Noms alternatifs : Mind Zero, MIND≒0 |
28 Mai 2014 27 Mai 2014 1 Août 2013
Technique |
Etat : Disponible Média : 1 cartouche
Textes : Japonais (anglais en Occident)
Voix : Japonaises
Note Famitsu : 30/40
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Conçu par Acquire et ZeroDiv (Class of Heroes), Mind 0 (MIND≒0) est un Dungeon-RPG « sombre et élégant dans un univers scolaire ».
Le character design de ce titre est assuré par KYO ; son scénariste est Minato Kushimachi et ses musiques sont composées par ZIZZ Studio.
Le jeu dispose de deux mondes, un monde réel et un monde spirituel un peu « dingue ». Dans ce dernier, les joueurs pourront utiliser une capacité spéciale, le MIND (« Mental Inside Nobody Doll »), pour faire appel à des entités rappelant les Personae des jeux d'Atlus.
Mind 0 dispose de scènes intégralement doublées, de combats au tour par tour en 3D, et d'une composante « aventure » avec des dialogues entre les personnages.
Lorsque vous frapperez vos adversaires, des onomatopées « étranges » telles que « Barin ! » ou « Zugyan » s'afficheront à l'écran.
L'histoire se déroule dans différents lieux japonais (Akihabara, Yokohama, Amamiya, et Nippori) et débute à la « Saitama Prefecture high school ». |
Collection |
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Madsurfeur - 02/02/2015
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12/20
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Pour être franc, j'ai acheté ce jeu car ce que j'en avais vu m'avais grandement fait penser à la série des Persona. Il y a en effet beaucoup d'aspects qui en viennent directement .. à la louche le fait ... Suitede se déplacer en vue FPS comme dans le premier, d'avoir des esprits qui combattent à notre place, le fait d'attaquer les ennemis en visant leur point faible, mais la ressemblance s'arrête là. Le jeu avait peut être le potentiel pour joueur dans la même cour que Persona mais malheureusement de trop nombreux défauts l'en empêche. Alors quels sont les défauts de ce jeu ? Ils sont nombreux alors je vais les lister : - Temps de chargments effroyablement longs et fréquents - Graphismes tout juste honnête - Musiques répétitives (et pas de terribles qualités à part celle des boss à la limite) - Bestaire limité et peu inspiré (en gros lion, chèvre, crabe, balance, fée, vache ....) - Difficulté mal dosée (les boss moins dur à battre que les hordes de bestioles) - IA des ennemis à la ramasse (du genre à utiliser leur soin quand ils sont full hp) - Scénario bateau (et fin décevante) Bref tout ça donne un coté très "cheap" au jeu on réutilise tous les éléments jusqu'à la fin les mêmes sorts avec les mêmes monstres les mêmes musiques dans le même décors. Le système de combat est original, mais comme vous serez souvent obligé d'attendre longtemps avant de pouvoir placer une attaque (pour peu qu'elle rate ...) les affrontement durent plusieurs longues minutes et c'est un exploit de rester éveillé. Déçu donc, le jeu ne manque pas de challenge mais laisse vraiment une impression d'inachevé.
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Wolf - 03/08/2014
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12/20
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Le jeu se présentait comme le concurrent de Persona. Franchement, je voulais y croire. Mais voilà, c'est juste absolument pas vrai. Et quand on a foiré sa communication à ce point, forcément, le ressenti ... Suiteest négatif. Point par point : Graphismes : ce jeu aurait pu sortir sur PSP, son chara design est repompé sur Atlus, des environnements bateaux, et je ne retiens qu'une conception très sympa du bestiaire. Le reste, c'est poubelle. Musiques : ça entre par une oreille, ça sort par l'autre, sauf pour Overcoming the Darkness et la musique des attaques surprise. Doublage : excellent, qu'il soit japonais ou anglais, tout va très bien, ce qui est d'ailleurs très étonnant. Scénario : les personnages portent à la force de leur caractère et de leurs répliques cinglantes le vide intersidéral qu'est la première partie : on sait pas où on va, ni pourquoi, ni pour qui, mais on y va, l'histoire l'exige. La seconde, même si elle a un objectif et un antagoniste clairs, ne tient qu'à la volonté du joueur tellement tout est mauvais, on se croirait dans un épisode de Power Rangers. Quant à la fin, je suis encore en train de pleurer. Mais pas forcément pour les raisons que vous croyez. Gameplay : je lui mets un triple A. Il est accessible, adaptable, agréable. La gestion des TP, l'optimisation, tout est réglé à merveille pour qu'on découvre progressivement et qu'on doive jouer de plus en plus finement avec le temps. Le level design des donjons est correct sans être non plus une révolution. La difficulté dépend à 85% de votre science du game design, même si on échappe pas à quelques pics bien sentis (Desolate Theater ce cauchemar qui a failli me faire renoncer au jeu). Durée de vie/quêtes annexes : l'intrigue principale taille dans les 30 ou 35h en traçant, sachant que le jeu est très bavard. Les quelques sidequests ne sont absolument pas gratifiantes tellement les récompenses sont à la hauteur des efforts qu'elles demandent : ridicules. Conclusion : on me l'aurait vendu comme ce qu'il est, c'est-à-dire un D-RPG avec un game system très solide mais une histoire pas folichonne dans un style passe-partout, j'aurais répondu avec un rictus "pas tout de suite, mais un jour peut-être" et je l'aurais oublié. Manque de bol, on me l'a vendu comme la relève d'une paire de RPG cruellement overhypé, et j'en attendais donc énormément. Sauf que le jeu n'a pas énormément à m'offrir. Donc, je garde en tête ce qu'il apporte au genre, en particulier qu'il est vraiment agréable à jouer, bourré d'idées proprement excellentes. Et je garde aussi en tête ce qu'il n'est pas, à savoir une copie bien faite du système faussement original des Social Links et du donjon unique bâclé.
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