Legend of Foresia (PS1) - 17/01/2011
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1/20
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Legend of Foresia est, pour moi, le plus mauvais RPG sur la PSX. Le scénario étant réduit à sa plus simple expression, ne vous attendez pas à le voir se développer d’une quelconque façon tout au long de ... Suitel’aventure. Legend of Foresia ne comporte qu’un seul village (bar). Celui-sert donc plus ou moins de plaque tournante, et c’est là-bas que vous devrez nécessairement revenir entre chaque donjon pour mettre à jour votre équipement, vous approvisionner ou interroger les habitants pour obtenir des renseignements. En quittant le village, vous atterrissez simplement sur la carte du monde depuis laquelle vous pouvez accéder directement à n’importe quel niveau déloqué. S’ensuit alors une série de batailles continues à travers une succession de pièces bondées de monstres. Cette routine de progression est d’ailleurs reprise tout au long de l’aventure. Legend of Foresia est un des jeux le plus laid jamais paru sur PSX avec des pixels gros comme le poing et une superposition de couleurs criardes et baveuses, l’aspect visuel est vraiment infâme. Les musiques sont stridentes et très vite lassantes, elles n’ont aucun intérêt. Les bruitages sont tellement nuls qu’il faut vraiment les entendre pour le croire. Si vous avez du courage comme moi, alors il faut compter une bonne quarantaine d’heures pour terminer ce jeu.
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The Legend of Zelda (NES) - 17/01/2011
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16/20
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Le Prince des Ténèbres, Ganon, s’empara du fragment « Force » de la Triforce. Désireux de rassembler les trois morceaux de Triforce nécessaire à sa toute puissance, l’être maléfique poursuivit sa quête ... Suitedans le monde d’Hyrule à la recherche des autres fragments. La Princesse Zelda qui possédait le fragment « Sagesse » de la Triforce craignit que l’être maléfique ne s’en emparât et elle divisa sa Triforce en huit morceaux qu’elle dissimula aux quatre coins de la contrée d’Hyrule. Elle fut ensuite, comme elle le redoutait, capturée par Ganon. Impa, la nourrice de Zelda, faillit être capturé également mais fut sauvée à temps par Link. Elle lui raconta toute l’histoire. Link, assoiffé de justice, décida de réunir les morceaux du fragment « Sagesse » afin d’ouvrir un passage vers la Montagne de la Mort pour trouver Ganon, le vaincre et sauver la Princesse Zelda, retenue prisonnière. Un scénario tout bête, mais le succès qu’a eu ce jeu nous prouve que ce n’est pas parce que le scénario n’est pas complexe, voire incompréhensible, que le jeu n’est pas de qualité pour autant. The Legend of Zelda est le 1er épisode de la saga Zelda. Il pose certaines bases qui seront conservées dans beaucoup des épisodes suivants, comme, par exemple, la vue aérienne, les combats en temps réel, l’univers héroïque fantaisie, et bien sûr les fameux palais. Ces palais sont au nombre de huit (+ le palais final). Link devra les parcourir. A l’intérieur de chacun d’entre eux, des pièges et des énigmes l’attendent. Ces énigmes sont rarement compliquées, le plus souvent, il faut détruire tous les ennemis d’une salle pour déclencher l’ouverture d’une porte qui mènera à une pièce adjacente, ou alors il faut récupérer une clé pour ouvrir une autre porte. Il arrive également qu’il faille déplacer des blocs pour faire apparaître un escalier dérobé, ou poser une bombe contre un mur pour créer un passage. Dans chaque donjon, Link trouvera un objet spécial qui l’aidera pour la suite de sa quête. Terminer un palais signifiera obligatoirement que le gardien des lieux, un monstre plus puissant que les autres, aura été vaincu et un fragment de Triforce récupéré. En dehors des phases dans les donjons, le joueur pourra emmener Link dans les recoins d’Hyrule pour glaner quelques rubis et des réceptacles de cœur qui agrandiront la barre de vie du jeune elfe. Il faut savoir que presque toute la zone de jeu est accessible dès le début. Cependant, en certains lieux, on rencontre