Secret of Mana (SNES) - 22/05/2008
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14/20
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Secret of Mana est sans aucun doute l'un des meilleurs rpg de la SNES. En plus,il nous a fait le rare plaisir d'arriver jusqu'à nous. Secret of Mana, c'est la base du A-rpg!!!Des graphismes soignés, une ... SuiteOST remarquable... Hem, oui les graphismes sont beaux et les décors variés. Les donjons sont tous travaillés avec la même attention ce qui donne un ensemble plutot homogène au final. Un Level-Design fantastique mis en valeur par une OST de grande qualité qui ne cesse d'envouter nos oreilles exigeantes. L'univers du soft répond à une logique sans faille et cela le rend tout simplement envoutant. Le scénario est tout à fait acceptable, encore aujourd'hui. Il est même très recherché pour l'époque avec cette aventure linéaire (le jeu était plutôt précurseur) mais plaisante qui nous fait voyager aux quatres coins de la planètes. Les événements s'enchaînent avec facilité et les rouages fonctionnent à merveille. C'est sur, ce n'est pas LE scénario de siècle, mais il reste convaincant sur la durée. Et il le faut, car la durée de vie de SOM est assez impressionnante pour un A-rpg (et pour l'époque aussi), et ces longues heures de jeu se déroule sans heurts car la difficulté du jeu est justement progressive (et très bien dosée). Le gameplay maintenant a été longtemps la référence des A-Rpg. On retrouve les magies et différentes armes que l'on peut équiper sur nos trois personnages. Notons aussi la possibilité de jouer à deux, un must!!! Bien entendu, cette forme de système de jeu a bien évolué depuis (heureusement d'ailleurs) mais il faut reconnaître que SOM, c'était une petite révolution. Secret of Mana etait l'un des meilleurs jeux de la console lors de sa sortie, il l'est toujours aujourd'hui. Une aventure passionnante et bien rythmée, avec un système de combat sympa (on peut jouer à deux...C'est génial non?) et un emballage graphique/sonore de bonne facture, toutes ces qualités suffisent pour que n'importe quel amateur se laisse happer par ce chef d'oeuvre.
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Terranigma (SNES) - 22/05/2008
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16/20
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Après Soul Blazer (un peu bidon quand même) et Illusion of Time (Assez bon, mais sans ambitions) voici le grand frère Terranigma. Dernier rpg sorti sur la SNES avant son inhumation économique, Terranigma ... Suitereprend et adapte le système de jeu de ses ancêtres. On se retrouve avec un A-RPG nerveux qui nous permet de contrôler un adolescent à la palette de coups plus fournie que celle de Paul (Illusion of time) ce qui n'est pas désagréable. On retrouve un système de magie assez limité mais néanmoins recherché (moi je ne m'en sert pas souvent) et on constate la disparition des transformations (dommage). Les graphismes sont beaux, et c'est le minimum pour un jeu arrivant en fin de vie de la machine. Les musiques accrochent parfois l'oreille mais se contentent souvent d'accompagner l'aventure. Le tout donne un emballage soigné et agréable pour nos sens. L'univers et le scénario maintenant. Si le début surprend et reste plutôt lent (il faut se taper 5 ou 6 tours) la suite devient plus intéressante. En effet, on se retrouve bien vite sur la (vraie) carte du monde, celle que l'on connait tous. Ici, il ne s'agira point de sauvetage de l'humanité mais de résurrection de celle-ci. L'aventure est découpée en chapitre de manière ingénieuse et emmènera le héros dans le monde entier, de l'amazonie à l'himalaya, de Gobi à Tokyo en passant par New-York. C'est plutôt cool, il faut le reconnaître. L'aventure s'avère prenante et on retrouve un schéma bien old school avec des phases d'exploration parfois retord (il n'est pas rare de ne pas savoir quoi faire). La difficulté offre un challenge raisonnable, parfois même relevé. En bref, Terranigma se sert de son scénario peu banal pour emmener le joueur vivre une aventure passionnante tout en s'appuyant sur les bases de ses aînés en termes de gameplay.
