Tales of Phantasia (GBA) - 17/05/2011
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17/20
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Tales Of Phantasia est le premier épisode d ela série à rallonge de namco. Il en pose donc toutes les bases. Mais cette version GBA trahi quelque peu l'original. ~Scénario~ Dans la peau de Cless, un jeune ... Suitegarçon promis à un avenir radieux en tant que guerrier, vous partez à la chasse avec votre compagnon Chester. lorsque vous revenez, le village et détruit et vos parents sont morts. Vous ne tarderez pas à découvrir celui qui a fait le coup : Dhaos. Vous vous mettrez alors à ses trousses pour rendre justice. Sur un départ assez classique se pose les bases d'un scénario de grande ambition : voyages dans le temps, reflexion philosophique de haute volée (LA FIN!!), Tales Of Phantasia ouvre un univers cohérent et attachant, dont les personnages principaux, quelque peu naïfs il faut le dire, vont partir à la découverte bien malgré eux. Une réussit en mon sens, ToP c'est surtout une profonde reflexion sur l'Homme et ces actions. ~Graphismes~ Cette moututre GBA reprend le moteur de jeu del'original en y affincant les détails et en réhaussant les couleurs. Ce sont justement celles-ci qui me posent problème, lejeu devenant trop lumineux, voire enfantin, touche qui ne correspond pas du tout au soft. ~OST~ La musique peut sembler redondante au premier abord, surtout si vous avez déjà joué à d'autres épisodes. Mais à l'époque elle était juste magnifique. Des thèmes variés, mélancoliques (Goodbye Friends) nous plonge de plus en plus dans l'univers merveilleux de ToP. Ici aussi, on peut remarquer une baisse de régime par rapport à la version SNES,mais pas grand chose. ~Gameplay~ Les Tales Of soont réputés pour leur dynamisme et le premier épisode ne déroge en rien à la règle. Sur un total de quatres personnages, vous dirigez uniquement Cless directement (les autres sont plus ou moins dirigeables via un menu). En pressant A ou B, vous attaquez et pouvez même déclencher les fameuses techniques. C'est simple, terriblement efficace. Mais un peu plus complexe que ce que l'on croit en ce qui concerne les techniques, puisque pour en débloquer de nouvelles il vous faut améliorer celles que vous possédez déjà en les utilisant, vous forçant alors à vous en servir très souvent. L'IA des alliés est customisables. ~Conclusion~ ToP est probablment le meilleur Tales Of à ce jour. Posant les bases de tous les opus suivants (pactes, système de combats, exploration en général et quelques rebondissements), il parvien très facilement à charmer. Rajoutez-y une fin de malade et vous tenez le meilleur soft de la GBA (SNES en son temps) même si àmon avis un peu inférieur à l'original.
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Final Fantasy VII (PS1) - 17/05/2011
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13/20
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Bof, c'est ce qui ressort quand j'ai terminé FF VII pour la première fois. ~Scénario~ Vous êtes dans la peau de Cloud, un ex-Soldat au service d'une organisation terroriste du nom d'Avalanche qui souhaite ... Suitefaire prendre conscience à la Shinra (un mix entre une compagnie et un gouvernement) d'arrêter de détruire la planète. Suite à votre mission, votre nnemi de toujours et ancien "mentor" refait surface alors qu'il est censé être mort. S'en suit une traque sans relâche. Squaresoft avait franchement de bonnes idées en nous pondant FF VII, mais si on y regarde bien, beaucoup d'incohérences sont à souligner. La première semble être que le scénario a échappé à ses géniteurs : au début on traque Séphiroth, bien. Mais POURQUOI ? Il n'y a en soi aucune raison, surtout qu'il a bien aidé notre groupe en tuant le président Shinra. Si bien que pendant la grande majorité du jeu, on