Dragon Quest V (PS2) - 25/05/2013
|
16/20
|
Encore un excellent épisode, peut-être un peu décevant au niveau de son gameplay finalement un peu simple, on est loin de la richesse du 6 et du 7 pour ne citer qu'eux. En revanche, on saluera son scénario, ... Suiteson univers, et ses personnages, se déroulant sur trois générations (avec une petite pirouette scénaristique au passage pour faire passer le temps). Ce remake dispose en tout cas d'une excellente bande-son, orchestrale, toujours aussi magique, même si bien sûr un brin répétitive. Le jeu n'est cette fois ni très long (30-40 heures), ni très difficile (un niveau de 40 suffit). Après, pour les amoureux du jeu, il reste des quêtes longues : collectes des objets pour le musée, recrutement des monstres, quêtes des mini-médailles, donjons et boss optionnel à s'arracher les cheveux ... Un épisode indispensable pour les fans de la saga
|
Dragon Quest I et II (SNES) - 11/05/2013
|
13/20
|
Une belle réédition ou plutôt remake des deux premiers épisodes, qui d'ailleurs se suivent scénaristiquement alors que le troisième épisode est en réalité celui qui démarre cette trilogie. Les deux jeux ... Suitese ressemblent beaucoup bien entendu. Contrairement à ce qu'on peut penser, ils ne sont pas difficiles, beaucoup moins que le 3 notamment. Si on ne contrôle qu'un seul personnage tout au long du premier épisode, on aura droit à 2 compagnons pour la suite, avec aussi quelques petites retouches et des petites nouveautés au cours du jeu, mais cela reste globalement la même chose. Deux titres qui posent donc toutes les bases de la saga et qui donc doivent être ne serait-ce qu'essayés une fois pour voir de quoi il retourne.
|
Dragon Quest III (SNES) - 11/05/2013
|
17/20
|
Un excellent épisode de la saga, bien que méconnu, il se rapproche beaucoup du VII (aussi visuellement que dans le système de classes, bien qu'ici ce système soit un peu plus basique). Contrairement à ... Suitece qui est dit sur la fiche, ce troisième épisode n'est pas aussi basique que les deux premiers, mais l'est tout autant que les épisodes suivants, et propose même un contenu d'une richesse insoupçonnée : mini-jeux, quête des mini-médailles, lieux optionnels, donjons optionnels post-game, arène de monstres ... L'aventure est d'ailleurs plutôt longue et difficile, contrairement aux deux premiers épisodes. Ce troisième épisode se situe d'ailleurs scénaristiquement avant les évènements du premier et "conclut" donc en beauté cette première trilogie. Non seulement le jeu est difficile, avec les fameux pics de difficulté par moment, qui nous obligera à se pencher sur le système de classe et à faire un certain nombre d'heures de level-up, mais en plus, vers le milieu du jeu, on est laissé totalement libre de nos mouvements. Charge à nous de récupérer les 6 orbes dans le monde, sans grands indices pour nous guider, ce qui n'a rien de simple étant donné les indices parfois très ténus qui sont donnés. Pour tout cela, ce troisième épisode est un Dragon Quest dans le plus pur style, et clairement un des meilleurs de la série, surtout dans sa réédition sur SNES, avec donc quelques ajouts : une classe supplémentaire notamment. En tout cas un épisode que les fans de la franchise ne peuvent pas manquer.
|
Breath of Fire (GBA) - 22/04/2013
|
12/20
|
Le premier épisode, et c'est le dernier qu'il me restait à finir. Il pose les bases de la série, c'est le principal qu'il faudra retenir de cet épisode. Le noeud de l'intrigue est l'unique objectif que ... Suitevous aurez à accomplir, ce qui passera bien entendu par de nombreux villages et personnages à sauver (la planète entière, en fait). Réduisant au strict minimum les informations nous indiquant comment progresser dans l'histoire, le jeu souffre d'une difficulté assez haute, non pas dans les combats qui se font la plupart du temps en automatique (bien que le début soit assez ardu, avec uniquement Ryu et Nina), mais dans l'exploration ou tout simplement la recherche de ce que l'on doit faire pour avancer. Ajoutons à cela quelques donjons particulièrement pénibles et une fréquence des affrontements pour le moins élevée, et nous tenons là un jeu qui pourra facilement décourager même les joueurs les plus aguerris. Pour les autres, ils pourront peut-être apprécier des personnages sympathiques et leurs capacités sur le terrain, et aussi les transformations en dragon de Ryu. Notons tout de même une OST sympa mais très très répétitive. Un épisode à faire malgré tout pour les fans de la série, c'est toujours bien de savoir d'où est parti une saga telle que celle-ci.
