiment, étant moins colorée et remplie que celles des prédécesseurs; c'est là que le contenu du jeu contrebalance ce petit bémol esthétique. En effet, ce Mario ... Suite& Luigi, 3e du nom, est beaucoup plus loufoque, et surtout bien plus recherché. Les mini-héros sont éjectés des écrans DS, certes, mais le roi des Koopa compense bien ça ; se retrouve à nos commandes notre cher Bowser ! Alors pour les tours d'action, ne nous contentons plus de rituels sauts et coups de marteaux, cognons et cramons les ennemis, plutôt ! Cette combinaison de protagonistes est divertissante à jouer, assez exclusive, et de plus, elle offre un trame de jeu intéressant, s'étalant sur une bonne vingtaine d'heures de jeu.
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Final Fantasy X 2 (PS2) - 17/11/2010
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13/20
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Que faire, après avoir sauvé le monde ? Rien d'aussi passionnant, puisque la Félicité s'est instaurée sur Spira, après tout ! Et même si ce n'est pas aussi épique que cette histoire-là, l'héroïne n'a pas ... Suitedit son dernier mot, non. En effet, Square Enix a pris le risque de poursuivre une histoire, maintenue dès lors douce et dramatique. Ils la lui assignent une suite plus "dynamique", assaisonnée par la joie et la bonne humeur. Les -bons- vieux jauges ATB et systèmes de jobs refont surface, et apportent tout deux, sans conteste, de la vitalité à l'ensemble – en bon accord avec l'esprit du jeu, en fait. J'ai été intéressée par le post-Spira du X, qui m'a finalement déçue dans l'ensemble, mais retrouver Yunie, toujours aussi optimiste et rêveuse, même autrement accoutrée, a su me ravir et m'embarquer sans problème. 'Dommage que certains avis s'arrêtent sur le physique des persos ; ma déplaisance se situe plutôt dans l'arrière-plan : la trop-facilité, les musiques remaniées, la faible longueur de la trame principale seule, et les clés de cette dernière, justement. Apprécieront toutefois le titre ceux qui, par exemple, aiment revoir des choses sous d'autres circonstances : FF X-2 est un titre léger, ne demandant pas beaucoup de concentration et de savoir-faire, qui s'imposeront simplement.
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Fable 2 (X360) - 17/11/2010
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15/20
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Enchanteur ; ainsi débute notre hist... hm, mon avis ! Prenant et poétique, sont des qualificatifs qui sied également pour la suite du joyau brut qu'est Fable premier du nom. Le héros m/f, que l'on peut ... Suiteswitché entre 6 slots de sauvegarde, peut trembloter une fois de plus sur la balance de la bonté et de son contraire, et ce représentant virtuel ne manquera pas de vagabonder dans des contrées superbement fournies et soignées. S'accompagnent des BGMs, notamment composés par Danny Elfman et Russel Shaw, agréables à l'oreille. Mon immersion s'est donc fait, à priori, sans problème ; certes, oui, mais ce fût un périple bien faible. Certaines quêtes subsidiaires, et citons même les contenus téléchargeables, essaient de prolonger la durée de vie, tant bien que mal. À mettre dans le coin, j'accuse sans retors le temps de chargement entre chaque map, AoE et (mini)mass-kill, ainsi que quelques irrégularités techniques. Malgré ces reproches, se laisser tenter par Fable II ne fait pas de mal ! D'ailleurs, les répliques des gargouilles valent bien un petit détour.
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Eternal Sonata (X360) - 17/11/2010
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17/20
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Coquet dans l'absolu, Eternal Sonata nous entraîne dans une mélodieuse ballade. Rythmée par un système de combat évolutif, qui occupera bien plus de touches que les ordinaires just-smashing-A, l'interface ... Suiteest, de surcroît, soigneusement customisée. Notions de musiques ou de "vitalité" dont les concepteurs ont tenus en rigueur, on les retrouve partout ! Aussi bien dans les noms des villes, de tout personnage, des attaques, les partions en elles-mêmes, (qui deviennent, sans trop de surprise, de plus en plus abouties, jusqu'à une... étrange surprise), et, spécialement, l'ensemble des environnements (qui ont, je dirais, un aspect de rêves d'enfant, de rêves tendres, tant ils sont éclatants, et doux, à la fois). Au niveau de l'audition, je trouve les voix anglaises meilleures que celles d'origine, soit japonaises. Elles concordent parfaitement au personnage lié. Les notables fausses touches du jeu sont sa manque de variétés pour le bestiaire, et ses angles de caméras malheureusement pré-calculées.
