Vandal Hearts 2 (PS1) - 25/06/2010
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13/20
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Vous voilà en l'an 986 et autant dire que la cité de Natra n'est ce qu'il y a de plus calme en ce moment. Forcement, avec une reine qui assassine son mari et un cardinal diabolique qui fait régner la terreur, ... Suiteil va bien que falloir que quelqu'un se dévoue. C'est donc dans cet univers particulièrement original que vous allez devoir restaurer la paix, l'épée au poing et la sueur au front. La trame de l'aventure est tout ce qu'il y a de plus classique, mais c'est de toute façon dans la gestion des affrontements que le jeu prend toute sa valeur. En cas de rencontre avec des forces hostiles, vous devrez donc gérer au tour par tour les mouvements, les tirs et les attaques de vos personnages tout en utilisant les nombreuses capacités spéciale qui vous pourrez bien évidemment acquérir au cour de votre progression. Cette progression justement ne se fera pas sans mal. En effet, la difficulté et le manque d'ergonomie de l'interface risquent d'en dégoûter plus d'un (sans parler des armes dont les pouvoirs sont parfois extrêmement difficiles à trouver). Tout cela est bien dommage car le gameplay est par ailleurs bien, notamment lors des combats et le plaisir de jeu vient très vite. Coté réalisation par contre, c'est moins bien. Si la qualité sonore est bonne (bien que les musiques soient un peu trop monotones), il n'en est malheureusement pas de même pour les graphismes. En effet, que ce soit pendant les phases de combat ou d'exploration, les décors restent médiocres sans plus et les sprites des personnages sont eux complètement ratés.
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Lunar Legend (GBA) - 25/06/2010
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11/20
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On incarne Alex, un jeune homme d'une quinzaine d'années. Il vit dans le village de Burg avec ses amis : Luna, une jeune fille de son âge adoptée par ses parents; Nall, une sorte de chat volant qui parle ... Suiteet Ramus, le fils du maire. Depuis toujours, Alex rêve de vivre une grande aventure comme celle de Dyne, le fameux Dragonmaster. L'arrivée de Narsh, un apprenti magicien de Vane, lui permettra de visiter le lieu saint du dragon blanc. Là, ils rencontrent le dragon blanc qui leur fait subir quelques épreuves. Une fois rentrés à Burg, Alex décide de partir visiter le monde. Accompagné par Luna, Nall et Narsh, il rencontrera différents personnages comme Mia, Jessica, Kyle et bien d'autres encore. Il faut bien le faire remarquer, Lunar Legend n'a rien d'un jeu exceptionnel. Il n'empêche que tout au long du jeu, on se trouve dans une ambiance "toute gentille" qui fait du bien. Ici, pas de scénario capable de nous sidérer de par ses révélations; pas non plus d'héros dont le charisme enfonce tout ce qui a pu être vu jusqu'à présent; pas non plus de capacités techniques exceptionnelles. Non Lunar Legend n'est rien de tout cela. Tout ce que l'on a, c'est un jeune homme normal qui veut poursuivre un rêve et ce faisant découvrira ce qui est réellement important dans la vie
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Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers Age (PS2) - 25/06/2010
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12/20
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C'est ainsi que l'on se retrouve avec un groupe de personnages qui semble marcher sur les traces de la communauté de l'anneau, nous permettant de revivre les moments forts de la trilogie. Du coup, l'histoire ... Suiten'est ni fidèle à celle du film ni totalement inédite. Puisque le groupe est amené à explorer les contrées qui servent de toile de fond aux trois films, la plupart des événements sont prévisibles et la progression ne réserve finalement que peu de surprises. Certes, les ennemis sont impressionnants mais ils sont peu variés car limités à ceux du film. On combat ainsi parfois pendant plusieurs heures sans voir plus de trois types d'ennemis différents, mais il faut reconnaître que la mise en scène est bonne avec un dynamisme rare pour un RPG de ce type. Mais le problème n'est pas là. En fait, ce qui nuit le plus au Tiers Age, c'est son accessibilité. En voulant rendre le titre facilement accessible, les développeurs en ont oublié les clés d'un bon RPG. Le soft ne comporte ni villages, ni PNJ, ni carte gigantesque que l'on explore librement, mais se présente au contraire sous une forme très dirigiste, avec des environnements linéaires et un nombre excessif de cut-scenes et autres extraits de film. On ne peut pas faire trois mètres sans débloquer un "conte épique de la Terre du Milieu" ou sans mettre la main sur une pièce d'équipement qui va nous obliger à passer par le menu pour en équiper l'un de ses personnages. Autant de choses qui ralentissent le rythme de l'aventure, au même titre que les gains d'expérience faramineux qui font passer les héros au niveau supérieur tous les deux combats. Il faut alors repasser à chaque fois par le menu pour répartir ses points d'aptitude, ce qui devient vite rébarbatif. En moins de trois heures, on se retrouve avec un groupe de niveau 20 qui n'a pas grand-chose à craindre de ses adversaires, du moins lorsqu'il ne s'agit pas des boss. Si le gameplay est on ne peut plus classique, on notera tout de même le nombre intéressant de compétences disponibles et la possibilité de se retrouver encerclé, ce qui oblige à faire tourner ses personnages pour se retrouver en face de l'adversaire voulu. Le jeu emprunte notamment le système de Final Fantasy X avec la possibilité de remplacer un membre actif de son groupe par un personnage en réserve sans pour autant perdre un tour de jeu, mais la magie est ici limitée aux compétences propres aux différents personnages. Le soft s'appuie sur la licence pour impressionner avec une mise en scène toujours bien sentie et des mouvements de caméra qui dynamisent bien les affrontements. On reconnaît facilement toutes les créatures issues de la trilogie cinématographique ainsi que les lieux parcourus. Forcément, en s'appuyant sur les musiques de la trilogie cinématographique, le jeu fait son petit effet. L'ambiance est du coup excellente mais ça reste du déjà entendu. On ne se faisait pas trop d'illusions sur ce point-là, mais la durée de vie n'est vraiment pas à la hauteur des autres titres du genre. Le manque d'intérêt du mode Maléfique et la linéarité des quêtes ne donnent guère envie d'y passer plus de temps que nécessaire.
