Borderlands (PS3) - 15/09/2013
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15/20
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Voilà un jeu qui arrivait à point nommé quand je désespérais de goûter a des graphismes cell-shading sur PS3 qui sont passé de mode sans véritable raison après des beaux spécimens sur PS2. Si le cadre ... Suitepromettait une aventure passionnante, on repassera pour une histoire qui n'existe pas et un final des plus mauvais. Les musiques brillent plutôt par leur absence, ce qui un comble quand il faut se farcir des kilomètres à pied. Alors pourquoi 15? Parce que c'est fun d'y jouer à plusieurs. Je le déconseille totalement à ceux qui comptent y jouer seul car il n'est selon moi pas pensé pour, et je me serais ennuyé ferme au bout de 5h si j'avais du le faire de cette manière. Graphiquement propre (loin de la version PC) et profitant d'un gameplay très efficace permettant une évolution de classe que l'on peut construire en complément de celles de ses partenaires, le jeu s'avère suffisamment long pour créer une belle cohésion de groupe. Le jeu n'a rien de mémorable mais j'en garde un bon souvenir et je me suis beaucoup amusé.
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The Witcher Enhanced Edition (PC) - 16/08/2013
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16/20
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Malgré un début poussif, et un premier boss des plus déprimant par sa difficulté; The Witcher se lance relativement vite et ne gagne qu'en intérêt au fil de l'aventure. Suffisamment malin pour ne pas perdre ... Suiteles joueurs qui n'auraient pas lu les romans, il propose une aventure très intéressante qui reprend tous les ingrédients qui entourent les aventures papiers de Géralt de Riv. Beau, avec un gameplay très bien pensé, il ne révolutionne certes rien mais apporte sa pierre à l'édifice Action-RPG sur PC. Près de 70h très agréable que je n'ai pas vu passé.
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Drakengard 2 (PS2) - 20/10/2009
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9/20
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Pour avoir beaucoup aimé le 1er épisode, j'attendais beaucoup de cette suite que l'on promettais comme mieux en tout. J'en ressors un avis bien triste car pour moi, Drakengard II c'est tout en moins bien. ... Suite La grande force du premier était son ambiance et ses personnages. Le jeu était sombre, triste sans réel espoir pour le monde dans lequel il prenait place. Ici, il n'y a rien. Le jeu ne décolle pas et les personnages me sont à l'unanimité antipathiques. Il n'y a que ceux du 1er épisode qui valent le détour et c'est d'autant plus frustrant. Les doubleurs anglais ont un ton monocorde, la palme de l'horreur revient au dragon Legna, dont les adjectifs négatifs me manquent. Nowe n'est pas le personnage charismatique que Caim était, une huitre a plus de charisme que lui, c'est dire. D'un point de vue Gameplay, le constat est accablant pour moi. Je n'ai jamais réussi à prendre du plaisir le pad à la main. Je trouve que le personnage répond moins et que tous les ajouts ne font que géner ce qui était en place. Certes le changement de personnages via la touche R2 rend le tout plus instinctif. Je ne sais pas, je n'ai pas arrêter de pester. Je n'ose parler des phases en dragon où la caméra est totalement folle, le lock répond moins. Le bestiaire manque de variété et ne devient que du bétail à abattre, là où le 1er laissait un sentiment de malaise. Les villages ne sont que des boutiques et cet aspect méritait mieux: village vivant, modélisé en 3D, proposant des missions avec des guildes... il manque l'idée de village en fait. La musique est plutôt quelconque et m'a très rapidement lassé, contrairement au premier. D'un point de vue graphique, cette suite est plus variée et délaisse quelque peu les plaines désertiques pour les citadelles mais le bon graphique n'est pas impressionnant et le jeu prend du coup, du retard par rapport à d'autres jeux. Je garde donc un très mauvais souvenir de cette suite, épurée de tout sentiment quels qu'ils soient. Je n'espérais pas le malaise et la noirceur constante du 1er mais au moins j'espérais quelque chose. Je n'ai rien eu et c'est vraiment dommage. Drakengard II reste pour moi une énorme désillusion
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Zelda : Twilight Princess (GC) - 01/09/2009
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17/20
