Noms alternatifs : Phantom Kingdom, Makai Kingom : Chronicles of the Sacred Stones |
28 Octobre 2005 27 Juillet 2005 17 Mars 2005
Cover |
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Technique |
Etat : Disponible Média : 1 CD
Durée de vie : 30 heures
Mode : 50 Hz
Textes : Anglais
Voix : Anglaises
Difficulté : Moyenne
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Quatrième titre de NIS à venir en Europe, c'est aussi le moins bon. Le système de jeu est un mix entre Disgaea et Phantom Brave, avec de bonnes idées. Si le scénario est toujours autant rempli d'humour décalé, il est moins passionnant et surtout plus court que pour les précédents. Graphiquement, là où on avait de grands sprites pendant les dialogues dans Phantom Brave, ici ils sont minuscules. Ceci est valable pour les cartes, ce qui est gênant. Niveau son, c'est meilleur avec des voix sympas et des sons dans le ton avec des musiques de bonne qualité. |
Collection |
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Wolf - 11/12/2017
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14/20
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J'abandonne Makai Kingdom sur PSP (version patchée en anglais). Ca me désole parce que c'est un jeu que j'aurais aimé aimer. J'arrive à y jouer, je comprends les tenants et les aboutissants, j'aime bien ... Suitele pitch de départ, la direction artistique et un tas d'autres trucs, maiiiiis y a un tout p'tit problème : je ne m'y amuse pas. Les batailles s'enchaînent sans raison ni cohérence sur des maps générées aléatoirement même en les rejouant. L'IA des ennemis s'avére assez faible et sélective, ils ignorent les guerriers en face d'eux s'il y a un mage (des sacrés tueurs cela dit, normal qu'ils angoissent) ou un healer à l'autre bout du monde, il est facile de péter le jeu en les attirant dans des gorges étroites. Outre cette ode à la boucherie, j'en retiendrai un des game systems les plus complexes sur lesquels j'ai jamais mis les mains. La débauche de classes, skills et stuffs est vertigineuse à n'en plus pouvoir ; un joueur un peu tacticien et appliqué a de quoi crafter les unités les plus mortelles de l'histoire de NIS, là où un joueur plus brutal se contentera des distributions de base et ne jouera pas plus mal (mais il farmera plus). Créer un guerrier armé d'une épée, une marchande avec un nunchaku, une soigneuse avec une seringue, un monstre-carotte armé d'une foreuse ou encore un voleur armé d'un UFO, tout cela est parfaitement possible et chaque combinaison donne différents skills et façons de jouer un personnage. L'approche typique de NIS qui "récompense la fidélité" s'applique ici de façon assez trouble, la réincarnation y étant largement plus fréquente et douloureuse qu'ailleurs. Cependant, "complexe" et "maîtrisé" sont deux choses très différentes. Ma pauvre petite cervelle livrée à elle-même dans l'apprentissage à la dure de toute la profondeur du jeu implore la grâce avant même le 3ème chapitre. Et c'est pas le scénario rapidement redondant, décousu et dépourvu d'enjeux qui va me motiver. Zetta, personnage bien connu des DLC et/ou post-game de Disgaea, il pète la classe, mais son aventure m'indiffère profondément. Aider ce Badass Overlord à récupérer son corps qu'il a lui-même perdu en étant ce qu'il est (càd un abruti) à travers une conquête sans fin de mondes vides créés par des personnages sortis de l'imagination fébrile du catalogue des tropes universels, ne me motive pas autant que d'aider un nabot orgueilleux à réclamer le trône de son père, ni une orpheline kawaii à être acceptée d'un monde qui la rejette. La bande-son signée par les assistants de Tenpei Sato qui sent bien fort le style de Tenpei Sato sans être du Tenpei Sato me laisse également le cul entre deux chaises ; c'est moins recyclé, mais ce n'est pas plus original. Nonobstant, j'ai apprécié l'expérience pour ce qu'elle m'offrait même si je ne l'ai pas terminée, et je suis content que ce jeu existe. De toute évidence, Makai Kingdom a voulu épaissir au maximum le principe de Phantom Brave, ce qui est une louable intention en soi. Pourtant, cela se retourne contre lui car l'épopée de Marona avait un contenu assez dantesque mais moins foutraque, ainsi qu'une prise en main largement plus intuitive (et me faites pas dire ce que j'ai pas dit, ça n'est pas un jeu d'une accessibilité exemplaire pour autant) plus une histoire largement plus entraînante grâce à une héroïne largement plus empathique. A force de verser dans la démesure, il est difficile de ne pas franchir certaines limites.
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Darkchaz - 25/07/2007
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10/20
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Makai Kingdom..... Rien que le nom me laisse comme un goût amer à la bouche... Le point dort du jeu est le son, vraiment toujours aussi excellemment réalisé. Mais après, on trouve un gameplay qui aurait ... Suitepu être mieux si certaines idées avaient été mieux conçues... Surtout, on regrettera cette microscopie des unités et un scénario vide Un jeu surpra moyen en somme....
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