Mass Effect (X360) - 28/07/2009
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Contrairement à ce que certains réfractaires extrêmistes du retrogaming peuvent penser des jeux next-gen, Mass Effect fait partie de cette élite vidéoludique capable de redéfinir totalement l'essence même ... Suited'un style pourtant über-stéréotypé. J'ai bien nommé le jeu de rôle et ce sans en altérer pour autant le plaisir de jeu. C'est bien d'un rpg dont il s'agit mais plus orienté action tout de même. La vue à la 3ème personne style Gears Of War n'est pas forcément facile à appréhender de prime abord. Seulement, avec un minimum de ténacité, on appréciera finalement ce mode de vue qui permet plus de liberté d'action et permet aussi une meilleure implication du joueur, lequel peut s'identifier à son avatar plutôt que de n'en voir que le bout du canon. C'est moins impersonnel. D'une manière générale, le Commandant Shepard (vous) répond au doigt et à l'oeil, ce qui est rassurant durant les phases de shoot. En effet, ne vous attendez pas à trucider du troll avec une épée, ici vous dessoudez du cyborg au rayon laser ! Hey, c'est le futur quand même ! Et dans l'espace qui plus est. Pour ce faire, soit vous y allez aux flingues soit aux sorts dits biotiques. Vous déciderez au moment de créer votre personnage. Par la suite, il vous est possible de paramétrer l'évolution de chaque membre du commando selon ses compétences dispos afin que le trio soit équilibré et se complète. De plus, l'arsenal est très vaste. Il est accompagné de mods qui offrent à vos armes et armures des bonus offensifs et/ou défensifs. Exhaustif et sans cesse renouvelé, votre équipement est ce qui déterminera votre force de frappe lors des combats. Le seul point noir côté maniabilité demeure dans la conduite du Mako, sorte de véhicule tout-terrain capable de gravir des montagnes. Crises de nerf garantie quand il s'agit de le diriger sur reliefs accidentés ou de le conduire tout en orientant la tourelle pour shooter les mobz au sol qui eux, visent comme des pros et font mouche régulièrement. Vraiment un point à revoir pour les épisodes à venir. Vous aurez aussi à gérer la santé du véhicule qui encaisse les dégâts sur son bouclier propre mais peut aussi se faire déglinguer rapidement sans pour autant que ledit bouclier n'ait souffert...merci les dévoreurs. J'ai aussi remarqué que la précision de tir n'est pas vraiment de mise. Même en étant décalé par rapport à la cible, on peut tout de même la dégommer. A revoir aussi. Allez, tant qu'on est dans les défauts, j'ajouterai encore que les textures peuvent mettre assez longtemps avant de s'afficher, c'est nul. Faudra retravailler ça et sérieusement ! Les pnj (et pas juste eux) sont souvent bâclés dans leur finition, les textures sont grossières et indignes de la xbox 360. Ca pixellise à tout va et l'aliasing s'en donne à coeur joie, il n'y a qu'à regarder le cou de Tali pour s'en rendre compte. Dommage. De plus, on notera des perso qui continuent de bouger les lèvres alors que le doublage est fini. Enfin, les temps de chargement quand bien même ils présentent de jolies animations pour faire passer le temps, sont trop longs. Passons à la bande-son. Elle est 100% électronique planante, c'est bien simple ça me rappelle l'ambiance de Solaris. Quelques petites mélodies angoissantes font leur apparition une fois les complexes nettoyés de leurs viles occupants ou parfois il n'y a juste pas de musique du tout. Les bruitages, eux, sont empruntés à Star Wars ne serait-ce que pour le bruit des lasers tout à fait typique. D'ailleurs, les références à ce succès cinématographique sont légions. Voyez déjà la face des Geths, ces robots très proches dans leur design de ceux de La Guerre Des Clônes. La multiplicité des races extra-terrestres, la présence d'un Conseil tout puissant qui décide de tout, des vaisseaux spatiaux au profil élancé, des vers géants qui sortent de terre pour vous dévorer sont autant de clins d'oeil à l'oeuvre de G. Lucas. On y trouvera en sus un petit côté Deus Ex Invisible War, autre excellent rpg futuriste