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Secret of Evermore (SNES) - 22/05/2008
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15/20
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Secret of Evermore n'est donc pas un Seiken Dentetsu. Il reste néanmoins très intéressant à parcourir. Le scénario se base totalement sur l'humour et paraît parfois tiré par les cheveux, mais il ne gâche ... Suitepas totalement le plaisir de jeu. L'univers, qui nous propose de voyager dans le temps (préhistoire, antiquité, moyen-âge et futur), est très fournie et offre de nombreuses possibilités. Les graphismes sont merveilleux et la bande son propose quelques thèmes maîtrisés sans toutefois emerveiller l'amateur durant toute l'aventure. Mais le principal atout de ce jeu est le gameplay. Se basant sur celui de Seiken Dentetsu (tiens donc!!) il offre en plus un système d'alchimie que je trouve parfait. On s'amuse bien à trouver les formules (pas toutes évidentes) et les ingrédients (là non plus d'ailleurs). Cette rénvation du système de magie est pour moi un succès (ça change des MP). De plus, l'existence d'objets rares qui influent sur le comportement du joueur et/ou des PNJ (même si ce n'est pas toujours utile) est un plus amusant et qui apporte de la profondeur au jeu. L'univers loufoque et le parti pris du comique assomme un peu le sérieux du jeu, mais permet de passer un bon moment. Un très bon action-RPG en définitive, qui peut se révéler très exigeant s'il on veut amasser un maximum de formules et d'objets rares. A faire.
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Illusion of Time (SNES) - 22/05/2008
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14/20
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illusion of time fut l'un de mes premiers rpg. Développé par Quintet, il permet au joueur de vivre une agréable aventure a travers de nombreux pays et de suivre un scénario assez pasionnant pour ne pas ... Suitedire réussi. Les graphismes sont de bonne facture et l'ost s'écoute bien si on n'est pas trop regardant. Le gameplay est un des points forts du jeu car il offre une dimension tactique par le biais des transformations du héros. Le reste, c'est du classique avec la base du A-rpg. La difficulté n'offre pas de véritable challenge et la durée de vie est un peu limitée mais qu'importe, l'ensemble est déjà tout à fait honorable et ce jeu n'est à sous-estimer pour aucun pretexte.
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Lufia and the Fortress of Doom (SNES) - 22/05/2008
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13/20
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Lufia fait partie des séries qui ont tenté d'exister face à final fantasy et Dragon Quest. Et comme d'habitude, force est de constater qu'elle ne fait pas le poids. La faute à des nouveautés trop peu nombreuses ... Suiteet par conséquent à un déroulement classique. Le scénario fait pourtant parti des meilleurs à l'époque, avec un début surprenant et une bonne élaboration de l'intrigue. Les graphismes sont mignons et tout à fait réussis pour la super nes tout comme le gameplay, qui ne prend pas de risques. En réalité, ce qui différentie Lufia et Breath of fire, par exemple, c'est la qualité de l'OST. Celle de Lufia est tout simplement impressionnante de maîtrise. C'est d'ailleurs le seul domaine dans lequel le jeu peut prétendre rivaliser avec les monstres sacrés de Squaresoft et d'Enix. Au final, un jeu qui reste une valeur sure pour les amateurs de vieux rpg et un bon divertissement pour les allergiques au grosses séries type Final Fantasy.
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Breath of Fire (SNES) - 22/05/2008
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10/20
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Breath of Fire ou le rpg par Capcom. Cette tentative n'est pas un franc échec, mais il fallait être fou pour se lancer dans la bataille Squaresoft/Enix qui faisait rage à l'époque. Au final, Breath of ... Suitefire ne s'est pas tellement fait laminer que ça. On retrouve pourtant un jeu calqué sur les premeirs final fantasy : un scénario réduit au minimum, un système de jeu identique (tour par tour), des graphismes assez beaux, il faut le reconnaître, et une OST honnête, sans plus. Les quelques nouveautés se trouvent dans les phases d'exploration. Chacun des nombreux personnages que vous controllez dispose d'une capacité utilisable sur la carte du monde (passer à travers les forêts, aller sous l'eau, briser des rochers, etc...). Un petit qui coupe la monotonie globale du jeu. Au final, sympathique pour l'époque, il reste un bon jeu parmi tant d'autres aujourd'hui, il n'est donc pas nécessaire de le faire à tout prix.