des ennemis bien trop puissants pour que Link puisse les vaincre sans les bonnes armes et les bons objets. Hormis une difficulté toute relative, la jouabilité de TLOZ représente une très grande réussite. A la fois simple et efficace, le gameplay se révèle comme étant un véritable modèle de plaisir ludique. On retient également, qu’on pouvait sauvegarder sa partie et à l’époque de la NES, c’était une vraie révolution. Ce sont des graphismes assez ternes, un peu pâlots, l’ambiance old-school par excellence quoi. Les maps sont toutes construites de la même manière, ce sont les mêmes blocs de partout pour les murs, il ya environ cinq types de murs dans le jeu, et il en va de même pour les sols. Les donjons ont des couleurs plus sombres que le monde extérieur, ça renforce bien l’idée de danger, cet effet-loi est très réussi. Les personnages ne sont pas très beaux, et même pour la NES ils auraient pu faire quelque chose de plus beau. Les musiques, bien que peu nombreuses, sont de toute beauté, et confèrent à Zelda toute la splendeur qui fait de ce jeu ce qu’il est aujourd’hui. The Legend of Zelda reste aujourd’hui encore un titre remarquablement profond que beaucoup prendront plaisir à redécouvrir.
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Final Fantasy IV (DS) - 10/01/2011
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17/20
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Un des RPG les plus appréciés, fait un retour remarquable sur Nintendo DS. Grâce à de nouveaux graphismes en 3D, des séquences cinématiques bénéficiant d’un doublage intégral, des musiques remaniées et ... Suiteun contenu additionnel inédit. Le jeu qui avait su sortir des conventions avec le système de combat « Active Time Battle » a été entièrement remodelé, sans rien perdre de ce qui faisait son charme. Le gameplay bénéficie maintenant de toutes les possibilités offertes par la Nintendo DS, proposant une approche riche et immersive de cette histoire mêlant des héros d’exceptions, d’inéluctables trahisons, des rédemptions inattendues, l’amour et la puissance de la magie.
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Final Fantasy IV (PS1) - 10/01/2011
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17/20
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Porteur d’un pouvoir incommensurable, quatre cristaux élémentaires reposent de par le monde. Le cœur des hommes est hélas prompt à convoiter les objets de puissance et est facilement corrompu par la force ... Suitequ’ils possèdent. Séduit par le pouvoir des cristaux, le royaume de Baron cherche depuis peu à les prendre par la force en attaquant injustement des nations pacifiques. Le chevalier noir Cécil, capitaine des forces d’élite de Baron « Les Ailes Rouge », est chargé par le roi d’obtenir ces cristaux. Mais il commence bien vite à s’interroger sur les véritables motifs du souverain. Déchiré entre la souffrance causée par ses propres actions, la loyauté qu’il voue à son pays et son sens de l’honneur, Cécil choisit finalement de s’éloigner du chemin des ténèbres et de la destruction. Le scénario original de Final Fantasy 4 est remarquable sur de nombreux points, et propose au joueur une quête de rédemption éclatante et des rapports très étroits entre certains personnages. Le héros, Cécil, est le premier de la saga à être réellement charismatique. Du coup l’identification est bien plus présente pour le joueur, il est davantage immergé dans ce monde chaotique. Final Fantasy 4 est le premier de la série à utiliser le fameux système de barre ATB (Active time Battle) pendant les phases d’attaques. Cette barre est celle qui se remplit à côté du nom des personnages durant les combats. C’est elle qui décide quand vous pouvez attaquer. Le jeu permet aux personnages de s’entraider mutuellement. Le barde peut chanter une chanson, pendant que l’autre invoque un monstre et pendant qu’un autre membre les protège pour les empêcher de se faire interrompre. Les invocations ajoutent du piquant et tous les items disponibles (qui satureront votre inventaire très rapidement) rajoutent des possibilités incroyables. Même si les classes sont imposées