en vue fps. Qu'en est-il de l'histoire à proprement parler ? Un mal ancien est sur le point de se réveiller pour de nouveau anéantir les civilisations ayant atteint leur apogée ainsi qu'il en a toujours été (Empire Romain, Alexandre Le Grand etc). Pour cela, un émissaire fera son apparition, il se nomme Saren et aura pour mission de servir les intérêts des Moissonneurs, les grands méchants de l'histoire. Vous êtes le Commandant Shepard et devrez avec votre commando déjouer les plans diaboliques de ces vilains. En cela vous serez aidé par le Normandy, votre vaisseau qui va plus vite que la lumière car il peut se rendre n'importe où dans la voie lactée grâce aux relais cosmodésiques. Je ne vais pas spoiler mais ces relais ont une importance capitale dans le scénario. Grâce à eux, vous partirez à la découverte de mondes sauvages et hostiles au travers d'une multitudes de systèmes et galaxies. Et croyez-moi, y a de quoi faire ! Rarement un rpg aura proposé autant de lieux différents à visiter. Les sous-quêtes sont légions et même si elles se ressemblent toutes plus ou moins, le simple fait de se promener sur des planètes inconnues est un vrai plaisir. Le choc que j'ai eu quand je me baladais à bord de mon buggy sur la lune et que d'un coup, du sommet d'une montagne, la Terre m'apparait !!!! Whoua, ma planète vue de l'extérieur ! Grand moment.
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Lost Odyssey (X360) - 28/07/2009
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Nous voilà en présence d'un cas particulier. Ce n'est pas Square Enix qui a conçu ce jeu mais certains de ses plus illustres employés : Hironobu Sakaguchi, Nobuo Uematsu, Takeiko Inoue...Bref, du Final ... SuiteFantasy qui a tenté (en vain) de passer incognito sous le nom de Lost Odyssey. On ne me la fait pas à moi, non mais ! En effet, on y retrouve tous les traits caractéristiques majeurs de la série. Allez on entre dans le vif du sujet sans plus attendre. Il est question d'un immortel nommé Kaïm Argonar (un anagramme d'Aragorn ???) qui a perdu la mémoire. Après plus de 1000 ans de cette vie faite de guerres et de tragédies en tous genres, notre héros a décidé de partir en quête de ses précieux souvenirs afin de savoir quelle est sa mission dans ce monde. En cela il sera aidé de quelques autres immortels et d'une poignée de mortels qui le rejoindront aux moments forts du jeu. Jeu qui, par ailleurs, tient tout de même sur 4 dvd !! On fait le tour de chacun en environ 15h. Moyenne constatée par mes soins après avoir écumé les 2 premières galettes en pratiquement 30h. Ce découpage de l'histoire en plusieurs supports me rappelle furieusement FF VII et ses 3 cd-roms. Voyons donc ensemble les points communs entre Lost Odyssey et la série des FF. Petite anecdote, en rédigeant cet article, j'écoute l'OST du 12ème épisode sur ps²...Ok, on s'en fout. Ce qui frappe d'emblée déjà, c'est le système de combat au tour par tour. D'un côté votre équipe, de l'autre les ennemis. Vous aurez donc à élaborer votre stratégie avec les commandes à votre dispo. Que du classique : attaque, magie, objets, compétences etc...Nous sommes en terrain connu depuis FF premier du nom. Ce qui change, c'est l'utilisation des anneaux lors des assauts physiques. En effet, en pressant RT jusqu'à ce que l'anneau entre en contact avec l'anneau central, on lâchera alors cette touche pour confirmer avec A. Si le timing est bon, vous cognerez bien plus fort. Au début, c'est dur et déroutant mais avec de l'entraînement, on s'y fait. Votre résultat d'anneau peut-être mauvais, bon ou parfait. A savoir qu'au bout de 3 parfaits successifs au cours d'un combat vous débloquez un succès. Les magies sont, à l'instar d'un FF Tactics, très complètes puisqu'elles permettent d'utiliser des sorts blancs, noirs, mentaux et composés. Ces derniers étant les plus puissants. Tout comme dans FF VIII et ses chimères, vos immortels ont la possibilité d'apprendre les magies des mortels pour peu que ces derniers soient dans l'équipe. Histoire d'enfoncer un peu plus le clou des similitudes, vos