A une époque où la magie faisait partie de l’ordinaire et les vaisseaux sillonnaient le ciel… Il est dit qu’un continent oublié tombé dans l’oubli est la terre natale d’hommes ailés. Au sein de ce continent est enfoui un ancien secret bien gardé au fond des ruines de Glabados, celui de la vie eternelle… Notre petite troupe menée par Vaan, Penelo, Kytes, Fran et Balthier partiront alors à la découverte de ce nouveau continent et découvriront qu’une trame bien plus sombre s’y profile… S’inscrivant comme la suite directe de Final Fantasy XII, Revenant Wings permet au joueur de retrouver au cours d’une nouvelle aventure les personnages qui ont su nous faire vibrer. Basé sur un système de jeu de S-RPG où vous contrôlerez vos troupes entières menées par un leader, il vous faudra venir à bout des différentes missions qui vous seront proposées. Si le titre brille par sa plastique superbe et sa magnifique OST fortement inspirée de son grand frère, il se ternit très vite en raison d’un scénario très (trop) enfantin qui pourra déplaire aux fans de la première heure. De même, si les phases de combat sont assez bien pensées et s’enchaînent bien, on remarquera un manque de précision du stylet rendant certaines actions difficiles. Reste au final un titre convenable, à la difficulté moyenne qui saura proposer du challenge et quelques bons moments. Un titre moyen mais qui malheureusement est sorti dans l’ombre de son grand frère…
-Un scénario peu passionnant -Une mythologie/géographie bafouée -Encore Vaan et Penelo en tant que personnages mis en avant -Les nouveaux personnages sont tous sauf intéressants ou attachants -Une caméra ... Suitebrouillone, comme souvent dans les productions SE +/- Des missions amusantes mais aux objectifs redondants +Un STR très convaincant, avec une gestion des armées intéressante +Un style graphique mignon +/- Une bonne OST, mais très peu de nouveaux thèmes +/- Un joli jeu, malheureusement assez pixellisé sur les sprites 2D RW est une suite sans grande ambition. On passe malgré tout un agréable moment, même si on oubliera rapidement cette nouvelle excursion en Ivalice.