|
Sands of Destruction (DS) - 01/04/2013
|
12/20
|
Malgré un excellent scénario, vraiment original puisque pour une fois il s'agit de sauver le monde en le menant à sa destruction, ainsi que d'excellents graphismes, ce jeu est plombé par un gameplay complètement ... Suiteà l'ouest. Comme souvent quand même dans les jeux Imageepoch, il souffre de grosses lacunes alors que le jeu promet beaucoup comme ça au premier coup d'oeil. J'ai rarement vu une difficulté si mal dosée dans un jeu, par ailleurs très court. On atteint le niveau 65 en à peine 20 heures de jeu (ce qui suffit à terminer le jeu), on fait beaucoup de combats qui n'ont aucun intérêt où l'ennemi pourra se prendre des combats de 17 hits (alors qu'un seul suffit à les tuer), pour tomber ensuite sur un boss qui pourra décimer son équipe en deux coups. C'est dommage car les personnages sont vraiment attachants (sauf peut-être Naja qui vient un peu trop tard dans l'aventure), mais le jeu est vraiment trop linéaire et surtout trop facile (le boss final est le plus minable de tous les boss du jeu), où seul le vrai premier boss représentera un défi. Ensuite, pour peu qu'on améliore et qu'on dépense les points de capacités obtenus lors des nombreux affrontements, tout le reste ou presque se fera les doigts dans le nez. Le jeu propose bien des options intéressantes, comme la possibilité d'améliorer ses équipements, mais à quoi bon, quand cela prend énormément de temps pour augmenter sa Strong de 1 point ? Du coup on laisse de côté. On soulignera quand même la présence de mal de doublages (même si on pourra s'étonner de quelques voix, par ailleurs semble-t-il enregistrées dans une cave) et une OST décevante en définitive. Bref, un jeu de seconde zone pas du tout indispensable.
|
Ragnarok : Imperial Princess of Light and Darkness (PSP) - 01/01/2013
|
15/20
|
Une bien belle surprise que ce Ragnarok Tactics en réalité. Sans trop m'attendre à grand chose, le jeu m'a happé surtout grâce à une intrigue comme je les aime. Le jeu s'en tire également efficacement ... Suitedans son gameplay, classique et sans grande surprise. Si les premières heures de jeu sont assez laborieuses (comptez une petite heure par combat ...), le jeu gagne en fluidié vers la fin. On peut d'ailleurs arriver à la la fin assez rapidement : 15 chapitres - 15 combats - 15 heures de combats. Mais il vaudra mieux faire quelques quêtes ou des free-battle pour améliorer l'expérience de jeu, qui d'ailleurs permet de recommencer l'aventure pour choisir d'autres chemins de scénario. En revanche il faudra quand même se coltiner une 3D pas top et une ambiance musicale peu variée. Qu'importe, on passe un excellent moment avec ce Ragnarok Tactics.
|
R.A.W. Realms of Ancient War (X360) - 21/10/2012
|
10/20
|
RAW, c'est un petit jeu, intéressant seulement à plusieurs, et c'est là qu'est tout le problème. Voici un Hack'n'Slash qui aurait pu être bien à plusieurs si le mode coopératif avait été bien fait, ce ... Suitequi n'est pas le cas, et pour une raison technique stupide : seul le héros de l'aventure conserve ses stats et ses équipements après une sauvegarde, les autres redescendant au niveau 1 et se retrouvent en slip. Il faut donc faire ce jeu, sensé être fait pour jouer à plusieurs, tout seul (à moins de faire le jeu d'une traite, environ 10 heures de jeu). Et c'est plutôt rébarbatif au possible, les zones se ressemblent toutes plus ou moins, de même que les ennemis qui reviennent à l'identique d'un niveau à l'autre. Ces mêmes ennemis, d'ailleurs, qui au début du jeu ont 4 HP et donne 1 point d'expérience, se retrouve dans la dernière zone avec 1500 HP à donner un max d'expérience. Enfin bref. On a le choix entre trois classes (mage, guerrier, rôdeuse). Oui rôdeuse, obligatoirement, c'est une fille, et on fait augmenter notre héros par le biais de choix de compétences (on ne distribue aucun point bonus de stats à la montée de niveau) et aussi avec des équipements trouvés sur les monstres ou en boutique. Rien de bien original, même si les choix de build sont très limités, voire carrément inexistant. On s'amusera quand même à dézinguer des tonnes de monstres (avec la possibilité même de prendre le contrôle de certains), le jeu étant vraiment facile (en tout cas avec le mage), le plus dur sera de rester éveiller devant tant de répétitivité. On saluera malgré tout le fait que chaque héros dispose plus ou moins de son prologue et de sa propre histoire, ce qui pousse à refaire le jeu plusieurs fois ; si on a du temps devant soi
|
Final Fantasy III (PSVITA) - 21/10/2012
|
11/20
|
Un épisode un peu décevant globalement, et un remake qui n'apporte sans doute pas grand chose, si ce n'est de rendre le jeu un poil plus jouable que sur NES. Visuellement, il est vrai qu'on aurait aimé, ... Suitesur ce support (la PSP), un remake en 2D comme ça a été le cas pour les deux premiers, mais la 3D de la DS s'en tire plutôt pas mal, il n'y a pas grand chose à redire. Musicalement, l'OST de FF3 est en soi un petit trésor méconnu d'Uematsu, malheureusement desservi par une "orchestration" le plus souvent molle et maladroite. Heureusement, on peut à tout moment remettre les musiques originales de la NES pour découvrir cette OST magique, à la fois sérieuse et froide. Le plus décevant, malgré tout, reste l'histoire et le gameplay, même si on ne peut pas attendre beaucoup de ce troisième épisode, il réussit l'exploit d'être plus inintéressant que les deux premiers, l'histoire étant très bateau et linéaire. Niveau système de jobs, c'est à la fois trop simple et trop riche (une quantité inutile de jobs) pour qu'on s'y intéresse, sachant qu'il faut faire des tonnes de combats pour amener un job au max. Parlons-en des combats, ou plutôt de la difficulté du soft, plutôt simple jusqu'à ce qu'on parvienne au dernier donjon. Et là, c'est le drame, il manque à nos personnages environ 20 ou 25 niveaux, on ne peut pas revenir sur la carte du monde, donc ni se soigner, ni sauvegarder, ni donc faire de level-up. Donc on meurt forcément pour revenir avant et on doit tout refaire le dernier donjon (très long, environ 1 heure, même avec des personnages de haut niveau), en ayant pris soin de faire environ 5 à 10 h de combats (sachant que j'ai terminé le jeu en 25h, on passe donc 20% du jeu minimum à cela, ce n'est pas super intéressant). Un pic de difficulté absurde qui gâche un peu tout, tout ça pour une fin minimale et sans intérêt -_- Un jeu à faire une fois malgré tout.