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Je tiens dès le début à préciser que mon avis pourrait contenir des spoilers de lieux, de boss, voire de scénario. Je recommande donc d'avoir joué au jeu avant de le lire. Chaque Zelda se veut différent ... Suiteafin de mieux faire passer la pillule d'un scénario souvent convenu. Twilight Princess ne déroge pas à la règle et d'autant plus qu'il bénéficie d'un scénario au final pour fournit que ses prédécesseurs. Les enjeux se révèlent plus important lorsque l'on approche de la fin. Ce n'est certes pas très profond mais suffisamment pour apprécier la relation entre le héros et son acolyte de l'ombre. Car oui, tenez-vous le pour acquis, ici les classiques Ganondorf et Princesse Zelda apparaissent au second plan. La relation principal concerne Le héros et Midona, étrange créature venu de l'ombre. L'atout principal de cet épisode, est la transformation en loup afin de déambuler dans le monde de l'ombre. Simple et efficace dans sa jouabilité, il devient une simple arme vers la moitié du jeu. On finit le jeu en ayant passer plus de temps en humains qu'en loup, ce qui est dommage. D'un point de vue gameplay, c'est du Zelda pur et donc efficace. Il y a une notion de progression avec l'acquisition de coups spéciaux au fil de l'aventure. Un système intéressant surtout vu le maitre et le lieu d'entrainement. L'on retrouve également des possibilités comme la pêche ou parcourir le monde à dos d'Epona. Cependant, ces 2 possibilités sont bien moins utilisés au cour de l'aventure, l'on passe peu de temps sur le dos d'Epona contrairement à Ocarina of Time, un petit regret en somme. Cependant les combats et duels a dos de cheval font oublier cet aspect, tellement ils sont jouissif. Le seul regret du gameplay reste pour moi le lock. Je ne sais pas, je l'ai trouvé moins précis, parfois confus contrairement à Wind Waker. Je me suis retrouvé à pester contre ce lock, ce qui m'a plutôt étonné. L'on pourrait également regrétté que les armes obtenus sont peu utilisés une fois le donjon, où l'on les obtiens, terminé. En terme de donjons, le bémol pourrait se poser sur la faiblesse de quelques-uns. Je les ai trouvé moins tortueux, plus faciles comme Le Temple Sylvestre, le Temple du Temps, Celestia. Au contraire du Temple Abyssal, Palais du Crépuscule, la Tour du Jugement et les Mines Goron. Il en va de même pour certains boss, Octolanthe par exemple est vaincu en 2 coups de cuillères à pot. Blizzarnia, ou Golghoma sont également peut attrayant. En contrepartie, Magmaudit, Argorok sont passionnant, même si très facile. C'est au final, un sentiment général pour TP, il est facile, peut être même trop facile. En terme d'univers, cet épisode est très bien fournit. Un univers vaste, varié et enchanteur grâce à de sublimes graphismes qui ne laisse jamais la lassitude pointer le bout de son nez. Les lieux sont connus mais offrent une nouvelle vision des terres d'Hyrule. et c'est un plaisir de les parcourir. En contrepartie, le bestiaire me plait moins. Des monstres réguliers sont ici moins beau dans leur design, moins effrayants en comparaison de Wind Waker. Je pense notamment au ReMort et au Stalfos relativement quelconque dans Twilight Princess. Mais alors avec tous ces petits défauts, comment se fait-il que cet épisode m'est tant plu? Et bien tout simplement parce que j'ai pu aller au dela de ces défauts. Contrairement à Wind Waker, j'ai vécu des moments épiques (absent de WW, essentiellement basé sur la légèreté et l'envolée lyrique) comme le combat contre MagMaudit, les combats contre les Darknuts encore plus redoutables que dans les autres épisodes 3D, le dragon de Celestia, ainsi que tous les boss secondaires parfois plus passionnant que les boss de Donjon. Je n'ose même pas parler du Combat final, moment épique du jeu qui m'a rappeler le plaisir immense que j'ai pris lors du combat contre Ganon dans sa forme ultime (Ocarina of Time). Les moments de pur détente, de pur poésie sont bien sur présents (mais moins que dans WW) notamment la descente du Lac Hylia en Canoë , la recherche d'Excalibur... Voilà comment je ressens Twilight Princess. Un grand jeu avec des graphismes et des musiques sublimes, des combats souvent épiques, quelques moments enchanteurs. Mais avec un légé soucis de lock, un bestiaire moins inoubliable, un manque de recherche pour les donjons, un trop grande facilité. Mais quel jeu, quel plaisir de l'avoir fait!!! Il me marquera moins que OOT (fait pourtant en 2004 donc tardivement) et surtout moins que WW, véritable merveille. Mais ne boudons pas notre plaisir, ce jeu bien que perfectible reste quand même supérieure à bon nombre de productions.