cela ne sera pas vraiment une grande contrainte car chaque personnage a une très grande utilité et chacun a ses propres techniques. Les menus sont très bien organisés et les magies aussi. Le fait qu’il faille être stratégique nous permet d’adorer le jeu même après l’avoir terminé plusieurs fois. Les graphismes n’ont rien d’exceptionnels pour la PSX, on peut même dire qu’ils ne sont pas très beaux. Il n’y a pas beaucoup de détails et les villes se ressemblent. Mais bon, ils sont bien utilisés et donnent un côté futuriste et médiéval au jeu, quand on est plongé dans cette ambiance, on n’y prête guère attention. Finalement, ils sont juste satisfaisants. Nobuo Uematsu est toujours fermement décidé à composer des mélodies plus que des musiques d’ambiance, mais le style de composition diverge des autres trois épisodes. Les mélodies de Final Fantasy 4 se voulant plus matures, il est tout aussi possible que ce soit le jeu qui ait imposé une ambiance plus consistante, le scénario du jeu étant très développé, et surtout plus sombre qu’auparavant. Le jeu est assez long. Avec 3 maps, plusieurs donjons, des quêtes annexes, la difficulté de certains boss ainsi que tout le temps que l’on peut passer à se battre contre des ennemis pour devenir plus fort, apprendre de nouvelles magies et se payer de nouveaux équipements. Comptez une bonne quarantaine d’heures si vous désirez savourer le jeu dans toute sa splendeur.
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Legend of Legaia (PS1) - 04/01/2011
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12/20
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Vous incarnez ici un personnage du nom de Vahn. Il doit élucider le mystère de la brume qui se forme sur tous les villages du monde de Legaïa et transforme les habitants en monstres nommés « Séru ». Pour ... Suitecela vous aurez deux amis qui vous aideront dans votre recherche, Noa, la fille la plus fofolle qui puisse exister, et Gala qui est lui plutôt du genre sérieux dans son travail. Votre but est simple, il vous suffira de réanimer les arbres de vie pour rompre la brume et d’arriver à combattre le démon qui la provoque. Vous avancerez dans votre aventure en luttant avec Songi qui était un ancien ami de Gala. Il s’est encanaillé avec l’Enfer en créant de la brume. Le scénario est le plus gros défaut de ce jeu. L’intrigue est beaucoup trop basique et les personnages très superficiels. Le jeu rassemble beaucoup aux autres jeux de rôles du style, avec une interface proposant de multiples menus pour gérer votre personnage et une incontournable évolution en puissance au fil des niveaux. Outre l’augmentation de vos caractéristiques, vous aurez aussi accès à des nouveaux pouvoirs spéciaux (prêter par les Ra-Séru, sorte d’esprits bienveillants) que vous obtiendrez au fil de l’aventure. L'originalité de ce jeu vient de son système de combat, en effet, vous devrez utiliser les touches directionnelles pour décider des attaques que vous allez porter, sans avoir à passer par des menus pour le choix de vos coups. Vous pouvez apprendre les combinaisons de touches par vous-même ou par des personnages. Ces coups useront votre énergie que vous pouvez facilement récupérer en vous concentrant à chaque tour. Les magies ont aussi leur part d’originalité. Pour apprendre de la magie, vous devez d’abord repérer un ennemi connaissant de la magie, puis l’achever avec votre membre sur lequel le Ra-Seru s’est greffé, mais cela ne marche pas à tous les coups. Vous pouvez donc après utiliser ses pouvoirs pour les combats futurs et augmenter le niveau de vos magies. Coté graphisme, les personnages manque cruellement de détails par rapport aux décors notamment et malgré la 3D omniprésente, certains dessins restent trop grossiers (sans être complètement ratés) et la pixellisation se fait beaucoup trop sentir par moments. L’animation reste par contre irréprochable, même dans les combats où les effets lumineux sont parfois nombreux. A part les musiques de combats, qui sont bonnes, les autres laissent à désirer. Les musiques sont trop répétitives et ennuyeux. Malgré des nombreux défauts, Legend of Legaïa reste un bon RPG.