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Dragon Quest VIII (PS2) - 22/05/2008
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16/20
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Dragon Quest 8 est considéré par tous comme la réussite d'un studio, Level-5, et le renouveau d'une saga qui a souffert du combat face à final fantasy, la faute à une politique étrangère frileuse. Mais ... SuiteSquare-Enix est arrivé et propose aux joueurs europpéens de s'essayer à la série avec cet épisode qui en est certainement le meilleur. Pour apprécier Dragon Quest 8, il faut avant tout apprécier le vieux Rpg, celui qui lâche le joueur dans un vaste monde aux commandes d'un héros autiste (il ne parle pas) et qui s'allie à une fine équipe au design très punchy signé Toriyama (le papa de Dragon Ball). Si le design et la majorité du gameplay est issu du patrimoine de la série, comprenez que l'on retrouve un système de jeu hyper-classique (tour par tour plus compétences et customisation des personnages) et des monstres au design tout mignon, il n'en demeure pas moins que Level-5 à apporté sa touce personnelle. Tout d'abord, l'ajout de l'alchimarmite permettant la fusion d'armes est une des marques de fabrique du studio, ensuite, les graphismes très colorés, tout droits sortis de Dark Chronicle, s'associe parfaitement à l'univers de la série. Jusqu'ici, on a ''juste" une structure de jeu classique de très bonne facture, ce qui normalement est déjà la garantie d'un bon jeu. Alors qu'est-ce qui en fait un jeu exceptionnel ? Son scénario? Pas seulement. Et pourtant il est un modèle d'équilibre. L'aventure se suit sans aucune baisse de rythme, ce qui est un très bon point et les développeurs, en pariant sur une intrigue linéaire et quasiment dénuée de ressorts dramatiques, réussissent à masquer la vision du joueur, c'est à dire qu'il devient difficile de prévoir la suite (au contraire de Rogue Galaxy). Là encore, le scénario colle totalement à la mise en scène sobre de la saga. L'absence de ressorts dramatiques serait impardonnable dans un final fantasy, alors qu'ici prendre ce risque s'avérait inutile. Le tout donne une alchimie remarquable. On ne s'ennuie jamais, on prend même plaisir à visiter le vaste univers qui nous est proposé et ce durant les longues heures que dure l'aventure (la durée de vie de l'aventure principale est largement supérieure à la moyenne). Une épopé inoubliable, servie par une bande son parfaitement orchestrée, grandiloquente et majestueuse à la fois et qui donne encore plus de crédit à votre voyage. Seule la mise en scène aurait pu être revue, car sur PS2, on peut considérer que les efforts n'ont pas été faits. Dragon Quest 8 est ce que l'on pourrait appeler une réussite objective. Il est quasiment impossible de mal le noter, et ce même lorsque l'on adhère pas au concept (moi même j'ai eu dumal avec le système de combat) pour une seule et unique raison : en globalité, le jeu n'a pas de défauts!!! Tout simplement incroyable.
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Rogue Galaxy (PS2) - 21/05/2008
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12/20
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Avec Valkyrie profile 2, voilà le second cadeau de ce début d'année scolaire offert aux possesseurs de PS2. Rogue Galaxy, dernier né des studios Level-5 reconnus depuis le succès critique de Dragon Quest ... Suite8, est un jeu sorti il y a déjà deux ans au pays du soleil levant. Autant dire que l'on ne l'attendait presque plus ici. La bonne nouvelle, c'est qui est finalement arrivé. La mauvaise (pour moi) : c'est qu'il n'est pas aussi bon que prévu. Je l'ai étudié ce jeu, sous toutes ses coutures et il en ressort un constat rempli d'échecs. Pourtant, le jeu tient la route graphiquement. C'est presque une surprise vu qu'il a déjà pris deux ans dans les dents. Les