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Tales of Symphonia (GC) - 28/07/2009
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16/20
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Lorsque l'on termine un jeu qui au final a pris presque 2 ans d'une vie, il est toujours difficile de se dire "voilà c'est terminé" et de trouver les mots pour justifier ce temps consacré. Mon rapport ... Suiteavec Tales of Symphonia est en soit plutôt particulier. Avec presque 300 heures de jeu sur 2 parties, je me dis qu'il était temps d'en faire un avis moi qui reportait inconsciemment le final, le dernier combat. Ma première partie de 140h était plus qu'avancée avant que ma carte mémoire n'exige un formatage me faisant perdre tout ce que j'avais accompli (notamment de nombreuses heures de boost des armes maudites). Cet échec me restant en travers de la gorge il me fut difficile de m'y remettre avec le même engouement et pourtant quelques mois après je me relançait pour la même aventure, une partie identique voire même supérieure car je n'ai pas reproduis les mêmes erreurs. Tales of Symphonia est un grand jeu! C'est la phrase la plus simple qui puisse décrire cette expérience. Il possède un univers suffisamment vaste avec des villes sublimes et vivantes, des donjons tortueux bien que peu esthétiques; une véritable force. Des villes comme Meltokio et Luin offre la simplicité et la qualité d'une architecture qui répond parfaitement au design cell shadé de l'ensemble. Toute la force graphique du jeu réside dans ces 2 domaine a défaut d'une map qui elle donne la nausée. Chaque mouvement entre 2 villes, 2 donjons sur une plaine verte avec un simple chemin de terre que parcourent des limaces mauves sont toujours un cauchemar tellement les yeux souffrent. Le véritable point noir du jeu est là: la MAP. Que dire ensuite du bestiaire, si ce n'est qu'il est conséquent, délirant et un plaisir à combattre. Plus de 200 ennemis le composent et chacun possède un charme certain. Mais un bestiaire de qualité ne serait rien sans un moyen efficace de les combattre. Et là, ce n'est que pur plaisir. Le système de combat offre des dizaines de possibilités, combinaisons; simple de manipulation il n'en reste pas moins complexe si l'on souhaite en comprendre et maitriser toutes les subtilités. L'utilisation des raccourcis afin de donner des ordres au personnages que l'on ne contrôle pas est une petite merveille qui rend le tout passionnant. Certains combats bien que brouillon deviennent un déluge de magie et de coup d'épées. Difficile de rendre sur le papier le plaisir fou que j'ai pris lors de ces joutes épiques, notamment lorsque parfois la victoire s'arrache alors que la défaite semblait inévitable. La seule chose qui a rendu toutes ses heures consacrer au jeu relativement longues est au final son OST. Elle possède trop de déchets, trop de musiques quelconques pour la rendre mémorable, inoubliable. Certaines sont exceptionnelles (la musique du générique de fin en fait partie) mais souvent elles sonnent creuses sans vie sans âmes: une exsphère vide en quelque sorte. C'est vraiment dommage de la part d'un Sakuraba qui m'avait émerveillé dans Baten Kaitos. Ce que j'ai préféré dans cet épisode, ce sont tous les a-côtés. Tout faire dans ce jeu prend un temps fou, le jeu est vaste en petite quête de quelques minutes, et en quête plus longue comme le bestiaire, les figurines, la cuisine, le colisée, les armes maudites... Chaque chose accomplie est un petit plaisir. La forme: Un gameplay de folie Des graphismes enchanteurs Une MAP immonde Un bestiaire de grande qualité une musique plutôt quelconque Les a-côtés nombreux et passionnant Venons-en désormais au fond qui parfois peut être en deçà de la forme. Ici ce n'est clairement pas le cas! Dans son histoire, TOS se révèle être une petite pépite de maturité. Les