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Arc : le Clan des Deimos (PS2) - 04/01/2011
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14/20
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Dans le monde d’Arc résident deux grandes races qui n’arrivent plus du tout à cohabiter. D’un côté les humains, avec leur technologie, et de l’autre côté les Deimos, des monstres intelligents dotés d’une ... Suiteforce naturelle hors du commun. Jusqu’ici tout va bien et on se demande même pourquoi ils se taperaient dessus. Seulement il existe un élément que les deux races doivent posséder pour continuer à vivre normalement, et cet élément sont les pierres d’esprit. Du côté des humains celles-ci confèrent de l’énergie pour faire fonctionner leurs technologies et de celui des Deimos elles apportent leur énergie magique vitale. Comme toutes choses essentielles, les pierres d’esprits sont en quantités limitées et les deux races se vouent une haine et un combat sans merci depuis de nombreuses années. Vous incarnez donc Kharg, un beau prince humain qui n’a pour seul destin de diriger plus tard son peuple, et de l’autre côte Darc un « sang-mêlé » mi-Deimos mi-humain qui se retrouve repoussé par les deux races. Le destin de chaque personnage va les amener à se rencontres et découvrir en chacun d’eux des similarités plutôt troublantes, mais ce sera à vous de le découvrir. Le scénario est très bon avec une très bonne mise en scène, même si certaines scènes font un peu trop « cliché ». Malgré un très bon scénario, les phases d’explorations et les combats sont linéaires et mou. Les déplacements sur la carte se font d’un lieu à l’autre à la manière d’un Legend of Dragoon, c'est-à-dire vous choisissez directement le lieu où aller et le perso bouge juste sur la route qui relie les lieux. Entre les lieux majeurs se trouvent des petits lieux qui déclenchent des batailles mineures lorsque vous marchez dessus. Pendant les combats, deux alternatives vous sont alors proposées. Soit vous attaquez, soit vous effectuez une magie, représentée par un rond de couleur rouge. Pour utiliser vos pouvoirs magiques, vous devez disposer de pierres d’esprits. Jusque-là tout est normal. Mais ces derniers en utilisent un nombre considérable. Si bien que vous passez le plus clair de votre temps à les économiser durant les combats. Vous ne vous fiez alors qu’à vos petits poings, ce qui rend les combats identiques et lassants. Le système d’évolution des personnages est très classique, on achète avec l’argent remporté dans les combats des équipements pour améliorer ses armes, des objets et des pierres d’esprits pour lancer des techniques et magies. Chaque personnage évolue indépendamment. Un principe simple et efficace, facile à utiliser. Le menu est clair et rapidement maîtrisé. Niveau graphique, rien de très exceptionnel. Les décors sont beaux, certes, les personnages animés très correctement, mais on reste un peu sur sa faim. On est ici très loin de la qualité visuelle que peut offrir la PS2. La bande son offre des thèmes variés, et rarement enclins à provoquer la lassitude. Une originalité agréable et des sons instrumentaux de qualité. Un point négatif est le doublage français catastrophique. Arc : Clan des Deimos est malgré des défauts (doublage français, combats, linéarité) un bon RPG grâce à son très bon scénario.