sorts de poison, sommeil, virus, terreur et autres peur n'ont qu'une chance sur 10 de toucher à l'image de la compétence vol on ne peut plus aléatoire. C'était déjà le cas dans la majorité des FF. Inversement, les monstres, eux, ne se priveront pas de vous accabler régulièrement de ces altérations d'état. Bah oui, ils y arrivent EUX ! Bref, les combats sont tout aussi intenses dans les 2 licences quand bien même, je trouve les boss de Lost Odyssey très simples à vaincre. Avant que je n'oublie, le jeu est entièrement traduit en français, que ce soit dans le texte ou dans les voix, je me devais de saluer l'effort. Merci. Comme quoi avec un minimum de volonté...Mal noté sur certains sites dit pro, je trouve que c'est juste qu'ils ont des goûts de chiottes car Lost Odyssey a tout d'un grand rpg à l'ancienne mais version next-gen. J'entends bien que mon avis sur ce jeu vous donne plus envie de vous le procurer que de le rejeter si vous le voyez en magasin. Oubliez des ratés comme Infinite Undiscovery et autres The Last Remnant. Ici c'est du poignant dans les grands moments qui font avancer le scénario d'un bond, du grand spectacle dans les affrontements face aux boss, j'en veux pour preuve le tout début de l'aventure où vous débarquez en pleine guerre et qu'à un moment donné une énorme météorite percute le champ de bataille et tue tout le monde...sauf vous, bah oui êtes immortel, je vous rappelle ^^ ! En parlant d'en foutre pleins les yeux, les graphismes sont tout à fait saisissants. Baladez-vous à Numara, vous m'en direz des nouvelles de cette profondeur de champ, de ces lignes de fuites vers un horizon ensoleillé, de ces falaises s'ouvrant sur un ciel infini se confondant dans le bleu de l'océan. Presqu'aussi poétique qu'un Valkyrie Profile² : Silmeria. Concernant le character design, je dois avouer qu'il est particulier. J'en profite donc pour revenir à ma comparaison FF/Lost Odyssey. Mack & Cooke,les 2 enfants de votre équipe, me font furieusement penser à Palom & Porom de FF IV. 2 magiciens au caractère bien trempé, la soeur étant toujours en train de rabrouer son frère pour ses bêtises. Par ailleurs, Ming la Reine de Numara, est selon moi, un quasi-clône de Rosa issu de l'épisode cité plus haut. La ressemblance est frappante. Plus généralement, nous nous trouvons dans un croisement entre FF VII pour les thème musicaux, FF X pour le chara' design des npc des villes et villages et FF XII pour celui des principaux acteurs du jeu. Voilà c'est dit. Sorti de là, passons aux défauts. En 1er lieu, ces pénibles temps de chargements trop présents et trop longs. Ca brise le rythme et finit par agacer car certains n'ont pas lieu d'être si interminables. On notera quelques rares chutes de frame rates par moments. On ajoutera l'impossibilité incompréhensible de faire un 360 avec la caméra pour voir ce qui se passe alentour...A l'heure de la next-gen, ce problème devrait être résolu voire oublié. Enfin, il est curieux que l'on soit bridé dans le level-up. Chaque zone traversée donnera tant de points d'xp puis plus rien arrivé à un moment donné. Ceci nous incitant alors à poursuivre l'aventure coûte que coûte pour pouvoir de nouveau faire du leveling afin d'avoir le niveau face au boss. Je trouve cela regrettable de ne pas avoir la liberté de farmer comme bon nous semble. Reste que nous avons un bien bon jeu de rôle à l'ancienne avec tous ses clichés et lieux communs comme les cavernes de glaces, les manoirs hantés, les sorts en veux en voilà et une histoire d'une profondeur qui ne sera révélée qu'au travers des souvenirs qui refont surface régulièrement dans l'esprit sombre de Kaïm. Ces souvenirs se présentent sous formes de nouvelles à lire, assez longues d'ailleurs mais qui permettent d'en savoir davantage sur le passé et la personnalité du héros mais aussi de Satie/Seth, l'autre immortelle amnésique qui l'accompagnera lors de ses pérégrinations. Je ne vais pas faire de spoilers mais il est nécessaire de les lire pour mieux comprendre l'univers du jeu et ce qui a amené nos personnages à vivre une telle aventure.