fait une course poursuite sans intérêt, qui se transforme en vengance puis en "tiens on sauve le monde". Les rebondissements (mis à part celui concernant Cloud) semblent du coup un peu sortis de nulle part et surtout comblent un scénario au final bien confus dont les tenants et aboutissants sont au final bien ridicules. Ajoutons à cela des personnages gentils plutôt moyen tant dans le background que charismatiquement et des méchants qui sont bien fades (un faux Sephiroth qui parle jamais, un scientifique fou (Kefka en moins bien inside), un président ambitieux, quand à Jenova qui veut juste tout détruire pour on ne sait quelle raison). Vous l'aurez compris,FF VII n'a rien pour moi d'une claque scénaristique, loin de là, surtout avec la piètre traduction française. Reste de bonnes critiques de société qui font remonter le tout. ~Graphismes~ Encore un point sur lequel je n'ai pas trop accroché, j'ai trouvé la modélisation assez grossière, et des environnements plutôt fades et rarement colorés qui ne donnent pas vraiment envie de s'investir ainsi que des incohérences jusque dans les CGs. J'ai été étonné de la part de Squaresoft,vraiment. ~OST~ Pour moi, l'OST de FF VII est assez quelconque. A mes yeux, c'est même l'un des travaux les plus décevant du maître Uematsu. Quelques pistes s'en sortent très bien, mais on est loin de l'excellent travail sur FF IV ou FF VI. ~Gameplay~ Le gameplay lui est tout simplement génial. Si la jauge ATB reste de la partie, c'est dans la customisation des armes et accessoires que le système de combats prend tout son sens via les matérias. Ces petites boules de mako pures renferment différents pouvoir qu'il vous est possible d'ancrer dans votre équipement pour profiter de ses talents :magie, invocation, boost, etc... autant de petites choses qui rendent la customisation alléchante et qui vous fera passer des heures dans le menu. Il faut parler aussi des limites, ces attaques surpuissantes qui vous aideront dans bien des cas. Cependant, elles rendent le jeu un peu trop facile à mon goût. ~Conclusion~ FF VII n'est pas mauvais mais je n'ai pas pris le pied qu'on m'avait promis. Certes le gameplay est efficace,mais le reste ne suit pas trop et c'est dommage. A mon goût loin d'être une référence.
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Resonance of Fate (X360) - 15/05/2011
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9/20
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Je n'ai pas fini le soft, mais après 30 heuresde jeu, je n'en peux plus. Scénario : Vous êtes dans lapeau d'un jeune homme au service du peuple : vous acceptez, avec vos 2 camarades, toutes sortes de missions, ... Suiteque ce soit pour l'aristocratie ou bien les plus pauvres. Votre but : découvrir les secrets de la tour de Babel, lieu où les humains ont élus domicile face à une catastrophe sans précédent. Le scénario s'appuie sur un début plutôt convaincant. Pourtant le joueur descendra bien vite de son piédestal. Le fait d'accomplir des missions (chose qui semble en vogue sur les jeux next-gen, pas forcément en bien...) pour n'importe qui vavous couper du scénario pour vous concentrer sur de l'exclusivement annexe. on reproche à FF XIII, par exemple sa linéarité, mais RoF est TROP libre. Sur les 30 heures que j'ai faites, seule la première heure contient vraiment du scénario. Autrement dit, pendant 29 h, l'intrigue est laissée à l'abandon... Ce qui donne pas vraiment envie de continuer, d'autant que les personnages principaux se révèlent bien plats. Graphismes : il faut avouer que c'est joli. l'équipe ayant participé à VP2, il est normal d'y voir quelques similitudes,mais malheureusement, Resonance Of Fate manque cruellement de renouvellement. les environnements se ressemblent tous, la vue en puzzle lors de la reconstruction des étages est juste médiocres et