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.Hack INFECTION Part 1 (PS2) - 04/01/2011
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10/20
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L’univers de Hack est centré sur un mystérieux MMORPG baptisé « The World ». Vous incarnez un jeune élève en 4ème année au Japon. C’est la première fois que vous jouez à ce jeu, et votre meilleur ami va ... Suitevous guider. Votre ami décide de vous emmener dans un endroit interdit en guise de terrain de jeu. Après quelques escarmouches insignifiantes dans un donjon vite expédié, votre ami est anéanti par un ennemi invincible, en apparence bugée. Puis dans la vraie vie, vous apprenez que suite au KO virtuel dans le jeu, votre ami est tombé dans le coma. Plus tard, vous rencontrerai Aura qui vous confie un épais volume permettant de détruire les bugs en récrivant les données du jeu. Grâce aux nouvelles capacités, vous allez essayer de découvrir ce qui se passe dans « The World ». Dans le jeu, vous avez une ville racine, où vous pouvez acheter des objets, de l’équipement, de la magie ainsi que de parler avec d’autres joueurs du MMO et de faire du troc avec eux. Vous pouvez accéder à des zones de combats grâce au portail situé dans la ville. Les zones de combats sont des vastes plaines avec un donjon. Les donjons sont répétitifs et sombres, certains paysages auraient mérités d’avoir plus de cinq couleurs. Pour ce qui est de la jouabilité, le mieux est de s’imaginer PSO en speedé. Côté musique, c’est très agréable mais répétitif. Hack est un RPG doté d’un scénario malin et bien pensé mais souffrant de plusieurs lacunes.
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Terranigma (SNES) - 30/11/2010
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17/20
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Le scénario est des plus originaux. Vous jouez le rôle d’Ark, vivant dans un petit village au cœur d’un monde souterrain étrange. Il libère un petit slime nommé Yomi qui lui confie la terrible mission ... Suitede réparer le monde. L’aventure commence donc avec comme objectif de rebâtir le monde et non pas un monde imaginaire mais bien le nôtre, le vrai. Le jeu se divise en quatre chapitres, les deux premières sont assez courts et consistent à ressusciter les continents et la vie. Par contre, le troisième est beaucoup plus vaste et intéressant, vous devrez parcourir le monde, de villes en villes en suivant une trame principale prédéfinie. Mais à côté de cela, de nombreuses quêtes annexes existent pour développer certaines villes. Par exemple, vous devrez aider un inventeur à construire un avion, aider la ville de Suncoast pour construire un aéroport afin de se désenclaver et faire venir les touristes, distribuer des lettres dans le monde entier pour récolter des fonds destinés à une ville ravagée par le feu, etc. Même si ça n’apporte souvent pas grand-chose comme récompense, les quêtes secondaires sont sympathiques, elles donnent une certaine profondeur au jeu et améliorent sensiblement la durée de vie. La partie combat dans Terragnima m’a ravit. C’est rapide, précis et efficace. Ark répond au doigt et à l’œil, sans délai. Les armes dont disposent Ark sont des lances, la plupart possèdent un pouvoir particulier qu’il faudra utiliser si nécessaire. Pour la magie, il vous faudra récupérer les magicrocs dissimulés partout dans le monde. Ces derniers vous permettront d’acquérir des bagues magiques, utilisable une seule fois mais puissantes. Le système d’interface est plus novateur, en effet, elle se trouve dans le refuge de Yomi. Le choix des équipements, objets,… s’y fait rapidement et simplement. D’un point de vue graphique, ce jeu a vraiment ce qu’il faut pour captiver, vous serrez baigné par de jolis jeux de lumière et de transparence dans des environnements plus ou moins diversifiés, sans parler de la présence de cinématiques qui apportent une ultime touche à l’œuvre. Certains passages sont visuellement à l’opposé, trop limités et même parfois assez laids. La bande son est agréable, certaines thèmes magnifiques bien que parfois peu lassante. Les bruitages sont assez bons. La durée dépend pour beaucoup du nombre de sous-quêtes et donjons secrets que vous pourrez trouver, sa tourne autour de 25 heures pour finir le jeu. Terranigma est un excellent jeu qui est malheureusement sorti trop tard sur la console.