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Star Ocean 4 : The Last Hope (X360) - 27/07/2009
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9/20
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C'est l'histoire d'un jeu très joli qui attire l'oeil par son pack édition limitée classieux : fourreau, 5 cartes présentant des persos du jeu, un livret stratégique de 32 pages, un jeu qui tient sur 3 ... Suitedvd et le best of des OST de la série. Présenté comme ça, on pourrait se dire qu'il a l'air intéressant ce nouveau de jeu de rôle estampillé Square Enix. Mais ça s'arrête là ! Une fois qu'on a gratté la couche dorée, on s'aperçoit avec regret que c'est une daube oui ! Le character-design grotesque des héros est de taille à concourir avec les Bioman ou les plus mauvais épisodes des Pokémons. Même les ennemis ne ressemblent à rien : donner tigre à dents de sabre comme nom à un loup des neiges nain ça me fait rire jaune !! Le bestiaire est limité à 150 espèces différentes (je rappelle que le jeu tient sur 3 dvd..) et parmi celles-ci, certaines se contentent juste de changer de couleur et de nom. Del paresse, point barre. On tombe rapidement dans la niaiserie infecte dès que l'on enrôle la petite Lymle (prononcez Limeul) qui a une fâcheuse tendance à taper sur les nerfs vitesse grand V dès qu'elle ouvre la bouche. Qu'une seule envie c'est de lui coller une méga baffe dans sa tête pour qu'elle la ferme définitivement. On ajoute à ça Welch, la gamine hyper-active holographique qui passe son temps à dire n'importe quoi avec sa voix stridente et son tempérament de teenager Japonaise prépubère. Mais ce n'est pas tout ! Comme Star Ocean est un produit hautement marketing, on met un max de filles type manga pour ado attardé dans l'équipe et surtout on leur colle un look stupide comme la femme-chat aussi pénible que les 2 autres nanas pré-citées. Le summum a été atteint avec la femme aux ailes d'anges complètement tarte dans la ville de Roak. Mais qu'est-ce qu'Edge est allé la sauver ? Il ne pouvait pas juste rester catatonique comme dans le vaisseau à ruminer son impuissance à empêcher la Terre de péter ?...Boulet. Oui car Star Ocean : The Last Hope porte très mal son nom; c'est plutôt l'apologie des échecs consécutifs. Jamais je n'ai vu une telle bande de bras cassés...Toutes leurs missions se soldent par des échecs. Passons au système de combat. C'est du temps réel donc les décisions d'actions sont à prendre vite et bien. Jusqu'ici je maîtrise grâce à Final Fantasy XII mais ça s'arrête là. En gros, c'est du bourrinage et puis c'est tout. Pas de magie, pas d'invocations, pas d'attaques coordonnées avec d'autres héros. On se limite à taper les mobs de toutes nos forces et à lancer quelques coups spéciaux dans la limite des PM dispos. Moi j'appelle ça du beat'em all. C'est nul. Je veux mes super magies qui défoncent tout, des invocations qui prennent tout l'écran et bouffent la moitié de la barre de vie du boss...Au sujet de ces derniers, ce sont les plus réussis point de vue esthétique. Premier bon point du jeu. L'autre aspect positif, c'est que l'ensemble est très joli, un effort certain a été fait au niveau des graphismes. La bande-son n'est pas en reste, elle oscille entre des thèmes épiques et mélancoliques à la Valkyrie Profile et du bon vieux hard rock prog des 70's genre Deep Purple pour les combats. Je vous le dis de suite, je ne suis pas allé jusqu'au bout du dvd 1 tellement ce jeu m'a saoûlé. J'ai lâché l'affaire à plus de 15h effectuées. Trop pénible, trop de combats, trop répétitif : visite d'une planète, parcourir le donjon, tuer le boss, retour au vaisseau pour discuter avec les membres de l'équipage et rebelote. Je ne le vous conseille pas. C'est l'apogée du mercantilisme facile basé sur une licence connue et qui tend vers une immaturité flagrante des personnages afin de les rendre attrayants au yeux d'un gosse de 12 ans. Problème, j'en ai 27.