animations sont fluides, les temps de chargement presque inexistants...Jusqu'ici tout va bien. Premier souci qui apparait bien vite : le chara design. Il est soigné, drôle et sérieux à la fois. Mais ce désiquilibre entre les personnages comiques et réalistes empêche l'emergence des sentiments : le dramatique est tué par le comique et vice versa. De plus, la primauté de certains personnages (Jaster, Kisala et Zegram) confine les autres dans un rôle anecdotique voire inutile. De plus, la psychologie des personnages est volontairement unilatérale (un personnage est associé à une émotion), ce qui limite leur exploitation. Enfin, le background est l'exemple même d'un effort infructueux. L'histoire des personnages est ici centrale et les flashback sont nombreux. Mais ces petites intrigues sont souvent trop prévisibles et le fait que chacun des personnages soient liés à une vie antérieure empêche la création de liens dans l'équipe (sauf pour Kisala et Jaster). L'emballage musical n'est pas plus convaincant. Les musiques remplissent parfaitement leur rôle d'accompagnement (les mélodies sont belles et adaptées) mais le manque d'orchestration de l'ensemble empêche l'ost de vivre en dehors de son support. Passons au gameplay. On a ici du combat aléatoire et en temps réel, comprenez que le personnage agit directement en fonction de vos actions et ils se déroulent assez bien dans l'esnsemble (la difficulté est bien dosée). Le système de création d'armes est sympathique, les nombreux mini-jeux aussi. Les compétences nombreuses et facilement utilisables. C'est d'ailleurs un reproche que l'on peut faire : certaines compétences sont tellement puissantes que l'on se contentera de les utiliser à chaque combat afin de vider l'arène de ses ocuppants. Du fait, l'aspect tactique est très peu développé. Le scénario enfin est encore une fois une semi réussite. Si certains trouveront le début dénué d'intérêt (car n'ayant pas de but précis) ou classique (c'est un peu convenu), moi je l'ai trouvé réussi. Le tout s'enchaîne très bien sans que trop d'artifices ne soient utilisés et l'intrigue s'installe progressivement par l'intermédiaire de petites scènes sympathique. On ne s'ennuie jamais à visiter ces longs, très longs donjons, pourtant pas toujours beaux mais étrangement attirants (fameuses Tours Gladius) et les villes et PNJ sont plutôt bien foutus. Malheureusement, les rebondissements, j'en parlais déjà à propos du background, sont complètement prévisibles et cela enlève au charme de l'oeuvre. La fin de l'aventure est plus rythmée que le début mais retourne dans un schéma plus logique de sauvetage et de tout ce qui va avec (épreuves insurmontables à surmonter, grosses bébêtes invincible à tuer...). J'aurai presque voulu que ça se termine plus tôt tant ce dernier segment scénaristique semble rajouté. Il est élaboré à partir de plusieurs éléments empruntés à la trame de fond, à l'univers scénaristique de base (car il y en a un, saluez cet effort peu courant) ce qui en fait une sorte de trame pretexte désagréable. Heureusement, la mise en scène sauve tout. Elle est fine, impressionnante et précise. Le jeu exprime beaucoup plus par sa mise en scène graphique que par tous ses autres compartiments. Certaines scènes sont cultes dans leur réalisation (A la fin du premier passage sur Myna par exemple). Le jeu n'est donc pas la tuerie annoncée. La production la plus ambitieuse de Level-5 ne sera donc pas la plus réussie la faute à trop de carences dans tous les domaines. L'essai Drake n'est donc pas transformé avec ce soft qui présente de nombreuses heures de travail mais qui semble avoir été monté à la va vite. Je lui préfère donc, pour ma part, Valkyrie Profile, plus sobre, plus subtil, plus magique. Rogue Galaxy, n'est pas un mauvais jeu mais il ne sera jamais une grande fresque du rpg, ni même un des meilleurs rpgs de la PS2.
