16 Octobre 2015 20 Octobre 2015 7 Juillet 2016
Technique |
Etat : Disponible Textes : Anglais, français...
Voix : Anglais, Japonais
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L'épisode célébrant le 20ème anniversaire de la licence Tales of se nommera donc bien Tales of Zestiria et sortira sur PS3.
Le terme « Zest » représente la passion et l'enthousiasme d'après le producteur de la série, Hideo Baba.
Le titre disposera apparemment de plusieurs character designers : Mutsumi Inomata, Kosuke Fujishima, Daigo Okumura, et Minoru Iwamoto.
Deux personnages ont été dévoilés (romanisation non officielle) : Slay, un protagoniste illustré par Kosuke Fujishima, et Alisha, une héroïne illustrée par Daigo Okumura.
Ufotable se chargera des cinématiques du jeu.
Le jeu prendra place sur le continent de Glynnwood et mettra en scène deux puissantes nations, le « Highland Kingdom » et le « Laurence Empire » qui s'affrontent pour la suprématie. |
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Charbovary - 10/04/2017
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13/20
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Globalement je suis en accord avec le test et les avis déjà postés. Zestiria est un Tales of classique avec les qualités et les défauts que cela implique. Il dispose donc d'un excellent système de combat ... Suiteavec quelques nouveautés qui renouvellent l'expérience, mais ne brille pas par son scénario (encore moins que d'habitude, me semble-t-il). Cependant, il ajoute quelques défauts à la formule habituelle, si bien qu'il est sans doute l'un des moins bons épisodes. Tout d'abord, les graphismes sont affreux : certes, c'est un jeu PS3, mais les décors sont plus proches du niveau d'une PS2. Ensuite, la caméra est un vrai problème. Lorsqu'on joue seul, elle ne dérange que rarement, mais elle empêche presque totalement le jeu en multijoueur. C'est un vrai problème puisque, selon moi, les Tales of se distinguent de la plupart des J-RPG par l'expérience multi sympa qu'ils proposent. Enfin, les personnages ne font pas partie des plus mémorables de la série, alors qu'elle se repose largement sur un casting attachant pour compenser ses scénarios trop basiques. Au total, Tales of Zestiria se laisse suivre sans déplaisir, mais on a le sentiment qu'il a été développé trop vite et aurait pu être meilleur avec quelques ajustements. Tales of Berseria, qui part des mêmes bases (graphiques, scénaristiques, etc.) mais parvient à un meilleur résultat, le prouve clairement.
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Delldongo - 06/04/2017
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13/20
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Un Tales of ... c'est maintenant un peu comme un hamburger. De temps en temps ça peut être très bon, mais ça ne vaudra jamais la cuisine qu'on fait soi-même ou d'un bon restaurant. Et Zestiria n'échappe ... Suitepas à ce qui est maintenant devenu une généralité pour la série : à savoir des jeux sympatiques, agréables, voire même intéressant, mais de seconde zone, et pas indipensables du tout. Pour en revenir à Zestiria, il est techniquement honteux. La pilule passe relativement mieux sur PS4, mais globalement c'est incompréhensible de faire un jeu aussi faible techniquement, alors que les zones sont grandes, certes, mais complètement vides. Heureusement, les personnages, eux, sont bien faits et -contrairement à ce qui a parfois été dit- assez expressifs. Moi j'aime bien le casting du jeu, Sorey en tête, les Séraphins, et autres PNJ comme Sergei. Finalement, le personnage le moins intéressant est peut-être Alisha, donc, ce n'est pas une si mauvaise chose qu'elle n'apparaisse que très peu dans le jeu. Le scénario, jusqu'à un certain point (à savoir la fin, qui est, comme on peut le dire poliment ... pitoyable ?) est plutôt intéressant et au moins laisse le joueur toujours aux aguets sans le disperser dans des quêtes secondaires sans intérêt. En effet, un point qui a rarement été souligné est que toutes les quêtes annexes du jeu sont liés à l'histoire (plus ou moins), de ce fait, on a plutôt envie de les faire. Le gameplay est pour sa part intéressant, bien qu'en fait il soit sous-exploité dans le mode de difficulté normal. Son principal intérêt réside dans le recours aux 6 personnages du jeu pendant les combats, ce qui fait qu'on utilise obligatoirement tout le monde, sans jamais laisser un boulet de côté qu'on traînera jusqu'à la fin du jeu. Musicalement, Sakuraba touche un peu le fond, encore un peu plus à chaque épisode. Heureusement, d'autres pistes (notamment pour les sanctuaires) viennent un peu dynamiser le mortel ennui dans lequel on baigne (surtout nos oreilles en fait). Malheureusement, le jeu est entaché de trop nombreux défauts : des zones inutilement grandes et vides, une caméra pendant les combats aux fraises, notamment dans les espaces réduits, un faux sentiment de liberté (avec qui plus est des téléportations PAYANTES, qui a eu cette idée stupide ?), et une gestion de l'expérience plus que douteuse (on gagne environ 100 points d'expérience par combat pendant tout le jeu - preuve à l'appui, j'ai une capture d'écran de l'expérience donnée par le boss final), encore pire que Legend of Dragoon ou Grandia : bref il vous faudra battre des boss pour passer des niveaux. Tales of Zestiria reste un jeu sympa, qui tire surtout son épingle du jeu grâce à son casting et son univers, également pour son gameplay intéressant, mais qui déçoit quand même sur pas mal de points.
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