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Suikoden Tierkreis (DS) - 31/03/2009
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12/20
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Depuis le 19/03 dernier, j'ai Suikoden Tierkreis sur ma DSlite. Well, que dire ?? Déjà je suis content d'avoir un nouvel épisode à me mettre sous la dent et je suis surpris que la portable de Nintendo ... Suitea été choisi comme support sachant que jusqu'à présent les précédents volets étaient développés pour les PSone et PS². Ce qui m'amène donc à dire que c'est vraiment la séquelle du changement sur tous les plans. Déjà donc ya le support qui diffère mais surtout ce sont de nombreux détails plus ou moins importants qui font que ce Tierkreis sort du lot. Il est modélisé en 3D façon FF III DS avec les persos en SD. C'est assez déroutant et je ne suis pas fan, toujours l'impression de diriger des enfants comme dans FF Chronicles, Ring Of Fate. Autre chose, les décors sont, pour une fois, luxuriants et hyper détaillés ce qui contraste avec le dépouillement auquel on avait eu l'habitude jusqu'à Suikoden V. Les jolies cinématiques rappellent le style graphique des studios Ghibli mais la compression vidéo est un peu limite. J'avoue être un peu perdu avec cet épisode. Les repères fondamentaux qui caractérisent la série ont disparu. Des batailles épiques aux duels en passant par les mini-jeux dans le château, on n'en verra pas la couleur sur DS :'(. Allez savoir pourquoi...Je trouve ça regrettable car ça contribuait à donner non seulement une plus grande durée de vie au soft mais aussi un intérêt qui lui était propre. De plus, des personnages emblématiques comme Vicky ou Leknaat ne sont plus de la partie. D'autres défauts sont à déplorer comme la trop grande fréquence des combats dans les donjons. Ca saoûle rapidement à force, surtout que les options laissées à la disposition du joueur sont on ne peut plus classiques : attaques physiques, défense, objets, sorts, assaut groupé...Heureusement que l'on peut toujours utiliser le combat automatique ou fuir pour accéler un peu la marche. Il est aussi dommageable de constater que lorsque l'on dote ses persos de nouveaux équipements, aucune aide ne nous est offerte pour savoir s'il aura le set optimal comparativement aux autres volets où cela était possible. Il n'y a plus de runes ni la possibilité de faire évoluer ses armes. Les magies s'obtiennent désormais grâce à des livres que seules les étoiles du destin peuvent toucher. Voilà, j'arrête de faire mon grincheux quand bien même c'est légitime de la part d'un fan de la série. Passons maintenant à ce qui ne change pas. La quête des 108 étoiles est là et bien là (youpi !), l'acquisition et l'évolution du QG demeure inchangée et même si je n'en suis pas encore là, j'ai déjà ma petite idée d'où il se situera et ya pas à dire, il sera magnifique ! Les thèmes musicaux me rappellent beaucoup ceux du 5ème épisode surtout dans la ville de Cyna, siège de l'Ordre de la Voie Unique, les grands méchants qui puent de l'histoire. N'ayant pas le jeu depuis bien longtemps, je n'ai pas encore trop saisi le scénario. Il m'apparait comme un peu confus pour le moment. Il serait question d'un Ordre qui établit les choses comme prédéterminées et quiconque s'oppose à cette vision de la vie est considéré comme dissident. Parallèlement à cela, des portails menant vers des mondes inconnus se sont ouverts un peu partout et permettent de voyager d'un bord et de l'autre...Bref, je suis un peu dans le brouillard là ^^ Quelques nouveautés dans le gameplay font aussi leur entrée comme la possibilité de tout diriger très facilement au stylo DS à la façon d'un Zelda Phantom Hourglass. Les saisons et le passage des jours est pris en compte. Ceci a une incidence directe sur la faune que vous rencontrerez dans certaines zones. Gare aux surprises...Je vous laisse avec ces 1ères impressions sur un jeu qui continue de m'intriguer.
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