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Fire Emblem : Path of Radiance (GC) - 23/06/2010
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16/20
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Focalisée sur une guerre viscérale déclenchée entre deux nations que rien ne disposaient à la guerre, le scénario décline rapidement vers le destin personnel d'Ike, héros charismatique de la province de ... SuiteCrimea, injustement mise à feu et à sang. Une entrée en matière qui, à l'image des Fire Emblem précédents, ne laisse pas pantois d'admiration, mais qui trouve toute sa légitimité dans son influence au cœur de la psychologie développée des divers protagonistes. Bien qu'un peu trop animé par des réactions purement altruistes parfois moyennement crédibles, Ike s'avèrent particulièrement attachant, se détachant nettement du lot sans toutefois demeurer le plus digne d'intérêt de la bande. En effet, des intervenants comme Shinon détenteur d'une acidité humaine, ou encore Soren ancré dans des positions carriéristes, apportent leur lot de pensées contradictoires dans un contexte quelquefois un tantinet manichéen. C'est en cela que réside l'une des forces de ce Fire Emblem, à savoir proposer des individus riches et diversifiés, réalisant le tour de force de susciter tous une attention amicale. Comme d'habitude, le chara-design s'avère somptueux, appliquant à n'importe quel soldat, archer, ou chevalier, qu'il soit un héros ou un simple exécutant, une aura éminemment attirante. Assez décevante pour de la Gamecube, la qualité graphique de Fire Emblem reste toutefois acceptable, se situant dans la moyenne des productions actuelles. Il faut cependant noter la réussite indubitable des phases de combats, dynamiques et surtout baignées d'effets lumineux probants. De ce fait, cet opus Gamecube dispose d'un gameplay profond et complexe, tout en étant expliqué très intelligemment durant des tutoriaux particulièrement pédagogiques. Vous devriez en avoir pour une trentaine d'heures avant de rencontrer le boss final.
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Shining Soul (GBA) - 23/06/2010
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6/20
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Oubliez donc le scénario, puisque ce dernier ne fait mention que d'une menace, en la personne de Dark Dragon et de ses cinq généraux qu'il vous faudra éradiquer à tout prix. Et c'est parti pour des va ... Suiteet vient entre le village de départ (le seul présent dans le jeu) et les différents mondes du titre où des combats incessants vous rapporteront expérience et items Très difficile de trancher, d'un côté on est en présence d'un jeu en 3D isométrique avec un design très mignon et qui prouve, via le premier village, que les graphistes nous ont pondu quelque chose de très vivant, très frais, et de l'autre on est déçu de constater que les sous-niveaux, propres à chaque monde sont tous identiques. Si les 3 premiers mondes sont simples, il est étrange de constater la difficulté du boss du 4ème monde, Michaela, qui vous donnera énormément de fil à retordre. A part ce boss, le jeu est très simple. Il vous faut à peu près dix heures pour clôturer ce jeu. Des bruitages pas suffisamment variés, rappelant les jeux NES, et des thèmes trop conventionnels pour une bande-son assez moyenne.
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Sword of Mana (GBA) - 22/06/2010
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12/20
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Rarement, mis à part Golden Sun 1 et 2, la GBA n'était parvenu à un tel résultat. Un tourbillon de couleurs éclatantes, choisies avec soin, corroborant le souci maladif du détail au sein des environnements ... Suiteextrêmement variés du monde de Mana. Lorsqu'en plus les différents moments de la journée sont gérés, avec un changement notable des contrastes et des dégradés, mais d'une manière très fine, on se demande si notre portable ne va pas imploser. Un gameplay très imaginatif, laissant une totale liberté au joueur et permettant de jouer de la manière qui vous sied, à votre rythme. De plus, grâce au système de points d'expériences à redistribuer entres différents caractéristiques, vous créez votre avatar, qui ne ressemblera à aucun autre. Le jeu en lui-même n'est pas très long, comptez 25 heures pour terminer le jeu. Des compositions fantastiques de Kenji Ito, responsable entre autres du thème de combat démentiel de Saga Frontier 1, collant à merveille avec les différentes actions, Une trame somme toute classique, mais disposant d'un final vraiment prenant.