la lumière parfois utilisée à mauvais escient. Le jeu est gris, très gris, trop gris. une touche de couleur, même si l'univers est plutôt sombre, n'aurait pas fait de mal à une mouche. OST : l'OST en elle-même n'est pas vraiment à jeter si on ne fait pas attention. Toutefois si on tend l'oreille, on découvre combien elle est faible. Des mauvais accords quelquefois, mais aussi des fausses notes (à moins que ce ne soit fait exprès) et un habillage electro pas vraiment folichon. La musique des combats relève un peu le tout, mais globalement c'est fade. Gameplay : tri-Ace a voulu jouer la carte de l'originalité et du dynamisme, comme à chacun de ses jeux. Seulement, alors que dans les softs précédent on avait le droit effectivement à un système de conmbat dynamique et nerveux quoiqu'un peu brouillon, ici le système de combat est d'une lenteur affolante en plus d'être brouillon. C'est du tour par tour avec des guns, très difficile à comprendre au départ, sauf quand on comprend que finalement,le seul truc important c'est la jauge d'IP, sinon le reste est juste inutile. Quand on sait que la jauge d'IP est quelquefois pas franchement là pour nous aider, on a un soft FAUSSEMENT DIFFICILE pour nous faire croire que l'époque NES/SNES est revenue. J'en ai ri, honnêtement. Dès lors, les combats se ressemblent tous et les boss sont terriblement faciles à battre. Je passerai sur la reconstruction des étages, système foireux s'il en est, qui n'est là que pour emmerder le joueur (excusez l'expression) dans son exploration.Dommage. Conclusion : tri-Ace a voulu prouver au monde du RPG que Square Enix le bridait. Il a donc filé chez Sega pour pondre Resonance Of fate. pourtant ce jeu est la preuve que tri-Ace, que ce soit avec SE, Sega ou Konami fait toujours le même genre de jeu : scénario au premier abord intéressant mais au final très faible, un emballage correct et un gameplay qui semble échapper aux concepteurs eux-mêmes. Preuve donc, que SE n'est pas le problème, mais bien tri-Ace lui-même. Espérons que les prochains softs seront plus intéressants.
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Sword of Mana (GBA) - 12/05/2011
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8/20
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Remake de Mystic Quest/Seiken Densetsu sur GB, Sword Of mana, se veut dans la veine des épisodes qui lui ont précédé. Scénario : vous êtes un jeune garçon, traumatisé par un souvenir d'enfance. Coincé ... Suitedans une arènes, vous devez désormais vous en tirer pour venger vos parents. Voilà. le scénario se résume à ces deux lignes. C'est terriblement plat, et le scénario de la fille n'est là que pour faire figuration, car totalement dénué d'intérêt. Les personnages n'ont aucun charisme, les méchants sont banals au possible.Epic fail. Graphismes: Sword Of mana tente de reproduire le magnifique Legend of Mana, et c'est complètement raté. L'animation est saccadé, l'ensemble pas fluide pour un sou, et les artworks n'arrangent rien. OST : du gros charcutage en veux-tu en voilà, l'OST du soft relève du gros n'importe quoi. Des thèmes baclés, pas adaptés à la plupart des situations, répétitifs... Ilme manque le vocabulaire pour signifier combien elle est médiocre. Gameplay : c'est dans la veine de Zelda. Rien de nouveau :attaque à l'épée, possibles magies mais inutiles, menu encombrant, exploration rendue horrible par une animation déplorable. Sword of Mana dispose de trop de points négatifs pour être vraiment efficace. On ne s'implique jamais réellement. Conclusion : Je n'ai jamais aimé les Mana (mise à part LoM), et ce remake ne va rien y changer. Il cumule les points faibles de l'épisode original, tout en rajoutant ceux des autres opus (et il y en avait).Sword Of Mana peine à convaincre et vous retournerez bien vite sur un autre jeu bien plus réussi.
