Etat : NTSC-J (import) Média : 1 cartouche
Durée de vie : 20-30heures
Textes : japonais
Difficulté : Difficile
Avis RPG Soluce
Ernest et Opera voyage de galaxie en galaxie dans l’unique but de continuer leurs recherches scientifiques. Lors d’une expérience touchant de près à de grandes forces gravitationnelles, ils sont happés par l’explosion et leur vaisseau est envoyé sur une planète inconnue du nom de « Blue Spère ». Avant de se crasher sur la planète ils réussissent à envoyer un signal de détresse à Précis. Cette dernière, connaissant leur position se dépêche d’envoyer quelques camarades pour les sauver et découvrir se qu’il se cache sur cette étrange « Blue Sphere ». Nous retrouvons donc les personnages de Star Ocean : Second Story, deux ans après les événements qu’ils ont vécu. Gardant quelques points du précédent soft comme les caractéristiques des personnages (leurs repas favoris, etc), la création d’items, les skill et quelques autres points, Blue Sphere apporte son lot de nouveautés, surtout à cause d’une refonte du système dû au support. Un système de combat basé sur du semi active time battle, qui a une pêche presque similaire au Star Ocean 2 tout en lui enlevant l’aspect fouillis dont ce dernier faisait preuve. Graphiquement très beau, musicalement assez réussi, et un gameplay du tonnerre, Blue Sphere se révèle comme un jeu Game Boy Color des plus réussis sans pour autant atteindre le niveau de ses prédécesseurs.
Un jeu agréable à jouer. Le plaisir de retrouver les persos de Star Ocean 2 et de savoir ce qu'ils sont devenus. Les graphismes, sans être laids, ne sont à mon goût pas très jolis (en particulier les choix ... Suitede couleurs pas toujours très heureux). Ce jeu est avant tout destinés aux fans de la série (je pense toutefois que ceux qui n'ont jamais joué à SO2 peuvent tout de même l'apprécier). Le seul problème étant qu'il n'est sorti qu'au Japon et donc en japonais. Ceux qui ne comprenent pas un minimum la langue auront beaucoup de mal à y jouer et à en aprécier le scénario.
28 Juin 2001 
Now thank me, you indignant fools!, Despina, Cladun