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Children of Mana (DS) - 21/06/2010
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7/20
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Dans un royaume magique situé au centre du monde, sur une île appelée Illusia flottant au-dessus d’une mer céleste, une nouvelle génération de défenseurs de Mana vient de voir le jour. Le monde d’Illusia ... Suitene comporte, en effet, qu’un seul village. Celui-sert donc plus ou moins de plaque tournante, et c’est là-bas que vous devrez nécessairement revenir entre chaque donjon pour mettre à jour votre équipement, vous approvisionner ou interroger les habitants pour obtenir des renseignements. Children of Mana est ainsi construit de manière très linéaire. Si le jeu comporte bien une trame scénaristique, celle-ci n’est pas particulièrement étoffée et ne fait que tenter de justifier l’enchaînement ininterrompu de donjons. En quittant le village, vous atterrissez simplement sur la carte du monde depuis laquelle vous pouvez accéder directement à n’importe quel niveau débloqué. S’ensuit alors une série de batailles continues à travers une succession d’étages bondés de monstres. Cette routine de progression est d’ailleurs reprise tout au long de l’aventure. La réalisation 2D est assez bien réussie. Le jeu est très simple et une petite dizaine d’heures de jeu suffisent pour boucler l’aventure.
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From the Abyss (DS) - 21/06/2010
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4/20
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L'histoire se situe dans le royaume de Rubenhaut, une nation fondée dans le but de protéger un cristal magique donnant accès à une dimension parallèle : "la Faille d'Abysse". Ce cristal, qui fait finalement ... Suiteoffice de portail vers un monde infesté de créatures démoniaques, est le seul barrage entre la lumière de Rubenhaut et le chaos des Abysses. Le scénario étant réduit à sa plus simple expression, ne vous attendez pas à le voir se développer d'une quelconque façon tout au long de l'aventure. Votre quête se limitera uniquement à des va-et-vient ininterrompus entre le village de Rubenhaut et l'entrée du labyrinthe dimensionnel. Le village est uniquement constitué de menus vous permettant simplement de dialoguer brièvement avec des personnages et d'effectuer quelques achats rapides auprès du seul marchand du coin. Autant dire que l'immersion en prend un coup, l'aspect jeu de rôle disparaissant bien vite au seul profit de l'action. Le jeu nous laisse choisir notre personnage parmi quatre héros prédéfinis, ceux-ci ne diffèrent en rien sinon par leur physique. Le seul moyen de personnaliser son avatar durant la partie sera donc de distribuer manuellement les points d'aptitude gagnés à chaque passage au niveau supérieur. Cette classique montée en puissance du héros sera de toute façon votre seule motivation tout au long du jeu, car en plus de n'offrir aucun scénario véritable, le titre échoue également à proposer des phases d'exploration dignes de ce nom. En optant pour une construction calquée sur le modèle des dungeon-RPG, les concepteurs de From the Abyss n'ont pas choisi le meilleur moyen de relancer l'intérêt du joueur qui sombrera bien vite dans l'ennui. Si les niveaux sont générés aléatoirement à chaque fois que l'on crée une nouvelle partie, ils restent composés d'une succession monotone de "salles" qui se ressemblent toutes et que l'on traverse en quatrième vitesse pour se dépêcher de trouver l'accès à l'étage suivant. La Faille des Abysses n'abrite d'ailleurs que huit environnements différents, chacun étant constitué de seulement quatre niveaux menant à un boss, ce qui réduit la durée de vie à moins d'une dizaine d'heures.
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Alundra 2 (PS1) - 14/06/2010
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3/20
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Vous incarnez Flint et c’est dans sa peau que vous allez aider Alexia à sauver le monde. Les graphismes ne sont pas terribles, les héros n’ont pas de charisme, le scénario n’est pas trop recherché et la jouabilité n’est pas un modèle. Un jeu à éviter ou à jeter si vous le possédez et que vous ne l’avez pas encore joué.
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The Granstream Saga (PS1) - 14/06/2010
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4/20
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Vous incarnez Eon, un jeune garçon orphelin recueilli par Valor son père adoptif. Ses vrai parents lui avaient remis un sceptre mystérieux qui lui donne pour mission de sauver le monde. Voilà l’histoire. ... Suite Le premier truc qui a gravé le jeu définitivement dans ma mémoire est le graphisme. Comment un jeu peut être si moche ? Les personnages n’avaient même pas de visage. Le gameplay est sans intérêt. Les combats étaient bien pensés, mais malheureusement, il manquait de l’action et du dynamisme. Tous dans ce jeu était effroyablement lent et raide, des visites dans des villes vides et des donjons qui sont représentées que par des couloirs vides allant dans tous les sens. Peu de musiques, peu de sons, peu de contenu. Grandstream Saga n’avait pas les moyens de se payer une OST. Un point positif du jeu était les scènes animées qui venaient émailles le scénario. La musique, les graphismes, les bugs, tout ruine de véritables efforts pour faire un RPG avec une ambiance un peu authentique.
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