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The Last Remnant (X360) - 17/11/2010
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17/20
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D'une beauté rare. La puissance qui se dégage de la bande sonore, on se dit, "Enfin !". Enfin de la présence, de l'accord, et de l'héroïsme. Dignes thèmes de The Last Remnant, ... Suitej'ai envie de dire. Allié au naturel visuel du sens esthétique développé du jeu, c'est d'une union artistique admirable. C'est un pur régal de voir autant de profondeur, moi qui suis habituée aux cell-shadings typiques d'RPGs nippons, n'offrant pas cela. Les personnages sont très convenables, bien doublés qui plus est, et j'aime beaucoup Emma, Irina et notre troufion de Rush. Le système de combat est horriblement bien fichu. Tout le gameplay est même bien concordé, à quelques calculs près ! L'aspect de bataille en entités galvanise, et tout ce que le BR peut apporter, c'est du challenge, sous tous ses aspects et degrés. Il faudra être attentif à certaines exigences qu'il pulvérise, ou octroie, tant au niveau du bestiaire et donc des quêtes qui peuvent devenir insolvables ou plus recherchés, mais aussi de la difficulté globale des combats. Un système intéressant, original ; c'est probablement LA force de TLR. En plus de la découverte pure et simple, souvent magnifique -- j'avais reçu un avis négatif d'un ami, comme quoi il était banal... et bien, moi je ne le pense pas. Il n'est certes pas exceptionnel, mais ça vaut bien ne serait-ce qu'un petit détour. Un point noir du jeu, certes économique, c'est qu'on ne puisse pas stuffer nos alliés. Nous pouvons toutefois prévoir le coup avec les chefs, et acheter des accessoires (car ce sont les plus simples à anticiper et à débourser, et simplement intéressants hors-quêtes) afin d'attendre qu'il demande réquisition. Et augmente leurs stats avec. Et dommage, que les transitions de combat simples, ainsi que les effets graphiques tout simplement, ne font pas honneur au titre !
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Infinite Undiscovery (X360) - 17/11/2010
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17/20
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Cela fait déjà quelques mois que j'ai fini le jeu en Infinite, un avis plutôt positif donc, vu qu'il m'est resté en tête. IU nous propose de superbes environs; les effets d'ombre et de lumière, ... Suiteles mouvements, les animations de techniques, les textures(, les cheveux d'Aya !) : le décor est plaisant et bien abouti, pour ces petits têtes à la peau de pêche. En effet, lors de cinématiques in-Game, l'expression de certains personnages peuvent déranger - je cite Dominica, mais cela n'altère pas vraiment l'ensemble visuel qui reste assez plaisant. Surtout à travers la Seraphic Gate, ou encore simplement Kolton et la Forêt, des ambiances artistiques très belles. Maintenant, du point de vue "matériels", selon la difficulté choisie, il y a des synthèses (IC) à foison et de maintes possibilités d'équipements. Question de temps pour se renouveller, car l'argent et le matos vont de pair, et s'approvisionnent assez bien. Autrement, la variété des statuts d'états est présente, les PNJs sont tous abordables et peuvent donner sur une quête, Capell met à jour régulièrement son opinion sur ses complices, et les héros ont leurs compétences bien spécifiques, dans et hors combat. Outre que le scénario donne sur de nombreuses rencontres et lieux, celui-ci reste plutôt classique, avec des séances de rêve et tantôt d'humour. En ce qui concerne le système de combat, il vous permet d'optimiser la manette, d'interpréter les actions de votre équipe par une Tactique de groupe, ou par Connexion. L'anglais ne m'a aucunement posé de problème. En somme, Infinite Undiscovery n'est pas forcément une référence, mais est un bon jeu, et honnêtement bien plus que les jeux sortis ces temps-ci et là.
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