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Hybrid Heaven (N64) - 30/11/2010
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11/20
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A l’aube du nouveau millénaire, lors des fêtes de fin d’année, la Russie et les Etats-Unis sont sur le point de conclure un accord portant sur le désarmement des têtes nucléaires. Une organisation secrète ... Suiteextrêmement plus dangereuse que toutes les armes atomiques réunis essaye de s’implanter dans la politique des Etats-Unis pour faire échouer l’accord et surtout dominer la planète. Cet organisme a sa base principale cachée sous la ville de New-York. Diaz est le seul de tout le personnel à se rebeller et il ne devra compter que sur lui-même pour éviter que le pire n’arrive. Le scénario est très complexe au départ mais sa trame se découvre fil à fil au fil de l’histoire donnant des aspects hollywoodiens à l’ensemble. La mission de Diaz est de s’enfoncer de plus en plus profondément dans le gigantesque complexe souterrain peuplé de multiples mutants pour découvrir la vérité. Lors de l’exploration, Diaz n’aura comme arme que son diffuseur. Il s’agit d’un pistolet qui n’endommage que les objets électroniques, comme les interrupteurs ou les drones. De temps en temps, certains monstres plus coriaces que les drones viendront s’imposer devant vous. Un combat tour par tour commence. L’interface et la vue font irrémédiablement penser à un jeu de baston classique avec des barres de vie et de puissance, mais dès que vous essayer de frapper, le jeu se met en pause et vous devrez choisir grâce à des menus ce que vous voulez faire parmi toute une palette de coups de poings, de coups de pieds, de prises, de combos ou des objets de votre inventaire. Les musiques ne sont pas terribles. Il s’agit souvent des mêmes airs et en plus ils ne sont pas inoubliables. Les graphismes ne sont pas très convaincants. Les couleurs sont un peu termes et les textures utilisées pas terrible. De plus, les adversaires et les personnages sont ridicules. Hybrid Heaven est un jeu très linéaire et laid mais reste moyen en raison de son scénario et les combats réalistes et dynamique.
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Secret of Mana (SNES) - 30/11/2010
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16/20
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Tout commence dans les alentours du village de Potos où notre jeune héros trouve une épée qui semble l’appeler. En prenant cette épée, le héros ne sait pas qu’il vient de rompre le fragile équilibre entre ... Suitele bien et le mal maintenu par l’arbre Mana. De nombreux monstres apparaîtront et votre village est attaqué. Malgré que vous ayez repoussé l’attaque, vous êtes banni du village et vous devez parcourir le monde afin de réparer votre erreur. Lors de sa quête, le héros va être rejoint par deux compagnons : une jeune princesse à la recherche de son bien-aimé et un enfant elfe qui a perdu la mémoire. Il s’agit d’un A-RPG et tous les combats se font en temps réel. Lors des combats, vous pouvez choisir entre huit armes et plus de quarante magies. Chaque arme et magie peut être évalué par des sphères d’armes et graines Mana. La gestion des menus est novatrice et exemplaire. Elle repose sur un système d’anneaux à l’utilisation enfantine. Un autre point fort du jeu est que vous pouvez jouer jusqu’à trois joueurs simultanément. Un point négatif au niveau Gameplay est que les PNJ ont une fâcheuse tendance à se coincer dans les éléments du décor. Cela ne plante pas le jeu, mais reste assez désagréable. Les graphismes sont assez colorés, les monstres sont variés et correctement animés. Les décors sont originaux et ont bénéficié d’un travail particulièrement complet. La musique ne se contente pas d’être sublime, elle transmet des émotions et colle parfaitement avec la scène. Les bruitages sont aussi très réussis. Le jeu est assez long et facile. Il vous faut un peu plus de 30 heures pour conclure le jeu. Le jeu est assez difficile au début mais devient vite facile dès que vous savez utiliser la magie. Secret of Mana est un très bon A-RPG grâce à son scénario simple mais efficace, son ambiance, son gameplay et la possibilité de jouer à plusieurs.
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