thèmes abordés sont certes classiques ais traité d'une façon légère sans pour autant tombé dans la niaiserie, et souvent les dialogues sont vraiment dans un ton plus dramatique ou le rose bonbon n'apparaît pas. Racisme, intolérance, esclavagisme, danger de la technologie, religion: du déjà vu mais traités avec une pointe de légerté grâce aux graphismes. Symphonia ne serait donc pas niais? Je vous rassure, il l'est mais pas dans son univers, pas dans son histoire. Ce sont quelques-uns de ces personnages qui rendent tout ceci niais et parfois frustrant. Le trio Lloyd-Génis-Colette peut parfois nous offrir des dialogues passionnant pour faire avancer l'histoire mais également des moments qui peuvent nous horripilé, a tel point que l'on veuille les trucider. Ils ressortent pour moi comme le défaut du jeu dans son fond, car en contrepartie de cet échec, les autres personnages du groupe sont excellemment bien présents. Que ce soit Sheena, Raine, Preséa, Regal, Zelos et encore plus Kratos, chacun possède son histoire, ses secrets, ses rêves qui sont développés au cour de l'histoire notamment lors des scènettes, petits moment intimes de l'aventure. Nous pourrions seulement regretté l'absence de doublage pendant ces petits moments qui parfois en révèle énormément. Là où selon moi FFX avait échoué, Symphonia offre donc un panel de personnages passionnant. J'ai eu très vite envie de poursuivre l'aventure à leur côté. C'est pour cela que je considère ce Tales of comme bien moins niais que certains le disent, parce qu'il offre une histoire qui se durcit, s'assombrit au fil des heures. Et que dire de leurs adversaires tout aussi développé avec leur propres traumatismes qui ont fait ce qu'ils sont. Beaucoup d'entre eux ne sortent pas de la scène comme des vilains, des fous qui inspirent le dégout. Certains sont ont à la base fait un choix qui les a conduit sur la voie du mal. Et lorsqu'ils sont vaincus, les héros ne ressentent pas vraiment de la joie, du soulagement mais un vide profond, un beau gâchis Le jeu tient très bien la route dans son mélange maturité/naïveté et pourtant je me dis parfois que j'aimerais avoir joué à ce jeu sans une seule touche de naïveté, si cet énervant trio avait été remplacé par d'autres adultes, quel jeu en serait sortit? Le fond: Un scénario plus riche qu'il n'y parait un trio principal détestable Des seconds couteaux exceptionnels Des ennemis riches en contenus Tales of Symphonia est un grand, c'est une évidence. Il possède un univers d'une richesse incroyable qui fait que l'on ne s'ennuie que très rarement voire pour ainsi dire jamais (même après 250h). Il n'évite cependant pas quelques écueils qui l'empêche selon moi d'atteindre la perfection; aussi bien dans le fond que dans la forme. Mais en y réfléchissant bien, ils ne pèsent pas lourd face à tant de qualités
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Atelier Iris 2 : The Azoth Of Destiny (PS2) - 12/02/2009
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14/20
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Lorsque l'on enchaîne les mastodontes du RPG, il arrive parfois d'avoir envie de jouer à quelque chose de plus léger. C'est parfaitement le cas de Atelier Iris 2. Le jeu se veut frais, beau et suffisamment ... Suitebon pour avoir envie de le terminer. Graphiquement, c'est un retour en arrière avec une Map en 2D et des donjons/villes en 3D isométrique. La pauvreté des décors des donjons n'est hélas pas caché par cet angle de vue. La linéarité est présente, malgré les dénivelés et différents étages, ainsi que les forêts et les montagnes qui se ressemblent un peu trop. Les villes et villages s'en sortent bien mieux et sont agréables à parcourir. Les personnages sont tout de même attachants et bénéficient pour la majorité (hormis le consul) d'un chara-design excellent. Leur