|
Dragon Quest VI (DS) - 27/08/2012
|
17/20
|
Encore un excellent titre, un des plus représentatif de la saga en tout cas. Légèrement moins bon - en ce qui me concerne - que les épisodes qui l'entourent (le 5 et le 7), le titre dispose tout de même ... Suited'énormément de qualités. Même si le scénario est un peu en dessous des attentes (il met en fait beaucoup de temps à redécoller après les premières minutes), cela n'a de toute façon jamais été le point fort de la saga. C'est surtout dans le gameplay (avec des classes, assez semblable au 7, mais avec nettement moins de possibilités) que le jeu tire son épingle du jeu. Les graphismes et l'OST sont également toujours aussi agréables, même si les morceaux m'ont sembler un peu moins mémorables que d'habitude. DQ VI possède aussi une assez bonne durée de vie (environ 50 heures) et une difficulté relativement bien dosée (seul le boss de fin pourra poser quelques problèmes et réclamera un peu de level-up). Un bon épisode en somme.
|
Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers Age (PS2) - 21/07/2012
|
11/20
|
Le Tiers Age n'est pas un mauvais jeu en soi, mais il est un peu l'exemple parfait de ce qu'il ne faut pas faire quand on aborde un monument tel que l'univers du Seigneur des Anneaux. En effet scénaristiquement, ... Suitele jeu se contente de faire vivre à des héros venus de nulle part les mêmes péripéties que celles des 'vrais' héros. On les suit à la trace, on les rencontre même, entraînant par là des situations qui pourront pousser au suicide des fans absolus de l'oeuvre de JRR Tolkien. L'histoire est ainsi quasiment inexistante, un comble pour un jeu sur cet univers, d'autant que la quête de Frodon n'est presque pas évoquée. Evidemment, puisqu'il reprend les visuels du film, le jeu ne se pouvait guère se tromper graphiquement. Malheureusement, la modélisation et l'animation des personnages et encore plus de certains ennemis laissent parfois à désirer, même si certains boss sont particulièrement soignés (notamment le Balrog). Au niveau de l'OST, rien de particulièrement surprenant non plus, on retrouve les thèmes composés pour le film, ce qui est plutôt logique. La partie délicate du soft vient de son gameplay assez lent et d'un système de compétences extrêmement pénible à augmenter. Le jeu n'étant pas particulièrement facile (même dans le mode normal), on sera quasiment obligé de passer par de longues phases de leveling, au détriment du rythme du jeu, mais aussi de sa cohérence. Ajoutez à cela qu'il faudra passer par un menu peu ergonomique pour distribuer des points bonus presque à chaque combat, et que Gandalf pourra se réincarner dans la moindre brindille d'herbe afin de vous conter l'un des 109 contes épiques de la terre du milieu (qui ne sont ni plus ni moins que des scènes de la trilogie). Le système de combat est lui très classique : c'est un tour par tour comme il en existe pléthore, malheureusement pour lui, il est tellement lent et répétitif (on se retrouver à faire pratiquement en permanence les mêmes actions) que l'ennui pointe assez vite le bout de son nez. Le jeu n'est d'ailleurs pas si long que ça (25-30 heures) et pourtant la fin semble avoir été bâclé par les développeurs : la dernière zone est une succession de combats tous plus pénibles les uns que les autres, entrecoupés de temps de chargement, et le dernier boss arrive ensuite comme un cheveu sur la soupe. Le jeu possède quand même quelques atouts, comme le fait de pouvoir contrôler les forces de Sauron lors de stages spéciaux (combattre avec le Balrog ou le Roi-Sorcier), stage qui permettent d'obtenir des objets puissants, impossibles à obtenir d'une autre manière. Un jeu sympathique en somme, mais d'une chiantise certaine et qui pourra déplaire aux inconditionnels de la trilogie.
|
1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 |