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Riviera (GBA) - 12/05/2011
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14/20
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Rares sont les épisodes de la série Dept. Heaven à être paru en Europe. Riviera est l'un de ceux-là, certes parus bien après sur PSP. Mais la version GBA est quand même un poil plus intéressante. Scénario ... Suite: Vous incarnez Ein, ange de son état, sur le continent perdu de Riviera, au milieu du monde des Anges et de celui des Démons. Alors que sa mission est de détruire la source de ces derniers sur Riviera, son bon sens lui dit de n'en rien faire lorsqu'on lui apprend qu'il doit détruire ce monde. Déchu, Ein va perdre la mémoire et être accueillie par deux jeunes filles qui veulent l'aider. Héros amnésique, entourée de filles... c'est un peu chaud lapin, d''autant que sans elles, vous ne pouvez rien faire. Le scénario en soi est assez basique mais quelques rebondissements sont à prévoir. Les personnages sont diablement réussi (le chara desgin est superbe) tant sur le plan graphique qu'émotionnel. Graphismes : Du tout migon SD, c'est ce qui ressort de Riviera. Ce n'est pas le jeu qui fera exploser la GBA, loin de là, mais le soft s'en sort avec les honneurs, malgré des animations un peu redondantes. OST : un grand point fort du soft, l'OST est tout simplement magnifique et exploite bien le processeur sonore de la GBA. On regrettera juste que quelques thèmes soient trop mis en avant par rapport à d'autre, surtout à cause de leur fréquence d'utilisation. Gameplay : Riviera joue lacarte de l'originalitén et ça fonctionne. Même si le déplacement et l'exploration sont très linéaires, on ne le ressent pas vraiment,happés par un rythme soutenu. Les déplacements sont réalisables via des points de TP, gagnés au combat et qui vous permettent d'éviter les pièges, de trouver des coffres, etc. mais attention toutefois, car les TP restent votre première source d'expérience puisque ce sont eux qui permettent à vos combattants de devenir plus expérimentés. Lors des combats, on vous demande ce que vous souhaitez utiliser, et quels personnages vous voulez incarner. Chaque arme à une durabilité, ce qui ne facilite pas les choses. Sinon mise à part les techniques spéciales, qui bénéficient demagnifiques artworks,le jeu en lui-même reste plutôt classique, avec un système de relation entre vous et les personnages féminins (admiration, amour,haine...) qui deviendront alors plus efficaces en combat. Conclusion : Riviera est un excellent petit soft pour se divertir. Facile, pas prise de tête, bourré d'humour, il plaira aussi bien aux chevronnés dans l'attente d'un blockbuster qu'aux plus jeunes qui souhaitent s'initier au genre. Assurément Sting a fait de l'excellent travail.
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Kingdom Hearts : CoM (GBA) - 12/05/2011
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14/20
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Kh : COM, l'épisode qui fait le lien entre les deux opus PS2 Scénario : une fois le Sans-coeur d'Ansem battu,vous vous retrouviez sur un chemin. Alors que la nuit tombe, un Homme en Noir vient vous parler ... Suitepar énigme et vous décidez de suivre le chemin qu'il vous propose : celui qui mène au Manoir Oblivion. Sous ces premières minutes assez "cheap", se cache un semblant de scénario. Mais en vrai, mise à part une vraie introduction des Hommes en Noir (pas comme dans KH où ils apparaissent 3 minutes), c'est juste un prétexte pour revisiter les mondes du premier opus. D'ailleurs, on s'en lasseplutôt vite car le déroulement dans ces derniers sont similaires au premier opus. Le premier KH "dérivé" qui nous sert des lieux déjà visités, et pas le dernier (358/2 et re:Coded). Fort heureusement, jouer le jeu avec Riku relève un peu le niveau, mais pas tellement en fait. Graphismes: clairement ce qu'il s'est fait d emieux sur BA en 3D isomètrique. Les sprites sont détaillés, les environnements aussi,les couleurs chaôyantes et les message board de qualité. Les combats sont fluides, un vrai bonheur de ce côté là. OST : tout comme 358/2 et re:Coded, on fait un coup de recyclage. Les seules musiques nouvelles sont malheureusement trop utilisées, à tel point qu'elles en deviennent lassantes. La musique du pauvre quoi. Gameplay : On mélange du KH et du Bten Kaitos pour obtenir le système de combat de KH CoM. malheureusement, la prise enmin est vraiment pas évidente et même après plusieurs heures de jeu, vous aurez toujours du mal à certains moments. Vous disposez d'un deck de cartes de différentes couleurs : rouge pour l'attaque, bleue pour la magie et vert pour les soins. Chaque carte possède une valeur comprise entre 1 et 9.Si la valeur de votre carte est suffisamment grande, vous pourrez attaquer sans rencontrer le moindre problème. par contre, si vous utilisez une carte de faible valeur, l'ennemi pourra casser votre attaque avec une carte de valeur plus grande (vous pouvez faire la même chose) et vous ne pourrez plus bouger pendant quelques secondes. Une carte particulière : le 0. Cette carte est à double tranchant : elle vous permet de casser le jeu de votre adversaire quelque soit la valeur de sa carte, mais en tant que valeur la plus faible, elle est propice à un cassage elle-même. Enfin, ajoutons à cela le système des 3 cartes. que vous pouvez stocké pour créer une attaque plus puissante : 3 sorts foudre donneront un foudre X par exemple. je passe sur les cartes alliées, qui ne servent à rien du tout. Conclusion: Un gamplay seul ne fait pas un jeu et KH CoM le démontre. Le scénario est un peu plat (et aurait surtout pu être introduit directement dans KH2 en fait) et le système de jeu très répétitif,la faute à des environnements peu variés au sein d'un même monde et à des combats où il faut toujours faire la même chose. Préférez le remake PS2,KH re:CoM, bien plus abouti.
