Noms alternatifs : Castlevania: Akatsuki no Menuett, Akumajou Dracula: Akatsuki no Menuett |
1999 voit la fin de Dracula. Le comte est désormais bel et bien enterré et fait partie de l’histoire ancienne. Alors que l’année 2035 pointe le bout de son nez avec une éclipse solaire, vous, Soma Cruz, rendez visite à votre amie, Mina Hakuba au temple du quartier. Mais en pénetrant dans ce temple, vous vous retrouvez au beau milieu du château du tant redouté comte… L’éclipse solaire vous a téléporté au sein même du château de Dracula !
Sous un prétexte relativement simpliste, Aria of Sorrow nous propose d’explorer une fois de plus les couloirs de ce château maléfique. Le système général reste le même que les précédents mais heureusement, quelques ajouts sont de la partie. Ainsi, Soma peut désormais s’équiper d’âmes de monstres qu’il rencontrera au cours du jeu. Divisée en 4 types distincts (rouges, vertes, bleues et jaunes), ces âmes confèrent à notre héros de nouvelles capacités qu’il faudra utiliser pour passer les différents pièges. Sachant que la plupart des ennemis libèrent une âme, que vous en récupérerez après certains boss et autres événements scénaristiques, le nombre de combinaisons se révèle être assez important. Pour le reste du gameplay, tout cela restera comme avant. A vous de vous équiper de votre arme fétiche et d’occire un maximum de monstres pour gagner en niveau. Doté d’un aspect graphique excellent pour le support, se rapprochant de très près aux opus PS1 et Saturn, Aria of Sorrow fait plaisir à voir. De même la bande sonore se révèle être de grande qualité, en particulier pour le support, très limité dans le domaine. Reste une durée de vie moyenne… Un excellent Castlevania qui possède son lot de surprises et de moments épiques. |