Nom alternatif : Super Robot Taisen Gaiden : Masou Kishin - The Lord of Elemental |
27 Mai 2010
JAP |
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Technique |
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Avis RPG Soluce |
L'histoire débute avec un personnage, Masaki, seul au milieu d'immeubles et incapable de se rappeler les raisons de sa présence en ces lieux. Il rencontre alors une femme répondant au nom de Tytti qui lui explique qu'il se trouve sur la face inverse de la Terre, dans un monde appelé La.Gias. Notre homme se retrouve rapidement confronté à d'étranges événements (attaque de terroristes, tremblements de terre) et se retrouve pilote de Masouki (sorte de mécha). Alors même qu'il se sentait incapable de diriger cette étrange machine, il se révèle être un excellent pilote...
Est-ce l'homme dont parle la prophétie de La.Gias ? Mystère.
Il ne s'agit là malheureusement pas d'un nouveau titre mais tout simplement d'un remake DS du jeu Super Robot Wars Gaiden: Masou Kishin - The Lord of Elemental sorti au Japon sur Super Famicom (Super Nintendo) en 1996.
Ce tactical-RPG, vous mettant aux commandes de divers méchas, proposait alors plusieurs scénarios, différentes fins et une cinquantaine de personnages. S'agissant d'un jeu 100 % original il ne contenait pas de personnages et méchas issus de licences connues.
Il n'en constituait pas moins un agréable divertissement.
Bien peu d'informations concernant les nouveautés apportées par ce remake DS n'ont été dévoilées pour l'instant ; nous savons seulement que le jeu disposera de nouvelles animations et d'attaques inédites.
C'est maigre mais il faudra s'en contenter pour le moment. |
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Bahamut-Omega - 15/12/2013
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20/20
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C'est dans ce jeu que l'on en apprend plus sur Masaki Andoh, un des héros du premier univers SRT et son ennemis juré: Shû Sirakawa. Le jeu est en 2 partie, une se passe avant SRT 2 (Famicom, GB et Ps) ... Suiteet une après SRT 4 (S Famicom et Ps) ou SRT F - F Kanketsuhen (Ps et Saturn) . Dans la première partie nous découvrons donc l'univers d'adoption de Masaki, La Giars, un monde "intérieur" à la Terre, fortement inspiré de Byston Well (l'univers de l'anime Aura Battler Dunbine de Tomino) où l'alchimie existe et est la source principale d'énergie. Lors des premières heures de jeux on voit Masaki, jeune orphelin japonais se faire invoquer dans La Giars, dans le royaume de Lan Gran précisément. Il rencontre Tutty qui lui explique rapidement se qu'il arrive avant de prendre par à une bataille face à des terroristes, à bord d'un Masôki, un robot magique. Après quelques péripéties, Masaki se liera d'amitié avec les habitants de Lan Gran qui deviendront sa famille. + L'univers : Un monde fantastique, à mi chemin entre le médiéval et le contemporain. + Le scénario : Là où le genre "Real Robot" rencontre le "Super Robot", l'histoire d'une guerre en statue quo entre 3 pays, envenimée par une secte prônant la résurrection d'un dieu maléfique. 4 fins possibles, une triste, 2 incomplètes et une heureuse et officielle. + Les personnages : nombreux et variés, parfois stéréotypés, parfois très loufoques. Les héros sont très attachants, très humains. Concernant les ennemis on a de tout, le fier soldat défendant son idéal / sa patrie, au politicien aux ambitions démesurés en passant par le prêtre machiavélique ou le scientifique devenu fou. + Le gameplay : Habituel aux autres SRT à la différence que les robots sont en taille réelle, le fait qu'ils soient originaires d'un même univers le permet (peu de différence de gabarit). Les map ont donc des différences de topographie qui agissent donc sur la portée et la précision des armes, ou le déplacement des robots. L'orientation du robot sur sa case compte aussi dans le calcul des dommages et du taux d'esquive et de coups critiques. Dans cet opus on a aussi droit à une roue élémentale (feu vent terre eau …) La version NDS propose un mode New-Game + très pratique pour voir les différentes fins. + Réalisation : Déjà très belle sur S Famicom (bien qu'un peu "figée" lors des combats) , la version DS est une refonte intégrale du jeu, avec l'ajout de magnifique scène de combat en 3D et d'artwork pour illustré les scènes marquantes du jeu. L'OST est bien moins grande que dans les autres opus mais globalement plus soigné, notamment dans les scènes hors bataille. - La progression : Pour trouver la bonne fin, et surtout faire tout les stages, sans soluce, ça relève du miracle. L'organigramme des stages étant très complexe. L'ajout d'un mode NG+ est une bénédiction. - Des détails... la légère censure verbale pour la version NDS et leur simplification par rapport à la version S Famicom qui n'était déjà pas difficile.
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