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Zelda : Spirit Tracks (DS) - 12/05/2011
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13/20
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A vrai dire, Spirit Tracks est un Phantom Hourglass version train. Je lui fait donc les mêmes reproches (allez voir la critique correspondante), d'autant que le moteur de jeu n'a guère changé. Quelques ... Suiteavantages cependant par rapport au premier opus DS: l'utilisation du microphone et l'utilisation de la Princesse Zelda. Cette dernière est d'ailleurs franchement casse-pieds. On remarquera aussi que les graphismes sont un poils plus fins, mais sans révolutionner l'ancien. Un point de moins pour le manque flagrant de renouvellement.
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Zelda : Phantom Hourglass (DS) - 12/05/2011
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14/20
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Phantom Hourglass est la suite de Wind Waker. C'est pourquoi j'ai appréhendé son achat,Wind Waker étant un mauvais Zelda pour moi. Scénario: Après avoir vaincu Ganon et sauvé Tetra/Zelda, vous revoilà ... Suitepartis sur les eaux! Alors que votre voyage se passe sans embrouille, un mystérieux brouillard enveloppe votre navire et un bâteau fantôme apparaît, enlevant Tetra. Il est de votre devoir d'aller la sauver ! Encore une fois, le scénario ne brille pas vraiment par son originalité. Qu'à cela ne tienne, les personnages restent attachants. Je râle cependant pas mal sur la fin à la Link's Awakening, franchement du repompé pour pas avoir à se casser la tête. Graphismes: En tant que suite de WW, PH réutilise la carte du Cell-Shading. Cependant,la pillule passe moins bien que sur GC : l'aliasing est très prononcé, les pixels aussi, et les expressions faciales de Link franchement ratées. Linebeck, reste lui plutôt bien modélisé. Le tout est bien animé, fluide dans des décors variés. OST : grande déception de ce côté là, PH ne possède pas une OST digne de ce nom à mon goût. L'ensemble est généralement plat, peu présent pour mettre dans l'ambiance. Les bruitages sont réussis, sauf la voix de Link, qui fait un peu peine à entendre. Gameplay: Nintendo sait utiliser ses consoles et PH en est la preuve. lejeu est entièrement jouable au stylet qui répond d'ailleurs très bien. Chaque action requiert un geste en particulier très bien reconnu. En fait,l'intérêt du soft est ici car ce gameplay permet d'introduire de nouveaux concepts dans le zelda-like. Boomerang, grappin, etc, tout est concocté au poil et jamais je n'ai eu un si grand plaisir à diriger Link. Conclusion : Phantom Hourglass relève le niveau de Wind Waker par une approche différente du jeu. Un succès mérité, même si le jeu aurait gagné à être un peu plus profond scénaristiquement,surtout après le sublime TP.