personnalité étant légèrement sous-exploité, même si on en apprend suffisamment pour les apprécier. Scénaristiquement parlant, c'est également pauvre. La trame de fond est classique et manque de développement, à tel point que l'on peut avancer pendant un bon moment sans ne rien avoir découvert de nouveau. Elle reste efficace, mais un minimum de jugeote permet de voir venir les rebondissements à des kilomètres. Le niveau de difficulté est également très bas. Il n'est pas vraiment nécessaire de faire du level up. Les monstres de bases n'apportent aucun challenge et les boss bien que plus difficile sont abordables avec des réserves d'objet et un stuff correct. La musique quand à elle, est de très bonne facture. Si certaines pistes sont redondantes à la limite barbantes; la majorité d'entre-elles s'en sortent très honorablement: un des points forts du jeu. Il y a tout de même pas mal de petit défauts, alors pourquoi ce jeu est-il bon? Parce qu'il mise clairement tout sur son Gameplay. Pas celui en combat qui reste ultra classique, mais en dehors. L'alchimie est le gros point fort du jeu : c'est le cœur du jeu. Tout est fait a partir de l'alchimie: les armes, les potions, l'équipement. Tout peut être upgrader, transformer. Le fait d'incarner 2 héros, chacun dans un monde différent, permet de switcher de l'un à l'autre. Les taches sont bien réparties : l'un combat, l'autre fait de l'alchimie. Dès qu'il faut un objet particulier, l'alchimiste s'en charge a condition d'avoir la recette (il faut chercher dans les 2 mondes, acheter aux marchands fréquemment) et les ingrédients adéquates. C'est clairement la partie la plus impressionnante du jeu, car les possibilités sont nombreuses. On peut passer une grande partie de son temps dans les menus (très simples d'accès) pour tester,chercher, transformer : un vrai régal qui ne comporte aucune difficulté si ce n'est une connaissance correcte en anglais, le jeu n'étant pas traduit. Un jeu très sympathique que cet Atelier Iris 2 (il n'est absolument pas nécessaire d'avoir fait le 1er avant) et je ne peux que le recommander!
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Zelda : The Wind Waker (GC) - 02/09/2008
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18/20
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S'il fallait résumé ce jeu, je dirais que j'ai ressenti une énorme bouchée de fraicheur et ce dès le menu du jeu. Wind Waker nous invite a vivre une aventure marine où le héros vogue d'île en île. La ... Suitemusique est enchanteresse, les graphismes et l'univers sont sublimes. La quête quand a elle est longue, la quête secondaire par contre. Car la quête principale bien que passionnante, se révéle courte en comparaison de Ocarina of Time. La force du jeu repose sur les nombreuses petites quêtes et autres mini jeu qu'il faut remplir en rencontrant les PNJ du jeu et c'est également très bien fait. Nintendo oblige, les finitions sont très bonnes et le gameplay est au petits oignons. Définitivement un grand jeu que ce Zelda, pas le meilleur mais une aventure sympathique
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Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers Age (GC) - 02/09/2008
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10/20
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Déception que ce RPG qui aurait mérité un meilleur traitement sur le fond. Le jeu reprend le design des films ce qui facilité grandement le travail. J'attendais donc de pouvoir visité la terre du milieu ... Suitecomme je l'entendais, partir à la rencontre du monde de Tolkien. Et bien ce n'est pas le cas, le jeu est linéaire au possible ( bien plus que FFX vu que les aller-retours n'existent pas car il n'y a rien a faire). On avance, on combat, on ouvre un coffre, on fait évolué ses persos (basiquement). Le gameplay montre un RPG tour par tour ultra-classique. Ce qui encore plus rageant, c'est le choix des développeurs de ne pas nous faire incarné les membres de la communauté de l'anneau. Ce sont des persos inconnus à l'histoire des films ( et des livres) dont il est difficile d'apprécier la compagnie. Le Tiers Age ne possède qu'un enrobage de qualité avec les graphismes, les effets de lumières lors des attaques et les musiques issues du film ( pas original)