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Valkyrie Profile 2 (PS2) - 21/01/2008
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16/20
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Amateur ardent de rpg, je ne pouvais décemment pas me priver d'une de ces productions assez téméraires pour oser franchir nos frontières hostiles. C'est la raison pour laquelle je profita pleinement et ... Suitedes heures durant de ce jeu merveilleux. Il est cependant malheureux et affligeant de savoir que certains médisants me fustigerons pour avoir critiqué une oeuvre dont je n'ai aucune connaissance puisque, et c'est là où le bas blesse, je n'ai jamais joué à l'ancêtre de la famille restreinte des Valkyrie Profile. A ceux-là, ceux qui pensent déjà que je ne sais pas de quoi je parle, je répond ceci : il est sans doutes préférable de jouer à cet opus sans avoir joué à son aîné, qui semble si préstigieux et si enclin à écraser ce nouveau-né de par la puissance de son aura. Bien entendu, on pourra toujours dire que pour profiter pleinement du scénario dans sa totalité, il faut avoir véxu les deux aventures. Pour ma part, j'espère vraiment que celà est vrai. Car, le scénario n'est pas le point fort, le principal atout, de ce titre. Après un début convenu mais convaincant, où l'intrigue mélange habilement recherches interdites et crises émotionnelles, le scénario est victime, et c'est un coup terrible, d'une baisse de rythme presque fatale pour son intérêt. Durant de longues heures, la progression se fait d'une manière désabusée et machinale. Heureusement, la mise en scène est telle qu'elle permet au joueur de sentir le trouble qui persiste dans le groupe d'aventuriers, le calme avant la tempête. Enfin, la fin est plus intéressante car truffée de rebondissements salutaires et invraisemblables. S'il on ajoute à celà la possible existence d'une seconde profondeur du fait de l'apport du premier opus, on arrive difficilement à un ensemble convenable. S'il on survit à l'absence prolongée de scénario au milieu de l'aventure, c'est surtout grâce au système de combat, plutôt efficace. Il est vrai qu'une fois assimilé, on peut se laisser tenter par l'attaque massive, qui se résume à appuyer sur le maximum de boutons afin de pulvériser l'ennemi, mais CE gameplay ne le mérite pas. Nous avons ici une référence de finesse, de tactique et de technique, où le timing est primordial. Finalement, rien n'est laissé au hasard aussi bien dans le choix des équipements que dans celui des compétences. Le nombre de possibilité est tel qu'il laisse pantois. Effectivement, après quelques heures de jeu d'affilée, on peut se lasser, voire pester contre ce système exigeant, mais c'est, en définitive, avec délectation que l'on s'y replonge après une pause salutaire pour les nerfs. L'emballage graphique est lui aussi très réussi. La 2D est tout simplement merveilleuse et l'on sent le travail fourni par les développeurs sur les environnements, certes inégaux, mais magnifiquement lyriques et poétiques une fois arrivé à Asgard. Les scènes de combat sont honnêtes et l'on regrettera des effets lumineux un poil trop agressifs lors des attaques finales. Enfin, le chara-design est bon, même très bon en ce qui concerne les ennemis. Même s'ils sont très réussis graphiquement parlant, on ne peut qu'être désolé de voir Rufus et Alicia frappés par le symptôme du héros nunuche et inutile. La musique, elle aussi est honnête, mais Sakuraba à fait bien mieux et, personnellement, je m'attendais à quelque chose de plus exceptionnel de sa part même si la plupart des thèmes accompagnent parfaitement l'aventure. Au final, ce jeu est à tenter. Pour les débutants, il paraîtra sans aucun doute un peu difficile d'accès, mais pour les joueurs chevronnés, il représente une expérience belle comme tout et disposant d'une ambiance lyrique saisissante. On lui pardonnera donc un scénario inégal et dans l'ensemble pas au niveau génral du jeu, qui est son seul vrai défaut, tant le reste est satisfaisant.
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Final Fantasy VI (PS1) - 04/01/2007
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17/20
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Ouh lala... Celui la, je l'ai découvert à la postérité également et quelle claque il m'a mit. Là non plus je ne noterais pas les garphismes et la bande son par un soucis d'objectivité. Ce qui m'a plu, ... Suitec'est le scénario. Je le trouve tout simplement formidable. Il est rythmé, prenant, non linéaire...c'est presque le scénario parfait. Les personnages sont nombreux, pas tous intéressants, mais ceratins sont fabuleux comme Edgard ou son frère Sabin. Ce jeu a bouffé ma vie sociale durant des semaines... et je le considère comme très bon avec une difficulté très bien dosée. Le point du gameplay est presque anecdotique et pourtant les espers donnent une dimension supplémentaire à ce chef d'oeuvre. En effet les capacité s'apprennnent grâce à ces invocations qu'il faut trouver aux quatre coins du monde. Si certain sont mis délibérément sur votre route, d'autres et pas les moindres sont cachés. A vous de les trouver. De plus chaque personnage a une caractéristique propre plus ou moins utile. La compétence outil d'Edgar peut s'avérée utile si vous trouvez les éléments nécessaires, d'autres capacités, comme le blitz de sabin s'apprennent en augmentant de niveau tout simplement. Ce jeu est un mythe et je le conseille à tous les fans de rpg.
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