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Inazuma Eleven (DS) - 12/05/2011
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12/20
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Inazuma Eleven nous fait le plaisir de sortir en Europe plusieurs années après sa sortie au Japon. Scénario : extrêmement bateau, le scénario ne parvient jamais à décoller. Les personnages sont en plus ... Suitede ça pas charismatiques pour un sou. On incarne les joueurs du club de foot de Raimond (vive le nom...) qui va bientôt être dissous. Pour éviter cette catastrophe, le capitaine décide de recruter de nouveaux joueurs et par la même de venir le meilleur club de foot du Japon. Au milieu de ça, quelques conspirations prévisibles dès le début du jeu et une fin plus que minable. Graphismes : on sent que le jeu est sorti il y a déjà quelques temps. Qu'à cela ne tienne, les graphismes tiennent la route, malgré des sprites plus que petits. Les cut-scènes en 3D sont toujours plaisantes, bien que peu nombreuses et les scènes animées de plutôt bonne qualité. Le tout est cependant plutôt lassant puisqu'on visite toujours les mêmes lieux OST : Du passe-partout en veux-tu en voilà. l'OST passera donc inaperçu ou vous cassera les oreilles assez vite, au vu du nombre ridicule de rencontres aléatoires. D'ailleurs, la scène de début de jeu vous mets dans le bain, comme si elle vous criait de couper le son tout de suite. Gameplay : Mélanger RPG et foot ? oui c'est possible et terriblement addictif. C'est d'ailleurs le seul intérêt du titre. Cependant les actions sont très répétitives et les tactiques toujours les mêmes. Les rencontres aléatoires sont ridicules et lasseront plusqu'autre chose car leur principe est toujours le même. Les boss, représentés par un match de la ligue, sont un peu plus tactiques, mais honnêtement, on jouera très souvent avec un seul trio comprenant Axel, le héros et un autre personnage trié sur le volet, car le reste des 11 joueurs ne sert à rien. Du fun pour une première fois, mais au fur et à mesure du soft, on commence sérieusement à s'ennuyer. Conclusion : Inazuma Eleven n'a pour lui que la "nouveauté" de concevoir un Football-RPG. En dehors de ça, le soft est bien faiblard et surtout bien trop facile. A réserver aux plus jeunes, en attendant de voir si la suite sera plus consistante.
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The World Ends With You (DS) - 11/05/2011
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18/20
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On râle parce que SE ne fait pas assez dans l'innovation ? et bien TWEWY est un véritable pied de nez. Scénario : Vous êtes Neku, jeune japonais fashion. Suite à un incident, vous vous retrouvez dans l'UnderGround, ... Suiteune version fantôme deTokyo où les vrais gens ne vous voient pas. Que faîtes-vous là et que vous est-il arrivé ? Sous ces airs un peu OVNI se cache un scénario vraiment bien ficelé. Chacun des protagonistes possède une motivation propre, un charisme de fou et surtout un psychologie travaillée. Graphismes : si le style Tetsuya Nomura-manga ne vous rebute pas, vous allez être satisfait. TWEWY possède une esthétique à couper le souffle, à des années lumières de ce qui s'est fait jusqu'à présent. On est dans le fashion total et c'est assumé.Les artworks sont réussis, les cut-scènes aussi. Les sprites eux sont peut être un peu trop petits, mais au final ça reste globalement démentiel. OST : Là encore, si vous êtes réfractaires à la J-POP, vous allez déguster. Sinon, vous allez adorer. Les chansons sonnent justes, sont dynamiques pour les combats. Seules les thèmes d'ambiance sont malheureusement un peu répétitifs, mais on pardonne aisément. Gameplay : du jamais vu ! Un dynamisme à toute épreuve ! Voilà ce qui vous attend. Vous dirrigez Neku au stylet ou au pad. Lors de l'exploration, vous pouvez écouter les pensées des gens, leur conversations et même influencer ces dernières, pour savoir quoi faire. C'est bien pensé! POur ce quie st du combat, vous avez à votre dispositions plusieurs badges que vous pouvez équipper. Chaque badge à une utilité différente: soigner, mettre le feu, lancer des rochers, etc, réalisables grâce àun coup de stylet particulier : trancher, toucher, entourer, tellement de manière de faire ! en plus de ça les combos sont réalisables facilement. Si vous disposez d'un coéquipier, vous pouvez également le jouer sur l'écran du haut avec le pad. Le seul problème c'est qu'on a vite fait de se perdre entre les deux combattants, si bien que la plupart du temps, vous ne jouerez plus celui d'en haut. Dommage. Conclusion ; un excellent OVNi et la preuve que SE sait encore innover, TWEWY est une perle à posséder pour peu que vous accrochiez à la culture nippone. Un réussite sur tous les points
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