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Drakengard (PS2) - 28/08/2008
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14/20
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Etrange concept que nous produit Cavia avec ce Drakengard. Ce monde dévasté où les hommes s'entretuent, font des pactes avec des dragons, massacrent tous ce qui passent est assez jouissif, il faut le reconnaitre. ... Suite Le jeu se voulait malsain dans le développement de l'intrigue et bien que je l'ai remarqué, je ne l'ai jamais ressenti comme tel, jamais je ne fut mal à l'aise. Au contraire, ce fut encore pus jouissif de massacré des enfants possédé hurlant leur agonie sous mes coups d'épée (est-ce grave docteur? ) Les graphismes sont pauvres et les décors sont vides, cela renforce l'aspect apocalyptique du jeu et est compensé par le nombre d'ennemis à l'écran, mais c'est quand même très légé. Et du coup, la lassitude pointe son nez vu que les combats se ressemblent tous, ou presque. Car, les phases en dragon cassent cette monotonie et se permettent même d'être très jouables. L'Ost ne restera pas dans les mémoires mais retranscrit bien les émotions du jeu, et le côté épique ressort : correct sans plus. Drakengard se veut un bon défouloir à l'intrigue prenante : pari réussit. Il devient un A-RPG très sympathique
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Final Fantasy X (PS2) - 28/08/2008
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13/20
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J'ai mis longtemps à me décider pour débuter cette aventure, l'univers ne m'attirait pas tout comme les personnages, oui définitivement la forme me rebutait. Mais plusieurs avis m'ont finalement convaincu ... Suitede me lancé et voilà donc ce que j'en pense. Une Déception, je ressent un sentiment d'inachevé avec clairement le derrière entre 2 chaises. D'un côté le scénario contient tout ce qui fait la force de l'opus avec des éléments prenants : la religion, le périple, le sacrifice. Et d'un autre les protagonistes qui le font vivre me donnent la nausée. Je n'arrive pas a rentré dans leur groupe car les 2 héros me font clairement pitié lors de leur dialogues pour midinette de 13ans ( la scène de Luca est le meilleur exemple). Ce qui a eu pour effet de me laisser de glace lors de scènes plus fortes en émotions. Auron et Lulu sont pourtant des protagonistes au caractère trempés et à l'histoire passionnante. Mais 5 contre 2, c'est clairement impossible d'y adhéré. Les graphismes sont de grandes qualités et le contraste Zanarkand/Autre Monde est prenant. Mais en contrepartie les NPJ qui les peuplent font taches, je n'arrive pas a les apprécier. Les musiques ne sont pas très emballantes, hormis 8-10 pistes (To Zanarkand entre autre) je n'arrive pas à apprécier le travail des 3 compositeurs. Ce qui m'a permis de rester jusqu'à la fin, c'est le système de combat qui est excellent, dynamique et offre de nombreuses possibilités pour s'adapter au monstre/boss rencontrés. Tout comme le sphérier auquel j'ai clairement adhéré, un superbe concept. Voilà mon embarras de très bonnes choses composent ce jeu, mais sont ruinées par d'autres choses qui moi me gênent, m'horripilent, me désespèrent. Je conserve donc mon opinion de départ, la forme continue de me rebuter tandis que le fond m'a clairement impressionné
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